Chapter 49

Dario,

Je m'étais réveillé tôt ce matin, je n'avais eu que deux heures de sommeil et m'étais retrouvé chez Zack à planifier. Il fallait qu'on agisse rapidement car cet enfoiré pouvait tâcher l'honneur d'Evana, ses photos étaient encore entre les mains de son satané cousin et ce qui me surprenait c'était le fait que son cousin sois mauvais à ce point. Comment le cousin d'une personne peut jalouser et faire tout ce qui est en son pouvoir pour nuire à sa cousine ? 

—  Alors on fait ça ? Me demandait Zack en fixant l'horloge qui annonçait six heure du matin.

On avait discuté depuis plus de une heure.

— Ouais, on fait ça. Je vais quand même appeler un amis qui travail à la brigade de Londres, peut-être qu'on aura besoin d'aide.

Evana avait raison, elle ne voulait pas être impliquée avec ces hommes horribles. Elle n'avait pas la même force physique qu'eux et heureusement, elle avait refusé notre proposition, nous allons régler cela entre homme. Alors que je finissais d'omettre tout les détails à Rudolf, un ami avec lequel nous avions étudié la première année d'université à Londres. Il était originaire d'Autriche mais était venu ici pour les études, intéressé par la loi, il avait finit par être flic alors qu'il voulait être juge. Mais c'était peut-être mieux comme ça, il était vraiment épanoui dans son boulot.

Alors qu'on se retrouvait devant la chambre d'hôtel, je questionnais Zack.

— Tu es sûr que c'est bien la chambre 308 ?

— La hôtesse d'accueil m'a confirmé qu'il séjournait dans cette pièce.

— Tu restes près de moi et tu démarres l'enregistreur d'accord ? On ne peut le mettre en taule si on a pas de preuve, les flics vont venir après nous et vont nous attendre devant la porte.

Zack hochait rapidement la tête et je frappais à la porte, au bout de la deuxième fois, on nous ouvrait.

Le cousin d'Evana ou bien devrais-je dire l'ordure était torse nu, fumait un joint et tentais de nous fermer la porte mais on l'a poussait à deux.

— On est juste venu discuter, je lançais.

Il ne paraissait pas convaincu mais nous laissait entrer, il se réinstallait sur son fauteuil tout en prenant une gorgée de sa bouteille d'alcool.

Il est que sept heure et ce mec se bourre la gueule.

— Qu'est-ce qui vous emmène ici ? Chers invités ?

Il était déjà dans un état anormal.

— Je sais que c'est toi qui m'a envoyé les photos de ma femme. Je sais que tu lui fais du chantage pour lui voler l'entreprise.

Il avait eu un sourire en coin et des rires franchissaient sa bouche.

— Tu as l'air offusqué dis donc, tu n'as jamais vue ta femme dans de tels postures peut-être ?

Je faisais un pas près à le frapper mais Zack me retenait en secouant la tête, ce connard essayait de m'énerver.

— Dis-moi pourquoi tu fais ça ? Si c'est l'argent que tu veux, j'en ai. Je peux te signer un chèque et tu sors de notre vie, je lui fais une proposition.

Il écrasait son mégot contre la table basse en verre.

— Tu crois vraiment que c'est l'argent qui me motive ?

Il y avait un grand silence dans la pièce et il me balançait,
— C'est ta femme qui me motive.

Attendez, mais ils sont cousins non ?

Je veux la surpasser, elle a débarqué dans notre vie, j'étais le préféré de mon grand-père, jusqu'à ce que cette poufiasse entre dans notre vie. Elle l'a manipulé avec ses mots, tel un serpent venimeux. Une femme doit s'avoir sa place.

Ouf, je pensais qu'il en pinçait pour elle.

Si ton grand-père ne t'as pas légué les entreprises, c'est que tu n'est pas digne de confiance.

Zack nous écoutait nous disputer et s'en allait ouvrir la porte après que quelqu'un ait toqué, je pensais que c'était mon pote mais ce n'était pas le cas, le complice de monsieur était également arrivé.

— T'as femme à mérité la leçon que je lui ai donné mais ne t'en fais pas, elle va tomber de son piédestal, j'ai encore ça, il levait sa clé usb.

Sans pouvoir me retenir davantage, j'avais bondis sur Rayan et je voyais rouge. Mais coups de poings s'en allaient tout seul sans que je puisse m'en empêcher. Son ami essayait de m'arrêter mais Zack le frappait à son tour. Une bagarre généralisé avait lieu et je recevais à plusieurs reprises des coups de pieds au niveau de l'abdomen. Nos engeulades envahissaient la pièce et alors que pendant un moment d'inattention, je jetais un coup d'œil à l'état de Zack, je fus poussé contre un meuble et sentais une douleur lancinante me traverser le corps.
J'avais à mon tour poussé Rayan et se dernier tombait sur la table basse qui se cassait sous son poids.

Zack poussait un cri, ce Olivier lui avait fait une balayette et se dernier tentant de se relever du sol, s'était pris la table de chevet en pleine tête. Les yeux fermés j'ignorais s'il était encore conscient alors je prenais Olivier par le col de son pul et lui affligeait un grand coup de poing en plein visage et il retombait en arrière.
J'essayais de réveiller Zack en lui tapotant le visage, après quelques minutes, il réagissait. Il semblait encore dans les vapes.

Je me dépêchais de fouiller les poches de Rayan et trouvais enfin la clé usb. Je m'apprêtais à partir mais je sentais quelque chose de liquide se verser sur moi et quelques secondes plus tard, je criais de douleur.

— Je l'avais apporté pour Rayan mais on dirait que c'est toi qui allait en bénéficier, j'entendais Olivier ricaner dans mon dos.

Il cherchait quelques chose dans les meubles alors que je me tordais de douleur, il trouvait sous le meuble tv une boîte en métal et il sortait un sac en velour noir , il empoignait les nombreux  billets violets. Puis, quittait la pièce et je m'évanouissais, souffrant.

~

— Tu vas bien Dario ?

À mon réveil, Rudolf était près de moi.
Je lui serrais la main.

— Ça va, comme tu peux le voir. Qu'est-ce qu'il s'est passé ?

— Tu as été victime d'une attaque à l'acide, tu sais c'est de plus en plus courant à Londres.

— Putain, il est encore à l'extérieur. Il s'est échappé.

Je tentais de me lever de mon lit mais mon ami m'arrêtait.

— On les a attrapé tout les deux, l'un est encore inconscient mais il ne tardera pas à se réveiller et l'autre et en plein interrogatoire. Ton employé m'a donné la clé usb et l'enregistrement.

Je regardais Zack dans les yeux alors qu'il venait d'entrer dans la pièce.

C'est plus que mon employé, c'est mon ami.

Zack s'approchait de moi et collait son poing au miens.

— On a fait une sacré bonne équipe.

Je lui souriais.

Avis ? ✨💪

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top