S'éloignant rapidement, Malik essayait de calmer son désir pour Elena avec difficulté alors que le goût sucré de ses lèvres était encore sur les siennes, son corps parfaitement dessiné contre le sien n'avait faire qu'accroître son désir de la posséder entièrement, sentant son érection naissante être plus douloureuse, Malik cherchait un moyen de se détendre en marchant vers Omar.

- Omar avons-nous des nouvelles des exploits de Suzana ? Demanda-t-il brusquement.

Ôtant son turban, il le regardait en secouant de la tête.

- le pays se langui de savoir qui est cette mystérieuse princesse et ils n'ont pas cachés leurs soulagement en apprenant que Suzana avait menti.

- bien dit-il satisfait.

Les yeux dans le vide Malik sentait le parfum de la jeune femme tout près de lui.

- votre majesté fit Omar en lui faisant signe de regarder derrière lui.

Se retournant, il voyait Elena descendre les grands escaliers avec peine.

- bon sang remonte !

- non, j'en ai assez d'être dans cette chambre j'étouffe protesta la jeune femme en s'asseyant sur une marche en s'accrochant à la poutre de la rambarde comme une enfant, ce qui faisait que renforcer sa beauté envoûtante.

Approchant d'elle doucement, il s'arrêta sur ses jambes nues.

- Omar empêcher le supplia-t-elle.

- je regrette votre altesse répondit son bras droit l'air moqueur.

- je ne remonterai pas, je veux respirer de l'air frai protesta la jeune femme toujours agrippée.

Les joues rosies sur son teint blanchâtre le rendaient fou avant de la voir coller sa tête contre les pierres nacré pour fuir son regard.

- très bien, céda Malik en la soulevant.

Accrochée à son cou, elle resta silencieuse avant de la voir cacher sa tête contre son épaule sensible au soleil qui taper fort.

Sans un mot, Malik faisait le tour du domaine sa femme dans les bras en admettant qu'il appréciait l'avoir collé à lui, maladroitement, elle serrait sa chemise les yeux entre ouverts.

- on rentre maintenant annonça-t-il

- d'accord murmura la jeune femme.

Traversant le hall, Malik ne se contentait pas de la soulever, mais de l'éteindre si fort qu'il se demandait si elle ne souffrait pas.

- tu veux aller dans le grand salon ? Proposa-t-il d'une voix grave.

Voyant son hésitation au fond de ses pupilles, Malik serrait la mâchoire.

- oui je veux bien répondit-elle en grattant sa chemise comme si elle essayait d'enlever une tâche.

La posant délicatement sur le canapé, elle contemplait les lieux la bouche ouverte.

- si tu désires changer des choses à ton goût, tu es libre annonça Malik.

- oh non je ne me permettrai pas c'est si beau murmura-t-elle regardant le plafond.

- comment était ta maison à Londres ? Demanda-t-il curieux d'en savoir plus.

- oh c'était une maison assez grande.

- il ta déjà embrassé ? Demanda Malik de but en blanc.

Tournant la tête furtivement, elle fuyait son regard.

- tu peux me le dire Elena, je ne me mettrais pas en colère déclara-t-il en cachant son impatience.

- oui une fois avoua-t-elle d'une voix amère.

Les muscles tendus, Malik regardait les yeux de la jeune femme cligner plusieurs fois.

- à notre mariage acheva-t-elle.

L'imaginant dans une robe blanche, rajoutant son voile, Malik sombré dans une silencieuse colère.

- je ne veux pas parler de ça, je vous en supplie...

Reprenant son vouvoiement, Malik se considérait déjà comme perdant alors que ses long cheveux tombés sur ses épaules fine et mise en valeur.

- je t'en supplie rectifia-t-elle.

Imaginant sa voix au creux de son oreille pendant son combat violent contre les rebelles, convaincu que ça aurait pût l'aider à être plus fort, Malik sentait ses muscles se tendres plus durement en s'approchant d'elle.

- n'ai aucune crainte, personne ne te fera du mal dorénavant.

- j'ai vraiment du mal à te comprendre déclara-t-elle en levant un sourcil.

- pourquoi ?

- un coup tu es gentils, la seconde d'après tu te transforme expliqua-t-elle en croisant les bras.

- je te l'ai dit, je ne changerai pas Elena...

Sans ajouter un mot, elle le regardait de la tête aux pieds gênée.

- dit moi à quoi tu penses ?

Frottant ses jambes nerveusement, elle baissa la tête.

- je pensé à mon avenir.

- notre avenir rectifia Malik en prenant place à ses côté.

Plongeant son regard dans ses yeux lumineux, il essayait de déchiffrer ses pensées.

- je suis censée faire quoi ?

- rien... seulement m'aimer.

Plissant les yeux légèrement, elle rougissait en retrouvant cette couleur qui ensoleillé son visage.

- je suis surprise, je pensais que les étrangers étais....

- des brutes ayant un seul but mettre des belles anglaises de leurs lits coupa Malik brutalement.

- oui.... c'est à peu près ça avoua-t-elle.

Se levant brusquement déçu qu'elle puisse penser ça de lui, Malik restait dos tourné à elle pour cacher son mécontentement.

- mes parent s'aimer, je ne suis pas comme ça, bien-sûr il y a des hommes qui se marient par devoir mais ce n'est pas mon cas rétorqua-t-il les poings serrés.

- pourtant...

- je sais ce que tu vas dire coupa Malik rapidement.

- Omar m'a en effet présenté des femmes, Suzana en faisait partie, mais je cherchais l'amour si c'était par devoir je l'aurai épousé sur le champ.

- maintenant je t'ai trouvé Elena c'est toi et toi seule acheva l'homme en se retournant pour lui faire face.

- je ne sais pas quoi dire tout ça est tellement fou souffla-t-elle.

Le regardant droit dans les yeux, Malik s'agenouilla en face d'elle en posant ses mains sur ses genoux fragiles.

- on sera heureux je te le promets assura-t-il en déposant un baiser sur sa main encore blesser.

- tu n'auras pas de maîtresses demanda-t-elle le visage presque éploré.

- bon sang Elena ! Fit-il d'une voix excéder en se relevant.

- je pose une question c'est tout.

- pourquoi veux-tu que j'ai des maîtresses puisque je t'ai toi ! Gronda-t-il.

- Luke en avait plein lui... murmura-t-elle

Décidément cet homme ne manquait pas de culot pensa Malik en regardant la jeune femme.

- je ne suis pas cet homme et je ne veux plus que tu penses à lui exigea-t-il en ayant l'impression de se répéter.

Acquiesçant de la tête, elle essayait de se relever alors qu'il sentait qu'elle lui échappait encore.

- tu veux remonter ? Demanda-t-il à contre cœur, alors qu'elle faisait courir ses doigts sur sa chemise pour chercher un appui.

- oui s'il te plait murmura-t-elle.