Chapitre 26 : Bain de Minuit



— Eh ben, ça sent la réconciliation à plein nez ! Dommage, moi qui pensais de nouveau passer une nuit de folie avec Mister Mystère ! s'esclaffa Guillaume qui les vit sortir de la piscine quelque peu embarrassés.

     Cali essora rapidement ses cheveux, s'enveloppa dans une serviette confortable. Iker s'essuya la tête en souriant, ses traits semblaient beaucoup plus détendus. Son attitude décontractée la submergea de joie.

      Des talons claquèrent sur les carreaux de la terrasse, puis ils virent débarquer Mélodie et Carmen ? suivies de deux autres personnes. L'écrivaine crut reconnaître Julian, un des colocataires de Park, qui s'était chargé des cocktails lors de la fameuse fête de fin du premier semestre. Le jeune homme de taille moyenne arborait un visage charmant, des boucles châtains lui retombant sur le front, un piercing décorant son oreille droite. Une femme tout aussi charmante d'une vingtaine d'années l'accompagnait : blonde, des yeux bleus, fine, élancée, des talons hauts, une micro-robe rouge moulante, l'air excentrique. On aurait dit Guillaume version féminine.

— Les amis, je vous présente Julian et Jenna ! déclara Mélodie en désignant le couple. Ils sont dans la même promo que moi, en Erasmus également. On les a croisés en ville, coïncidence !

— Hello ! lança Cali. Julian, il me semble que tu es le coloc' de Park si je ne me trompe pas ?

— Exact ! lui répondit ce dernier. Et toi c'est Cali, la coloc' de Mélo !

      L'écrivaine acquiesça. Iker se présenta en tant que son copain, ce qui la fit un peu rougir, puis ce fut au tour de la blonde.

— Moi c'est Jenna Von Cortenbach, la maison appartient à mes parents, c'est l'une de nos résidences de vacances, on est trop bien ici, n'est-ce pas ? questionna-t-elle avec un léger accent germanique tout en tournant sur elle-même pour appuyer ses propos.

— Carrément ! C'est trop la classe ! Comme toi ! ne se gêna pas de poursuivre Benêt avec son sourire de serial fucker.

       Au grand étonnement de Cali, cette dernière gloussa en mordant sa lèvre inférieure. Mais elle n'est pas avec Julian ? Le bouclé affichait un air troublé, plaçant ses mains dans les poches. Ça va encore finir n'importe comment tout ça... Bref, ce n'était pas les oignons de l'écrivaine, les gens faisaient bien ce qu'ils voulaient de leurs corps, tant que chacun y consentait.

— Bon du coup, on se disait qu'on profiterait d'un petit barbeuc' ici, entre nous, pour clore ce super road trip ! Vous en pensez quoi ? s'enquit Mélodie en direction d'Iker et de Cali.

— C'est une idée au top ! répondit le beau brun qui finissait de se sécher.

Jenna le détailla alors de long en large. Pas touche blondasse ! Moi je ne partage pas !

— Et après on propose d'aller au Sala Wengé, la boîte la plus branchée de Malaga ! C'est hyper sélect', mais ne vous inquiétez pas, j'ai des accès VIP ! affirma Barbie avec un clin d'œil.

— Oh, si ! On est des VIP ! Gracias Jenna, esta muy genial ! la remercia Carmen qui frétillait déjà à l'idée de danser chez les privilégiés.

— Toi et moi on va être amis ! Je ne fréquente que les VIP, de toute façon ! renchérit Benêt.

        Pff... Il est lourd. Et elle frime trop. Ils vont parfaitement bien ensemble. Julian, lui, s'était désintéressé de la conversation, visitant la belle demeure. Il s'arrêta ensuite devant l'énorme barbecue en pierre blanche, l'analysa sous tous les angles.

— Jenna, tu sais comment on l'allume ? demanda-t-il à la mannequin qui parlait joyeusement avec Guigui.

— Aucune idée ! C'est pas automatique ?

         Cali retint un rire. Après quelques gorgées de bières, de jus de fruits, et des bouchées de melon en admirant le crépuscule, Iker, Carmen, Jenna et Julian se rendirent au supermarché pour acheter la viande et le nécessaire pour le barbecue. Mélodie, Cali et Guillaume, quant à eux, dressèrent le couvert sur la terrasse.

Une gigantesque table en teck assortie à deux longs bancs en bois trônait sous un patio tapissé de vigne grimpante et de glycine en fleurs. Le groupe dînerait là, face à la mer.

— Je suis sûre qu'elle est là pour vérifier qu'on ne détruise pas la maison de ses parents ! Comme par hasard, elle m'envoie un texto cet après-midi pour me dire qu'elle est à Malaga, grommela Mélo. Enfin, déjà c'est super sympa de sa part de nous la louer à un prix dérisoire, mais bon... on n'est pas des cassos en mode projet X quand même !

— Tu as l'air de la porter dans ton cœur ou je me trompe ? pouffa Cali.

— À vrai dire, c'est surtout une bonne copine de Park. J'avoue que je ne sais pas ce qu'il lui trouve. À la base, c'est lui qui a négocié cette location !

— Et Julian, c'est son mec... ou ?

— Je ne sais pas, c'est compliqué entre eux... Elle ne fait que le mener en bateau depuis des mois. Disons qu'ils sont... amis et plus si affinités ?

— Elle m'a confirmé, ils ne sont pas ensemble ! Hihihi ! intervint Benêt qui apportait les verres.

— Mais je rêve Guigui, tu ne vas pas la draguer devant lui quand même, un peu de tenue ! gronda Cali.

— Bah, ça n'avait pas l'air de le déranger plus que ça... Si ça se trouve, c'est son trip !

— Roh, allez, va chercher les saladiers dans la cuisine au lieu de nous exposer tes fantasmes pervers ! ordonna la romancière.

— Dixit celle qui se faisait prendre dans la piscine à la vue de tous !

— Même pas !

Elle le coursa pour se venger et il disparut à l'intérieur, hilare.

         Bientôt, le quatuor des vainqueurs revint avec des saucisses aux herbes, des merguez, des ailes de poulet, des boissons, des chips, du pain, une énorme pastèque, ainsi qu'un sac de charbon.

       Iker et Julian s'affairèrent à attiser le brasier, Guillaume et Mélodie servirent l'apéro numéro deux, Cali rangea la cuisine, Carmen alluma son enceinte portable pour y diffuser une mélodie latino-lounge, et Jenna s'installa comme chez elle - enfin c'était vraiment chez elle -, sur un transat à siroter un verre de vin rouge.

Puis, lorsque les premières merguez et chipolatas grillèrent à point, et que leur fumet alléchant titilla les narines des gourmands, ils s'attablèrent.

        L'air était doux, le clapotis des vagues se mêlait à merveille à la musique d'ambiance, la viande croustillait sous la dent, les rires ponctuaient les discussions... Cali se sentit vivre. Partager un bon repas entourée de ses amis et de son amant dans ce cadre idyllique représentait pour elle la définition parfaite du bonheur.

Une fois rassasiés, ils continuèrent la soirée autour de la piscine. Iker dénicha une guitare dans le salon et fit profiter la moitié du groupe de ses talents de musicien. Le plus craquant des craquants du monde. L'autre moitié du groupe constituée de Barbie, Benêt et Carmen, se trémoussa sur une musique plus énervée qui s'échappait de l'enceinte portable.

Enfin, vers minuit, Jenna se mit à taper frénétiquement des mains.

— Bon ! Mes chers amis, c'est l'heure d'élever le niveau de la fête, on décolle direction Sala Wengé pour le carré VIP !

Cali ne put s'empêcher de rouler des yeux.

— Yeah, yeah, yeah, c'est partiii ! la suivit le blondinet en remuant des fesses, déjà complètement sous le charme.

— Siii ! applaudit Carmen.

Mélodie et Julian se levèrent à leur tour.

— Alors on est tous partis ? Direction le Sala Wengé ? questionna l'étudiante, s'adressant en particulier à sa meilleure amie.

— Euh...

Iker et Cali se jetèrent un regard complice.

— Nan, c'est bon, j'ai compris, c'est pas la peine ! Vous restez, je connais la chanson ! souffla Mélodie en agitant les mains, un demi-sourire résigné aux lèvres.

— Tant pis pour vous ! Nous, on Y VA ! s'excita Guillaume en rejoignant Julian et Jenna qui se dirigeaient vers leur voiture.

*

— Oh, Iker regarde ! Une étoile filante !

— Mais non, bébé. C'est un satellite ! Ça se déplace trop lentement pour une étoile filante.

       Ils étaient assis sur la plage, pieds nus dans le sable, les yeux perdus dans la voûte céleste. Le croissant de lune dardait ses rayons indolents sur la mer, les plongeant dans une semi-obscurité. Seules les étoiles brillaient aux firmaments, plus éclatantes que jamais.

La brise marine rafraichissait agréablement leurs visages, s'infiltrant légèrement dans leurs vêtements. À ce contact, la nuque de Cali tressaillit et elle colla son bras à celui du beau brun.

         Après leur dispute, ils avaient besoin de se retrouver, avec comme unique compagnon le doux son des vagues qui les berçait.

— Oui eh ben, satellite, étoile filante, peu importe, je fais quand même un vœu. C'est un truc brillant qui parcourt le ciel, qui sait peut-être que c'est un ovni ! Tu vois, un genre de génie de la lampe de l'espace ! déclara-t-elle.

— Quelle imagination débordante ! Ce n'est pas pour rien que tu es écrivaine, ricana-t-il en la regardant de biais.

Elle le poussa, il se rattrapa de justesse, les coudes dans le sable.

— Continue de te moquer et je te pousse à l'eau ! le charria-t-elle.

— Franchement, ça ne me fait même pas peur, toi par contre, me suivrais-tu ?

— Ahem...

— Chiche ?

Il se leva et commença à se déshabiller. Non, mais il est sérieux ? Il lui sourit de toutes ses dents, puis plissa les yeux, un air de défi dans le regard.

— Alors, ne me dis pas que tu te défiles ?

         Elle soupira. Si tu crois que je vais te laisser gagner... Elle se mit debout en silence et retira sa robe blanche sans lâcher ses prunelles noisette. Il glissa son regard sur son corps tout en formes, et ne put s'empêcher de se mordre la lèvre inférieure. Pour le déstabiliser encore plus, elle dégrafa son soutien-gorge et l'enleva délicatement. Il était à présent immobile, sa respiration se fit plus bruyante. Cali rit intérieurement.

— Alors, on y va ? déclara-t-elle en lui balançant son push-up à la figure.

       Elle courut vers l'eau salée sans se retourner. Cependant, lorsque ses orteils touchèrent l'écume, un frisson la parcourut. Euh, on va y aller petiiit à petiiit hein... Soudain, elle sentit ses jambes se décoller du sol, et les bras d'Iker la soulever.

— Naaaaaaan !

Tandis qu'elle se débattait, il la porta sur plusieurs mètres, jusqu'à ce que l'eau lui arrive à la taille.

— Nan ! Iker ! repose-moi !

— D'accord, si c'est ce que tu veux.

        SPLASH ! Elle atterrit d'un coup dans la Méditerranée, comme une baleine échouée. La fraîcheur de l'eau engourdit ses membres, des soubresauts la parcoururent, sa mâchoire tremblota. Entre les vagues, elle entraperçut une jambe qu'elle tira vivement vers elle, et le jeune homme tomba à sa renverse. Des cris puérils s'échappèrent de sa gorge, suivis d'un fou rire.

— Iker ! Elle est GELEE ! articula Cali qui se releva en claquant des dents.

Il s'approcha toujours en riant et l'enlaça fermement.

— T'inquiète pas, je vais te réchauffer.

         Il effleura sa colonne vertébrale, caressa tendrement sa nuque, parcourut la naissance de sa mâchoire avec son index pour arriver à ses lèvres. Puis, il franchit les derniers centimètres qui les séparaient. Elle sentit son souffle chaud caresser sa peau, et ses lèvres suivirent le même parcours que ses doigts. Il déposa des baisers embrasés sur son épaule, sa clavicule, sa gorge, son menton... sa bouche. Il mordit ensuite légèrement la lèvre inférieure de l'écrivaine pour stopper ses tremblements. Elle émit un gémissement et l'embrassa subitement.

Leurs langues se rencontrèrent, s'apprivoisèrent, s'emmêlèrent, se goûtèrent. Hmm, salut citron meringué...

       Ensuite, il continua d'user de sa langue pour lécher son cou de haut en bas, suivi de sa poitrine. Il fléchit doucement les jambes pour atteindre le bout de ses seins qu'il saisit dans ses mains habiles. Il les malaxa, les embrassa, les porta à sa bouche pour les aspirer et les lécher goulûment. Elle sentit la texture souple et humide de sa langue danser autour de ses tétons qui se durcirent au maximum. Tandis qu'il suça ses mamelons avec délectation, une exquise vague de chaleur envahit son ventre et son entrejambe. Elle n'avait plus froid.

Puis, il remonta vers son visage pour le picorer de baisers et en profita pour agripper ses fesses qu'il pétrit allègrement en baladant ses mains sous son maillot de bain.

Elle caressa alors son dos puissant et en fit de même, ce qui les fit pouffer. À son tour, elle embrassa sa gorge, lécha sa pomme d'Adam, promena sa langue sur son torse athlétique.

Iker frémit contre elle, et elle sentit qu'il était bien trop serré dans son boxer...

Elle descendit ensuite plus bas, savourant la peau hâlée qui recouvrait son abdomen et son ventre ferme, puis s'aventura à s'agenouiller dans l'eau fraîche, qui la recouvrit jusqu'aux omoplates.

         Une vision délicieuse s'offrit à l'écrivaine : le désir fou de son homme pour elle. Elle approcha ses lèvres pour embrasser son aine, puis releva la tête afin de croiser son regard. Ses beaux yeux flambaient d'excitation, ses lèvres se fendaient d'un sourire coquin. Il n'en fallut pas plus pour qu'elle glisse ses mains dans l'interstice de son boxer pour le faire descendre sur ses cuisses.

Humm, sa forte érection se dressa fièrement vers elle, l'incitant à la prendre dans sa bouche. Elle saisit délicatement sa verge, la lécha de tout son long avant de gober son gland doux et spongieux. Elle tournoya sa langue tout autour, le taquina et l'aspira, puis enfonça plus profondément son sexe dans sa gorge, en effectuant des va-et-vient. Il gémit intensément. Elle aimait le savourer : il avait le goût iodé de la mer, avec une touche sucrée. Mais surtout, elle adorait le voir atteindre le nirvana grâce à sa bouche. Ses longs cils bruns qui papillonnaient, ses joues qui rosissaient, et ses grognements masculins, l'émoustillaient au plus haut point.

Il attrapa soudain ses bras et la releva en quelques secondes.

— J'ai trop envie de toi, Cali... On rentre avant que quelqu'un nous chope encore ? lui suggéra-t-il dans un murmure.

Elle hocha la tête et ils se précipitèrent vers l'intérieur, main dans la main.

— T'es vraiment douée. C'était trop bon, merci, lui susurra-t-il à l'oreille alors qu'ils ramassaient leurs affaires sur la plage.

— Je t'en prie, moi aussi j'adore te donner du plaisir.

       Il bondit d'un coup vers elle et la souleva de nouveau pour la porter jusqu'à la chambre - ce qui fut plus compliqué que prévu, le jardin des Von Cortenbach étant immense.

       Finalement, il la déposa sur le lit King Size en soupirant de soulagement. Elle ricana et ils retirèrent leurs dessous. Le beau brun s'allongea sur elle, et la sensation de son corps nu et encore mouillé contre sa peau la fit frissonner. Il huma ses cheveux, frotta son nez au sien, l'embrassa passionnément. Sa langue se promena le long de son oesophage, glissant sur son nombril et son bas-ventre. Ensuite, il se fraya un passage entre ses jambes, lui adressa un regard de braise, avant de disparaître à l'intérieur de ses cuisses.

Son clitoris eut droit à un traitement de faveur : embrassé ardemment, léché abondamment, sucé généreusement. Haaaaan. Premier gémissement sonore.

Il écarta ses petites lèvres qu'il aspira également, puis continua son cunnilingus avec application. Mmmmmh. Deuxième gémissement fiévreux.

Enfin, il la pénétra avec sa langue tout en jouant avec son clitoris de son pouce. HAAAAN. Troisième gémissement tumultueux. Elle se contorsionna, agrippa brusquement les cheveux d'Iker. Ses yeux se révulsèrent, des tremblements la secouèrent, le septième ciel lui tendit les bras : premier orgasme.

À peine se remit-elle de sa jouissance qu'il la pénétra avec son sexe. Putain, c'est trop bon.

         Il attrapa ses jambes pour les plier jusqu'à ce que ses chevilles se placent sur ses épaules. Oh seigneur, oui. Ses puissants coups de reins la rendirent hors de contrôle, et elle s'agrippa à la tête de lit. Il empoigna alors sa gorge, et ils partagèrent un baiser langoureux pendant qu'il continuait de la pilonner. Sa verge si dure, qui la remplissait tellement bien, procura à son bas-ventre une chaleur indescriptible qui se diffusa dans tout son être. Oh... elle se caressa quelques secondes, et un tsunami l'emporta de nouveau. Des spasmes intenses saisirent son sexe et tous ses membres : deuxième orgasme.

— Woah bébé, une nuit sans baiser et tu deviens enragée... l'embêta-t-il tandis qu'elle reprenait ses esprits.

— Toi, tu ne paies rien pour attendre ! souffla-t-elle en relevant le buste.

        Elle saisit les épaules d'Iker et le fit basculer pour se placer à califourchon sur lui. Elle dicta la cadence, s'amusa à bloquer les bras du jeune homme avec ses mains tout en le chevauchant. Cette fois, ce furent ses magnifiques yeux noisette qui se révulsèrent. On fait moins le malin ?

D'un coup, il se dégagea de son emprise et harponna les fesses de la jeune femme. Il les malaxa et leur fit effectuer des allers-retours exquis sur sa verge. Cali gémit, chancela contre lui.

Le beau brun taquina alors l'entrée interdite de son amante, qu'il continuait de pénétrer par des va-et-vient réguliers. Il la regarda comme pour attendre une approbation, et lut dans ses émeraudes brillantes une envie décuplée. Il inséra alors très doucement son doigt dans le petit orifice de sa partenaire, qui gémit de plus belle.

         Cali s'abandonna à lui, ne répondant plus d'elle. Il l'embrassa à pleine bouche, mordilla son épaule, suça avidement ses tétons. Comblée de toutes parts, l'écrivaine ne tarda pas à frissonner de tout son corps. Elle se cramponna au cou d'Iker, enfonça ses ongles dans sa peau, vibra fiévreusement. Son sexe trempé explosa d'extase : Troisième. Putain. D'orgasme. Elle tressauta pendant plusieurs secondes, un nuage cotonneux de plaisir l'engloutit.

       Son amant qui l'avait jusque-là fascinée par son endurance, ne put cette fois se retenir et jouit également en elle dans un gémissement puissant.

Essoufflés, suants, voguant au paradis, ils soupirèrent de joie.

— Oh, mon dieu ! Il s'est passé quoi ? haleta Cali, les mains sur la poitrine.

— Il s'est passé que ça faisait plus de vingt-quatre heures qu'on était séparés, répondit Iker avec un large sourire avant de déposer un baiser sur son front.



https://youtu.be/darkyFo_YL4

Parce que j'aime beaucoup trop cette chanson et qu'elle est parfaite pour ce chapitre O:)




Heum heum heum que dire, j'espère que vous avez apprécié ce chapitre, on dirait bien que nos deux loulous sont parfaitement sexuellement compatibles =D

Hélas, la fin du road trip s'annonce, ainsi que le retour à la réalité. Et un secret bientôt dévoilé ! Alors, alors, des théories maintenant que la fin approche ? :)

MERCI ENCORE pour vos lectures <3 c'est mon letimotiv ! (Et si vous avez aimé ce chapitre n'oubliez pas la pitite étoiiile siouplééé :3)

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