Chapitre 2. Université et règles
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- Plusieurs mois plus tard -
Mon réveille sonne. J'ouvre les yeux et pose ma main dessus pour l'éteindre.
Je me réveille en m'étirant doucement dans mon lit.
Diana fait éruption dans ma chambre.
- Bonjour mon Ange.
- Bonjour Diana, dis je d'une voix fatiguée en me redressant dans mon lit pour m'asseoir.
- Tu as bien dormis ?
- Humm.. sa peut aller, dis je en me frottant un peu les yeux.
- Rose est déjà debout, elle prend son petit déjeuner dans la cuisine et à hâte de te voir dans ton nouvel uniforme.
Diana sort de ma chambre et je me met à soupirer.
Ah oui, c'est vrai, aujourd'hui j'intègre l'université.
L'université que j'ai choisi est très réputer dans le pays.
Avoir de bonne note, de bonne appréciation de la part des professeur et faire partie d'une bonne famille. Voici les critères à avoir pour avoir une chance de l'intégrer.
Je m'étais déjà inscrite pour m'y rendre, des professeurs ont également appuyer ma candidature et j'ai reçu un courrier de la part du directeur lui même qui me souhaitait la bien venu sans même à avoir à passer le test oral et le petit "bizutage" des anciens élèves.
Apparemment s'était une journée d'intégration obligatoire pour qu'on puisse juger chaque élève retenu par rapport à leurs capacité physique.
Une drôle de façon d'accueillir les nouveaux.
J'ai donc été dispensé de tout ça, un privilège.
Par contre, ceux qui ont été retenu ont un avantage par rapport à moi, c'est qu'ils ont déjà visité l'école et fait quelques rencontre lors de leurs de leur journées d'intégration.
En plus, pour ne rien arrangé, j'ai rater les deux première semaines de cours. Je suis tombé gravement malade, et mes insomnies ainsi que mon manque d'appétit n'arrangeait rien.
- Ha ! Sa va être une journée riche en émotion, me dis je à moi même.
Je sort de mon lit et vais prendre une douche avant de m'habiller de mon nouvel uniforme.
Rien de très extravagant. L'uniforme est simple, une chemise blanche avec la petite veste noir marine, une jupe à carreaux plissé et une cravate dans les mêmes tons.
Je rajoute juste une petite chaine en or sur mon uniforme pour la rendre un peu plus jolie, avant d'enfiler les longues chaussette blanches et les chaussures à petit talon qui ressemble beaucoup à ceux que porte les hôtesses de l'air.
Je brosse mes cheveux et décide de les laisser au naturel, c'est à dire lisse. J'ai de beau cheveux brun foncé lisse et long jusqu'au bas de mon dos.
Mon secret ?
C'est génétique.
Maman avait les même cheveux lorsqu'elle avait mon âge, mais elle les a coupé au carré lorsqu'elle a pris de l'âge. Surement qu'elle n'avait plus beaucoup de temps pour s'en occupé.
En tout cas sa lui va bien, sa lui a rajouter du caractère que j'aime beaucoup.
J'attrape mon cartable en cuire noir et descend rejoindre ma soeur dans la salle à manger.
Je la retrouve assise toute seule avec son bol de céréale et quelques fruit. Elle me regarde et fait un énorme sourire.
- Waaah Ange ! Tu es trop belle dans ton nouvel uniforme !
Elle saute de sa chaise et court dans mes bras. Je souris en la portant et en la serrant un peu plus fort dans mes bras.
- Doucement Rose, dis je en souriant.
- Ma grande soeur est trop belle ! Tu te fera plein d'amis j'en suis sure !
Je fais un petit sourire et la repose au sol.
- Merci ma petite fée, tu es adorable.
Elle retourne s'asseoir à sa place et je la rejoint juste en face avant d'entamer mon petit déjeuner déjà prêt et dresser à ma place habituel.
- Alors ? Tu as hâte d'intégrer ta nouvelle école ? me dit Rose joyeusement.
- Un peu, j'ai surtout hâte de voir le programme scolaire, les salles de classe et de rapidement terminé l'année pour entamé la nouvelle.
Je la répond en continuant à manger mes œufs brouiller avec mes bacons.
- Moi j'espère que tu te trouvera un petit ami.
Je manque de m'étouffer avec ma tasse de thé et lui jette un regard mauvais.
- Pourquoi tu me parle de petit ami ?
- Pourquoi pas ? Tu n'as jamais eu de copain alors que je sais que tu as beaucoup de prétendant.
- Arrête de dire n'importe quoi Rose, dis je en souriant et en reportant mon attention sur mon petit déjeuner.
- Je ne ment pas, même Diana est d'accord avec moi. Je rêve de te voir avec un garçon un jour et que tu vive une histoire d'amour comme les princesses.
- Tu n'es pas un peu trop jeune pour pensé à ce genre de chose ? lui dis je en levant un sourcil l'air interrogateur.
Elle hausse les épaules avant de me répondre.
- Bah quoi, je vois beaucoup de vidéo qui passe sur ma tablette.
- Diana ?! criais je.
- Oui Ange ?
J'entend Diana arriver rapidement dans la salle à manger.
- Diana, il faudrait filtré les vidéos qui passe dans la tablette et le téléphone portable de Rose.
- Oui ne t'inquiète pas, nous avons déjà filtré chaque application pour la protéger. Pourquoi ? Il y a une vidéo douteuse qu'elle a vue ? me dit elle un peu paniquer.
Je regarde ma petite sœur, qui me souris de toute ses dents.
- Non, mais elle me parle un peu trop d'amour et de petit copain à mon goût. J'ai peur que sa l'intéresse un peu trop vite.
Je la fusille du regard alors que sa petite frimousse fait une grimace avant de s'adresser à Diana.
- Ange est un peu fâcher parce que je lui ai dis d'avoir un petit ami.
Diana souris et hoche la tête.
- La petite Rose n'a pas tord.
- Tu ne vas pas t'y mettre toi aussi Diana ? dis je en soupirant et en croisant les bras alors que Rose se met à rire.
- Non je ne dis pas qu'il faudrait que tu sorte impérativement avec un garçon, mais juste que... tu soit plus ouverte.
- Plus ouverte ?
- Oui, j'ai remarquer que tu ne t'adresse à aucun garçon et que si l'un d'eux te porte un certains intérêt tu te met à fuir. Et ses derniers mois s'étais devenu pire.
Je baisse le regard et me met à soupirer, me rappelant pourquoi aucun garçon ne m'intéresse, et surtout depuis un certain moment.
- On verra, laissons le temps faire les choses, je ne suis pas presser de me caser avec quelqu'un et...
- Et ? demande Diana.
- Et.. figurez vous que j'ai déjà eu un certain rapprochement avec un garçon.
Les yeux de Diana et de rose s'agrandissent en m'entendant.
- Quoi ? hurle Rose.
- Mais tu ne m'en a jamais parler ! Il est d'où ? De ton ancien lycée ? me demande Diana.
- Non, je l'ai rencontrer juste un soir mais je n'en dirait pas plus.
Je me lève, aillant terminé avec mon petit déjeuner et part rapidement dans la salle de bain pour me brosser les dents.
Je retourne ensuite dans la salle à manger et vais faire un rapide bisous sur la joue de Rose et de Diana avant de les salués et de partir en leur souhaitant de passer une bonne journée.
Sans avoir oublié mon cartable, je passe la porte d'entrée et voit Max mon chauffeur m'ouvrir la porte de notre berline noir.
- Bonjour mademoiselle Clear.
- Bonjour Max.
Je grimpe rapidement à l'arrière de la voiture et Max me rejoint à l'avant.
- Prête pour votre premier jour d'école mademoiselle ?
- Pas le choix, dis je en faisant un petit sourire.
- Je suis sure que sa va bien se passer mademoiselle, soyez juste vous même.
Je le regarde à travers le rétroviseur et hoche la tête doucement avant de sourire.
C'est justement ça le problème.
Je ne sais plus quand est ce que je suis moi même.
Je soupir et m'adosse contre le siège avant de regarder par la fenêtre. Ma main se pose instinctivement sur mon cou, à la recherche de ma chaine.
Je sent le pendentif au bout de mes doigts et le porte devant mon visage pour le contempler.
C'est un magnifique cristal rouge en forme de larme, avec un serpent sur le dessus qui s'enroule sur le bout du cristal.
Le serpent semble comme.. protéger le cristal rouge.
Je me rappel encore de ce matin la, je m'étais réveiller seule dans mon lit. J'avais sursauté et me suis rapidement lever de mon lit en me rendant compte qu'il n'était plus là.
Je me suis dirigé vers mon dressing et ma salle de bain, mais personne.
Par terre il n'y avait plus les couettes et les oreillers que j'avais placé. Je retourne dans le dressing et les retrouves parfaitement rangé à leur endroit habituel, comme s'il n'avait pas bougé d'un pouce.
J'ai cru que j'allais devenir folle.
Est ce que j'avais vraiment rêver ?
Non, impossible.
Je n'ai jamais autant bien dormi de toute ma vie.
Je vais vers ma fenêtre et jette un coup d'oeil à l'extérieur. La neige avait tout recouvert, aucune trace de pas et pas de signe d'intrusion.
Je reste un moment planté la, à regarder mon lit en face de moi, me persuadant intérieurement de n'avoir pas rêver.
Je regarde mon portable et fronce les sourcils en voyant une petite chose briller juste à coter.
Je m'approche et aperçois un pendentif avec un magnifique cristal rouge sang et un serpent.
S'étais de lui.
Est-ce que s'étais un cadeau pour me remercier de l'avoir héberger ?
Ou un cadeau de noël ?
Un petite sourire s'était dessiner sur mon visage en trouvant ce pendentif, heureuse de confirmé que tout ceci n'étais pas un rêve.
Je m'étais rendu dans une bijouterie et avait acheter une chaine en or assez fine et doré pour que je puisse porter le pendentif.
A la vu de mon pendentif, le joailler était stupéfait et m'avait demander le permission de regarder de plus près le cristal.
Il était munie de sa petite loupe spécial et avait examiner la pierre, son visage était devenu de plus en plus pale.
- Où avez vous trouvez ce pendentif mademoiselle ? me demande t-il.
- Euh.. C'est à dire que je l'ai reçu comme cadeau.
Il me regarde, abasourdie.
- Un cadeau ? Une pierre d'une aussi grande valeur vous a été offert ?
- D'une grande valeur ? demandais je.
Il se redresse et me montre la pierre qu'il tient au bout de sa pince.
- Ceci, mademoiselle, est une Painite un minéral de type borate extrêmement rare que l'on confond parfois avec du ruby, mais lui est encore plus rare, et surtout de cette qualité. On en compte qu'un millier dans le monde, un nombre ridicule. Un carat de cette pierre est d'environs 60.000 $.
Habituer aux énormes sommes, je suis tout de même étonner et choqué du prix que me donne le joaillier.
- La qualité est remarquable et la plus pure que j'ai put voir, elle a été travailler et taillé par un professionnel sa se voit. Et le serpent autour est fait en or 18 carat parfait pour un usage quotidien. Je ne peux pas estimé le prix de votre pendentif il coûte à lui seul, plusieurs millier de dollars.
Il vient me passer le collier autour du cou. Je me tourne et lève mes cheveux pour qu'il puisse fermer la chaine.
- Je ne sais pas qui est la personne qui vous offert un tel présent, mais il doit beaucoup vous appréciez. Vous savez qu'un bijou est plus parleur qu'une fleur ?
- Comment ça ? demandais je en me retournant vers lui.
- Pour vous le faire rapidement, la pierre rouge est synonyme de passion et d'amour. Le serpent signifie la protection, le perpétuel retour et l'idée de la vie et de la mort. Votre ami essaie peut être de vous faire passer un message.
Il m'avait fait un clin d'oeil amuser et je l'avais fait un petit sourire, complètement perdu.
Je n'avais pas totalement bien saisi ce qu'il m'avait dis, mais une chose est sure, le "perpétuel retour" n'est jamais arrivé.
Plusieurs mois s'était écouler et je n'ai eu aucun signe de monsieur le cambrioleur au pendentif qui valait des milliers de dollar.
Toute cette histoire est complètement folle.
J'ai décider de ne plus m'y intéresser et de me plonger dans mes études comme je sais si bien le faire.
Et aujourd'hui n'allais pas faire exception.
Max s'approche de la gigantesque façade en brique. Cette endroit ressemble à un véritable château, c'est incroyablement beau.
J'avais déjà fait quelques recherche sur internet, mais voir de ses propres yeux donne un tout autre effet.
Max entre dans la cours de l'école et s'arrête devant l'entrée où trônait de grande marche.
Il vient ensuite m'ouvrir la portière et je sort pour enfin faire face à cette université.
- Je vous souhaites une bonne journée mademoiselle, me dit Max en me tendant mon cartable.
- Merci beaucoup Max, dis je en lui souriant et ne prenant mon cartable.
Je passe un bras dans la lanière de mon sac et le met à moitié sur mon dos.
- Bienvenu mademoiselle Clear !
Mon regard qui était sur la grande façade, se reporte sur l'homme à moitié chauve qui se dirige vers moi les bras grand ouvert.
C'est le directeur.
- Bonjour monsieur le directeur, merci d'être venu à ma rencontre, dis je poliment.
- Mais que dites vous ma chère, c'est tout à fait normal d'accueillir en personne une élève tel que vous. Venez venez, je vais vous faire une visite rapide de l'établissement.
Je le suis lui ainsi qu'un autre homme qui doit être le directeur adjoint et une autre élève qui me sourit timidement.
Elle doit avoir le même âge que moi, elle a les cheveux blond légèrement ondulé qui lui arrive un peu un bas des épaules, avec de magnifique yeux bleu clair.
Et ce n'est que maintenant que je remarque que plusieurs élèves nous observait, enfin, qui m'observait moi.
Je n'aurais vraiment pas dut tomber malade les deux premières semaines.
Ce n'est pas comme si j'avais eu le choix non plus.
Le directeur parle en me montrons rapidement plusieurs salle de cours, la cafétéria, la bibliothèque, les toilettes, la salle de sport avec les terrains en plein air... etc.
Tout ça pour me dire :
- De toute façon il y a un plan à chaque étage, tu ne pourras pas te perdre.
- Super, merci beaucoup pour la visite monsieur le directeur, dis je simplement.
- Tout le plaisir est pour moi. Oh et..
Il vient me montrer la jeune fille qui nous suivait depuis le début de la visite.
- Je te présente Alice, elle suis les même cours que toi et va te chaperonner le temps que tu t'intègre bien.
- Bonjour, me dit simplement la fameuse Alice.
- Bonjour Alice, lui dis avec un sourire.
- Bon je vous laisse entre fille. Alice occupe toi bien d'Ange, c'est une invité d'honneur.
- Oui monsieur le directeur, lui dit Alice.
Le directeur part rapidement avec le directeur adjoint.
Alice me jette un regard interrogateur.
- Une invitée d'honneur ? Et tu as fait quoi pour avoir ce titre ? me demande t elle.
- Bonne question, je lève les épaules en l'air. J'ai plus l'impression que les invités d'honneur sont mes parents.
Elle se met à rire, ce qui détend un peu l'atmosphère. Je n'ai jamais vraiment eu du mal à me faire des amis, parce que les filles viennent d'elle même vers moi.
Mais je sais qu'Alice est ici uniquement sous les ordres du directeur.
- Tu es donc toi aussi en filière Éducation et Enseignement ? lui demandais je en lui emboitant le pas pour continuer un peu la visite.
- Ouais, je voudrais devenir institutrice en école primaire.
- Ah oui ? D'accord, moi je t'avoue que je préfère les élèves du collège, les enfants c'est pas trop mon fort.
- Tu déconne ? Qui ne voudrais pas s'occuper de petit bout de choux tous les jours ? me dit elle consterné.
- Moi, dès qu'un pleure, sa devient une vraie choral je te raconte pas.
- Ah ça c'est pas faux.
On se met à glousser et Alice vient me montrer mon casier qui est juste à coter du siens, ce qui me va parfaitement.
- Le directeur voulais ABSOLUMENT qu'on devienne copine et à même tenu à ce qu'on soit cote à cote pour nos casiers.
Je me met à sourire en secouant la tête et vient ouvrir mon casier sous le regard d'Alice.
- Je t'avoue que j'avais peur de tomber sur une fille à papa gâtée pourri lorsque j'ai vue tous les privilège qu'on te faisait.
- Comment ça ? dis je en rangeant quelques affaires dans mon nouveau casier.
- Bah oui, tu n'es pas venu à la journée d'intégration, tu étais absente pendant les deux premières semaines et en plus de ça c'est le directeur lui même qui est venu t'accueillir. Et il y a même des rumeurs qui disent que tu n'as pas eu à passer le test d'oral.
Je la jette un petit regard coupable et elle me regarde avec de grand yeux.
- Quoi ? Tu n'as vraiment pas passer le test oral ?
- Le directeur m'a envoyer un mail pour me dire que j'étais prise de toute façon et que le test oral ne servirait à rien, du coup oui je ne l'ai pas passer.
Elle ouvre la bouche en grand, comme choqué.
- Mais qui es tu ? Tu as du sauver quelqu'un pour avoir autant de privilège !
- Non désoler ne n'ai sauver personne, dis je amuser. Mais c'est surement dut à mes notes, mes appréciations et la fortune de mes parents.
- Tes notes ? Ok, tu as eu combien à ton BAC ?
- 20.
- Comment ça 20 ? Tu as eu un 20/20 à ton BAC ?!
J'hoche la tête.
- Quoi ? C'est possible ça ? Sa veux dire que tu n'as eu aucune faute ?
- C'est ça oui.
- C'est vraiment possible ça ? me dit elle choquée.
- J'en suis la preuve, et j'ai eu de très bonne appréciation de la part de tous mes professeurs qui m'ont tous recommander au directeur pour intégrer cette école.
- Et t'es parents sont riches ?
- Ouais, énormément riche. On a plusieurs ligne d'hôtel, de boutique de luxe et quelques entreprise en agroalimentaire.
- Putain, il y a de quoi t'accueillir comme une reine alors ! Bienvenu dans cette école qui ne semble même pas te mériter alors que c'est la plus prestigieuse du pays.
Je lui souris en levant les yeux au ciel.
- Mais du coup pourquoi tu n'es pas venu les deux premières semaines d'école ? Tu avais des truc important à faire avec ta famille ?
- Non, j'étais juste... malade.
Elle me regarde et je la vois se retenir de rire.
- Hey ! Ne rigole pas ! J'étais au bord de la mort tu peux pas savoir ! lui dis je en la poussant doucement.
Elle se met alors à éclater de rire, se qui me fit également éclater de rire.
- Putain la meuf à rater deux semaines de cours à cause d'une grippe, alors que toute l'école te prenais pour une diva sans cervelle qui avait donner des pots de vins au directeur pour intégrer l'école.
- Quoi ? dis je en rigolant.
- Bah ouais c'est clair ! Alors que tu es toute l'inverse, tu as eu des privilèges parce que tu es une vraie intello, que tu es gentille et que tes parents sont riches, c'est tout.
Je lui donne une tape alors qu'elle vient m'aider à fermer mon casier et on se rend en cours, sous les quelques regard des curieux, surement jaloux de nos gloussement.
Lorsque j'entre avec Alice dans la salle de cours, quelques élèves portent leur attention sur moi. Je souris timidement et vais m'asseoir près d'Alice qui ma garder une place.
Le professeur entre dans la classe en nous saluons rapidement.
Sont regard se pose sur moi qu'il remarque rapidement.
- Oh ? Nous avons une nouvelle dans la classe ? Est-ce que tu peux te présenter jeune fille ?
D'un signe de la main, il vient me montrer le tableau. J'expire doucement avant de me lever de mon siège et de venir me placer devant toute la classe.
- Présente toi rapidement pour que tes camarades de classe puisse te connaitre, me dis le professeur.
J'hoche la tête et fait balader mon regard rapidement sur les élèves assis, qui ont tous l'air intriguer.
- Bonjour, je suis Ange Clear, je viens du lycée de Los Angeles Hamilton high school et j'arrive en première année dans la filière Éducation et Enseignement, je fais un petit sourire, gêner d'être devant autant de monde.
Je vois quelques filles me juger du regard, tant que les garçons parlent entre eux en rigolant tout en me regardant de haut en bas.
- Merci mademoiselle Clear, est ce que vous avez des questions à lui poser ? demanda le professeur aux élèves.
Une fille lève la main et le professeur lui donne la parole.
- Pourquoi tu n'arrives que maintenant ? La rentré s'étais il y a deux semaines, dit-elle d'un ton sarcastique, comme pour se moquer.
Quelques élèves se mettent à discuter entre eux, créant un bruit de fond.
Le professeur tape des mains en demandant le silence.
Je regarde la fille qui venais de prendre la parole et lui dit tout simplement la vérité.
- Je suis au courant que la rentré est passer de deux semaines, je n'ai pas put être présente car j'avais eu des soucis de santé.
Tous les élèves se tut, maintenant ils doivent pensé que j'ai une maladie grave alors que j'avais juste la grippe.
Une autre fille qui porte des lunettes de vue lève la main, et le professeur lui donne la parole.
- Est-ce qu'on peut savoir ton classement dans ton ancien école ?
Je souris amuser, sa se voyait qu'elle voulait savoir si j'étais une adversaire de taille, et elle ne sera pas déçu.
- Oui bien sure, j'étais classer 1ère.
Ils font tous de grand yeux.
- 1ère ? Dans quel matière ? rajout-elle.
- Dans toutes les matières.
Elle reste scotché, les yeux grand ouvert tant dis que le brouhaha reprenait dans la classe.
J'ai l'habitude d'avoir l'attention sur moi, mais je ne connais encore personne à part Alice, qui d'ailleurs me regardait avec un grand sourire, amuser.
- Elle pourrait peut être battre Gray ?
- Impossible, il a toujours été premier, toutes matières confondus.
- Oui et il est en troisième année, il n'est pas comparable.
J'arrive à percevoir quelques bribe de discussion, mais la classe re devient silencieuse sous les ordres du professeur qui frappe encore des mains pour attiré l'attention.
- Une dernière question avant que mademoiselle Clear reprenne sa place ? demande le professeur.
Pour une fois c'est un garçon qui lève la main, et le professeur lui donne la parole.
- Est-ce que tu es célibataire ?
Les garçons viennent se frapper dans les mains en souriant, visiblement amuser. Les filles lèvent les yeux en l'air, agacer par leur enfantillage.
- Oui, dis je simplement.
Ma réponse semble les satisfaire puisqu'ils font de grand sourire avant de se jeter des œillades entre eux.
- Vous devriez d'abord étudier au lieu de perdre du temps dans des relations futile monsieur Williams, lui dit le professeur. On vous remercie pour votre temps accorder mademoiselle Clear, vous pouvez retourner à votre place.
J'hoche la tête pour le remercier et retourne m'asseoir près d'Alice, c'est à dire au premier rang.
Le professeur vient ensuite prendre la parole et commencer le cours.
La matinée passe à une vitesse folle, et l'heure du déjeuner est arrivée.
On sort moi et Alice pour se rendre vers notre casier et échanger quelques livres pour les prochaines matières. On se dirige ensuite vers la cafétéria.
Digne de la plus prestigieuse école du pays, la cafétéria est immense, il y a même un étage en plus. Plusieurs tables sont disposé, il y a aussi quelques plante qui rend l'atmosphère chaleureux alors que les tons sont plutôt clair.
Le buffet propose plusieurs plats, allant du fast-food aux plat gastronomique.
Bien sur la cafétéria est bonder de monde, mais Alice trouve rapidement une table pour qu'on puisse s'y installer.
- Coucou les filles, ont peut s'asseoir ?
Je lève le regard et reconnait tout de suite les garçons qui sont dans notre classe.
- Passe ton chemin Williams, il y a plein de table libre, lui dit sèchement Alice.
- Oui mais c'est ici qu'on veut venir déjeuner.
Il vient s'asseoir en face de moi avec ses deux amis qui nous souris.
- Alors... Ange c'est ça ? me demande le fameux Williams.
- Ne fais pas comme si tu ne savais pas, lui dis Alice en levant les yeux au ciel. Elle c'est présenter ce matin et tu avais l'air, pour une fois, très attentif.
- Heureusement que je ne te parlais pas, Alice, lui dis Williams en lui jetant un regard noir.
- Je vais m'gêner de répondre à sa place, pour qu'elle évite de perdre du temps avec un idiot comme toi.
Je reste un moment à les regardes ce chamailler, mais mon attention fut rapidement attiré par un bruit derrière moi.
Je me retourne et fut choquer de voir un groupe d'élèves agresser une fille.
Il lui ont chaviré sa nourriture sur la tête, alors que la pauvre était au sol en pleure avec sa veste qui semblait déchirer. Les cinq gars debout autour d'elle se m'étaient à rire et un l'attrape par les cheveux et la traine violemment sur le sol.
Personne autour ne réagissait.
Certains continuait de manger, d'autres discutaient et quelques un avaient le regard baisser, comme pour essayer de se rendre invisible.
Mais qu'est ce qui ce passe ici ? Pourquoi personne ne l'aide ?
Mais une seule chose résonnait dans ma tête.
"Et si s'était ma petite soeur ?"
Prise d'une rage soudaine, mon corps c'est rapidement dirigé en courant vers ce groupe. Je pousse violemment deux gars pour me frayer un chemin.
- Laisser la !
Je viens retiré rapidement la main de celui qui tenais les cheveux de la jeune fille et me met debout devant elle pour la protéger du mieux que je pouvais.
Ils me regardent tous les cinq, choqués.
Je vois Alice qui s'était lever de sa place, me regarder avec de grand yeux. Elle semblait... avoir peur ?
Les autres élèves dans la cafétéria avaient, eux aussi, toutes leurs attentions sur moi.
Pourquoi maintenant ?
Pourquoi attendre que je soit venu en aide à cette fille pour que vous daigner lui donner de l'attention ?
Mon attention se reporte sur l'un des gars en face de moi. S'était celui qui avait empoigné les cheveux de la jeune fille, et aussi le plus grand du groupe.
Il s'était mis à rire, un rire faux qui ne présageait rien de bon.
- C'est qui celle la ? dit il en regardant les quatre mecs qui étaient avec lui. Tu as perdu la tête ma jolie ? Pourquoi tu viens chercher des histoires hein ?
Il avait hausser la voix, mais je n'avais pas peur de lui et de son 1m80.
- Tu dois être la nouvelle ?... Oui c'est ça, personne d'autres de sensé et qui aurait vécut dans cette ville n'aurais osé sauvé cette pauvre fille.
- Laisser la tranquille, dis je d'une voix froide, sans avoir bouger d'un seul pouce.
- Pourquoi ? T'es qui au juste pour me dire quoi faire ?
Je vois son regard me scruter de haut en bas et un petit sourire viens se dessiner sur son visage. Sa langue viens lécher ses lèvres d'une manière perverse.
Dégoûtant.
- Ha putain, t'es une vraie bombe. Je veux bien laisser cette petite idiote si tu couche avec moi.
Mon visage exprime le dégoût.
- Même pas en rêve, je préfère plutôt mourir.
- Qu'est-ce que tu as dis ?
Il vient saisir me saisir violemment par le col de ma chemise, ce qui arracha un de mes bouton et défaire ma cravate.
Quelques élèves étaient avec leur téléphone portable et filmais la scène.
Au moins il y aura des preuves de ma mort, même si je ne pense pas mourir avec lui.
Il m'avait attiré vers lui, son regard était noir alors que je ne bougeait pas d'un centimètre, attendant mon heure sonner.
C'est alors que son regard se baisse sur mon pendentif qui était sortir de ma chemise dut à sa prise.
Ses sourcils, qui étaient déjà froncer, se courbes d'une autre façon, comme perdu.
Il me lâche violemment, comme s'il s'était brûler.
- Merde ! cracha le gars.
- Mec qu'est ce qu'il y a ? demande son pote à coter de lui.
- Elle... Putain elle...
- Elle quoi ? demande un autre.
Son regard n'avais pas quitter mon pendentif, puis son regarde remonta sur moi et je le vois déglutir, comme terrorisé.
- Toi... Qui es tu ?.. Comment tu as eu ce pendentif ?
Je reste silencieuse, totalement perdue.
Ses potes pose à leur tours, leur regard sur mon pendentif, et ils ont tous un mouvement de recul.
- Putain mec ! Tu la toucher... T'es.. T'es dans la merde... dit un de ses potes.
Je vois le gars qui m'avait saisit par le col, devenir tout pâle et des larmes se former dans ses yeux.
- Non putain... Il.. Il faut que je barre d'ici.. Et toi ? Pourquoi tu ne m'a pas dit que tu le connaissait ?
Je continue de rester silencieuse ne sachant pas du tout de quoi il parle.
- Tu voulais ma mort c'est ça ? me dit il comme s'il venait de perdre la tête. Tu voulais me punir d'avoir fait du mal à cette fille ? Je...
Il semblait être perdu, il attrape sa tête entre ses mains et il part en courant dans le sens opposé avec ses potes qui l'ont suivis en me lançant un regard remplit d'incompréhension et de peur.
Je reste quelques secondes, encore perdu et vois toujours tous les élèves dans la cafétéria me regarder et chahuter entre eux.
Je me retourne en entendant gémir de douleur derrière moi.
Je me baisse pour être à la hauteur de la fille et vient l'attraper par le bras pour l'aider à se relever.
La pauvre était dans un sal état.
Elle avait les cheveux en bataille et remplit de sauce et de nourriture, ses jambes avaient des bleues, le coin de sa lèvre saignait et sa veste était bien déchiré.
- Tu vas bien ? lui demandais je doucement.
Elle se tenait la tête, elle doit sûrement encore avoir mal après que l'autre ordure l'ai tiré les cheveux.
- Je vais t'accompagnée à l'infirmerie.
- M... Merci.. me dit elle doucement, encore sous le choque.
J'entend des pas nous courir après et vois Alice venir près de nous.
Elle attrape l'autre bras de la fille et vient l'aider à marcher avec moi.
Une fois à l'infirmerie, on vient l'aider à se nettoyer les cheveux et ses habits avec un chiffons.
L'infirmière lui soigne rapidement ses blessures et on lui donne quelques cachet pour son mal de crâne.
- Qu'est ce qui c'est passer ? lui demandais je. Pourquoi ils se sont attaquer à toi ?
Elle avait la tête baisser et tripotait le manche de sa veste.
- C'est.. C'est parce que...
- C'est une boursière, lâcha Alice.
Je la regarde comme perdu.
- La plus part des élèves de cette établissement ont des parents fortunés, et d'autres ont réussi à être là grâce à leurs bourses. Par contre vue que nous sommes un établissement essentiellement remplit d'héritier, certains prennent un malin plaisir à harceler les "pauvres", comme ils le disent si bien.
Je reste silencieuse et regarde la fille en face de moi qui avait l'air d'avoir honte de me regarder.
Je pose ma main sur la sienne qui n'arrêtait pas de tripoter le manche de sa veste. Mon geste l'avait fait lever les yeux vers moi.
- Tu n'as pas à avoir honte, tu devrais être fière d'avoir réussi à te faire une place ici, tout cela grâce à toi et toi seul. Les seules personnes "pauvres" que j'ai vue aujourd'hui sont ces cinq gars qui sont là uniquement grâce à la fortune de leurs parents.
Elle me regarde avec de grands yeux remplit de larme et je lui souris chaleureusement. Elle me saute dans les bras et se met à pleurer à chaude larmes.
- Merci, merci d'être venu m'aider.. Je.. j'ai travailler tellement dur pour avoir cette bourse... Je ne peux pas abandonner... Mes parents compte sur moi, mais... Ils me font tellement peurs... Je... Tu.. tu es mon miracle, merci... merci infiniment..
Ses mots étaient coupé par sa respiration saccadé et gêner par les larmes. Mon coeur se met à se tordre de tendresse, tellement cette fille me fait de la peine.
Le monde peut être parfois si cruel.
On reste quelques minutes comme ça, les bras l'un dans l'autres sous le regard tendre d'Alice qui est avait poser une main sur mon épaule.
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On sort moi et Alice en la laissant se reposer à l'infirmerie. La pause déjeuner allait ce finir dans dix minutes.
On a même pas eu le temps de manger avec toute cette histoire.
Alice me regarde d'un air interrogateur.
- Quoi ? lui dis je en marchant.
On avait laisser nos sacs dans notre casier, il fallait donc aller les récupéré avant d'aller en cours.
- Est-ce que tu as des actes suicidaires ?
- Comment ça ? dis je en souriant.
- Tu es totalement folle ! Pourquoi t'être interposer entre ses gars et cette fille alors que tu ne la connait même pas ?
- Je n'ai pas besoin de connaitre quelqu'un pour lui venir en aide Alice.
- Je sais mais quand bien même ! S'était extrêmement dangereux. J'ai entendu comme quoi ce petit groupe fréquente Demon !
- Qui ça ? demandais je perdu.
Elle vient se donner une tape sur le front avant de dire.
- Bah oui putain, je ne t'ai pas encore parler de lui !
- Je ne sais pas de qui mais non je ne pense pas.
- Gray Demon.
Je fronce les sourcils à l'entente de son nom. Il me semble avoir déjà entendu son nom lorsque je m'étais présenter au tableau ce matin.
- J'aurais dû commencer par là. Ici il y a des règles Ange, et l'une d'elle, et surement la plus importante, est celle de ne jamais s'attaquer, de près ou de loin, à Gray Demon.
Je me met à glousser.
- C'est une règle de l'école ? Il me semble avoir lut le règlement pendant ma convalescence et je n'ai jamais lut ce chapitre, dis je sarcastiquement.
- C'est plutôt une règle de vie, me dit elle sérieusement.
On ouvre nos casiers et prend nos sacs respectifs.
- Je ne rigole pas Ange, c'est pour ça que j'avais peur pour toi lorsque je t'ai vue t'interposer entre eux. Je n'avais pas peur des cinq gars, mais j'avais peur Gray débarque.
- Et... qui est ce Gray ? lui demandais je les sourcils froncé.
- Gray Demon, est en troisième année. Est ce que tu as remarqué que l'école avait deux étages ?
J'hoche la tête en continuant de l'écouter.
- Le rez de chaussé sont uniquement pour les 1ère année, l'étage du dessus est pour les deuxièmes années et le dernier étage est uniquement pour les troisièmes années.
- Mais il y a la cafétéria au deuxième étage, lui dis je.
- Oui, la cafétéria étant au deuxième étage, c'est le seul moment où nous sommes accordé à nous y rendre mais nous n'avons pas le droit de monté au dernier étage. Dans la cafétéria également, l'étage est réserver uniquement au troisième année. Lorsqu'on déjeune, on est avec les deuxièmes année mélanger. C'est une sorte de hiérarchie mis en place depuis des générations. C'est pour éviter de se mélanger et d'avoir des confrontations comme celui de tout à l'heure dans la cafétéria.
- Les cinq gars étaient des deuxièmes années ?
- Oui, vu leurs apparences, ils ont sont à coup sure en deuxième année et ont déjà dut apercevoir Gray ou un de ses amis proches.
- Qu'est ce qu'à ce Gray de si particulier ?
- Gray Demon n'est pas n'importe qui. Il a toujours fait partis des écoles les plus prestigieuse est un petit prodige, toujours premiers à toutes les matières et les épreuves, il n'a jamais perdu sa première place. Ses parents font partie des familles les plus riches d'Amérique, dépassant de loin les stars. Et cerise sur le gâteau, il est beau à en mourir.
J'écoute Alice en me disant que j'avais bien entendu son nom de famille quelques part. Il me semble déjà avoir entendu mes parents parler de la famille Demon.
- Par contre, d'après les rumeurs il aurait serait lié à un réseau de gang.
- De gang ? dis je choqué.
Elle hoche la tête et continue de me raconter, mais cette fois ci, le volume de sa voix s'était diminuer, comme pour éviter qu'on nous entende parler de lui.
- Gray serait le second d'un grand réseau de gang, apparemment ce n'est qu'une question de temps avant qu'il la dirige complètement. Certains disent qu'il attend juste de finir ses études.
- Mais, tu viens de me dire que ses parents étaient riches.
- Oui, mais d'après les rumeurs, ils n'aiment pas ses parents ou n'est pas du tout proches d'eux. Il aurait choisi une autre voie ou peut être que ses parents ne sont pas encore au courant de ses petites affaires. Gray à très mauvais caractère, on dit qu'il a un cœur de glace et qu'il aime faire souffrir les gens, il parait même que les bagarres qu'il y a ses derniers temps dans la campus, sont créer uniquement pour le divertir.
Pour le divertir ?
- Il est...
- Il est incroyable ? me dit elle.
- Non ! Il est détestable, j'espère ne jamais croiser son chemin.
- Ah ne t'inquiète pas, Gray ne descend jamais au deuxième étage et encore moins au premier. Il aurait pris possession du dernier étage et aurait un salon privé rien que pour lui dans l'aile droite du bâtiment où il ferait sa sieste et ses magouilles.
- Et comment il fait pour entrer et sortir de l'établissement sans avoir à passer par le rez de chaussée et prendre les escaliers ?
- Aucune idée, il doit y avoir une autre entrée ?
- C'est étrange, et pourquoi le directeur lui donne autant de privilège ?
Alice se met à glousser.
- Peut être pour les mêmes raisons qu'il t'en donne ? me dit elle en levant les épaules. Tout comme toi Gray a des notes excellentes, il est beau et à une immense fortune. Le directeur est un véritable lèche botte, mais qui sait ? Peut être que si tu lui demande il nous donnera une pièce privé à nous aussi ?
Elle vient me faire un clin d'oeil et on se dirige vers notre salle de cours. On entrant, je remarques quelques regards sur moi et des élèves qui discutait se sont arrêter lorsqu'ils m'ont vus.
Même un aveugle saurait qu'on parle de lui.
Je les ignores, aillant eu assez d'émotion pour aujourd'hui.
--
Les cours se termine et je me rend vers le bureau du directeur. Alice à dut rentrer rapidement, mais elle ma expliquer comment me rendre dans le bureau du directeur qui est au deuxième étage.
Je frappe à la porte et attend qu'on me donne l'autorisation d'ouvrir avant de tourner la poignet de la grande porte en bois.
Lorsque son regard se pose sur moi, un sourire vient orner son visage.
- Oh c'est vous mademoiselle Clear, mais qu'est ce qui se passe aujourd'hui ? Vous êtes la deuxième élèves importante qui vient de passer dans mon bureau dans la même journée.
- Je suis désoler de vous déranger d'avantage monsieur.
- Pas de soucis, au moins vous vous êtes plus agréable à supporter qu'un autre élève qui me donne frisson dès qu'il entre dans mon bureau. Rien que d'y pensé, j'ai des sueurs froides.
Il vient prendre un petit mouchoir et s'essuie le front.
- Alors que me vaut votre visite mademoiselle Clear ? Est ce que votre première journée c'est bien passer ?
- Oui très bien, enfaite je voulais vous demandez un renseignement sur une élève.
Ses sourcils sont légèrement froncé.
- Sur une élève ? Elle vous aurait fait quelque chose ? Je peux m'en charger pour vous si vous le souhaitez...
- Non, pas du tout, dis je rapidement. Cette après-midi dans la cafétéria il y a eu une altercation entre cinq élèves et cette jeune fille.
- Ah vous voulez parler de mademoiselle Kin.
Donc il était au courant ? Et il n'a rien fait ? Pourquoi ?
- Que lui voulez vous ?
- Je.. J'aimerais avoir des informations la concernant.
- Et je peux savoir pourquoi vous voulez des informations sur cette élèves ?
- Parce que j'aimerais.. j'aimerais beaucoup l'aider. Je sais qu'elle est boursière et qu'elle a des soucis d'argent, j'aimerais étudier son dossier et avoir des informations sur elle et ses parents.
Le directeur reste quelques secondes silencieux en me fixant.
- Je ne peux pas vous donner de tel information... mais vu que c'est pour faire un geste gratifiant, je n'y pas vraiment d'inconvénient. Je vous enverrais sa fiche d'inscription par mail.
Je lui fait un sourire, heureuse.
- Merci beaucoup monsieur le directeur.
- Ce n'est rien, bonne soirée jeune fille.
J'hoche la tête et me dirige vers la porte que j'ouvre pour sortir, mais lorsque je commençais à fermer celle ci, j'entend le directeur parler tout seul.
- Mais qu'est ce qu'ils ont tous à me demander des informations sur l'un et sur l'autre ?
Je m'étais arrêter net quelques seconde, avant de complètement fermer la porte et de partir.
Je me dirige vers la sortie de l'école et aperçoit Max qui m'attendais près de la berlin noir.
Il vient m'ouvrir la portière et je pose mon sac à dos avant m'y engouffrer et m'installer.
- Votre journée c'est bien passer mademoiselle ? me demande Max.
Je le regarde dans le rétroviseur et hoche la tête en faisant un petit sourire.
Globalement sa c'est bien passer, je m'entend bien avec Alice et je n'ai pas été blesser.
Je touche mon pendentif du bout des doigts en me rappelant la terreur dans les yeux des gars qui l'avaient aperçu.
Mais la vibration de mon téléphone portable me sort de mes pensés. Je fronce les sourcils en voyant que j'ai un sms d'un numéro inconnu.
De : inconnu
Ta nouvelle école te plait ?
Je fixe l'écran de mon téléphone ne sachant pas à qui appartiens ce numéro.
De : moi
C'est qui ?
J'attend quelques minutes, sans réponses. Je commence à ranger mon portable mais il recommence à vibrer.
De : inconnu
A ton avis ?
C'est quoi cette réponse ?
Je réfléchit quelques secondes à une réponses et pianote.
De : moi
Aucune idée.
Sa réponse ne tarda pas.
De : inconnu
Fait un effort princesse.
Princesse ?
Mes mains deviennent tout de suite moite en lisant le surnom que m'avait écrit cette inconnu.
Calme toi Ange, tout le monde peux te donner ce surnom.
Je pianote rapidement sur mon portable avant d'envoyer.
De : moi
Je ne suis pas joueuse désoler.
De : inconnu
J'avais remarquer, dommage, on aurait put rigoler un peu.
Il voulait clairement jouer.
De : moi
Mais t'es qui ? Un des gars de la cafét ?
De : inconnu
Ne t'occupe plus d'eux, je m'en suis charger. D'ailleurs je te remercie d'avoir garder mon petit cadeau, heureusement pour eux, ils l'ont vu avant qu'ils n'aggravent leur cas.
Des frissons viennent parcourir mon corps.
C'est... C'est...
Je reste un moment stoïque, essayant d'assimiler au mieux l'information.
De : moi
Tu.. tu es...
Silence radio.
C'est vraiment lui ? Comment il a eu mon numéro ? Pourquoi maintenant ? Est ce qu'il est dans ma nouvelle école ?
La vibration de mon téléphone me fait sursauté. Je fait glisser mon doigt sur la notification de message et l'ouvre.
De : inconnu
Gagnée.
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