N*1: Révélations troublantes
《PREMIER CHAPITRE A PRENDRE AVEC HUMOUR. SORTE DE PARODIE.》
Enfin arrivée dans ce lycée, que je suporte de moins en moins entouré d'imbéciles de première. À peine que j'ai dépassé le portail du lycée que toutes mes ''chiennes'' me sautent dessus.
Camille: Anww, (avec sa voix qui m'insuporte) Amani ma chérie t'es trop belle aujourd'hui. Fin je veux dire comme toujours.
Moi: Ouais je sais, je sais, allez portes mon sac ça ne va pas se faire tout seul.
Je lui tends mon sac, sans lui laisser le temps de répondre.
La journée se passe assez tranquille.
On décide, je veux dire je décide d'aller au centre commercial pour chauffer mes cartes de crédit.
Quand on voit un groupe de mecs, a des kilomètres on pouvait distinguer que c'était des voyous, de stupides gars de cité.
Ils viennent vers nous, mais je ne les calcule pas plus que cela.
Gars1: Wesh poupée sa te dis d'aller faire un petit tour avec moi, (me regardant tel un gros porc, adoptant une voix qui se veut toute sauf sexy)
Moi: (sourire d'hypocrite) Pour commencer tu vas ranger ton clin d'oeil des bacs à sable, et pour finir évite de me parler bye. (tout en lui souriant a la gueule)
M.I.N.A.B.L.E.
Gars1: Salle chienne, moi personne me parle comme ça, et encore moins une petite lo-psa*salope* comme toi. (S'avançant vers moi) T'as compris ??
Bien les vulgarités, Monsieur le voyou était énervé, eh bien ce n'étais pas ce qui allait m'arrêter.
Moi: Non, je n'ai pas compris. Toi, pour qui tu te prends à m'insulter ? Avant de le faire va surveiller ta soeur ou même ton se**. Tu devrais éviter de le foutre un peu partout, on sait jamais les MST sa s'attrape aussi vite que la grippe. Pfff connard (me retournant).
Gars1: JE VAIS TE NIKER SALE PUTE.
Toujours la même rengaine, change de disques.
Il était prêt à me sauter dessus, mais ses potes le retenaient. Moi personnellement si il m'aurait touché ne serait ce qu'un cheveu, je l'aurais traîné en justice. Vieux mec va.
Après cet épisode assez tumultueux, je rentre chez moi et me fait couler un bon bain. Je n'était pas encore consciente, de ce qu'il se passait avec mes ''parents adoptifs''.
***************
Le lendemain, grasse matinée tout simplement. Je ne veux pas avoir de ride avant l'heure voyant.
Arrivée au GRAND salon (oui je précise ma maison est très très grande), je vois mes ''parents'' , l'un devant la télé et l'autre sur le journal. Ils travaillent tout les deux dans l'immobilier. ENNUYANT.
Maria (mère adoptif): Amani mon cœur, nous devons te parler très sérieusement.
Moi: Quoi ?
Je ne l'écoute qu'à moitié, je prenais mon petit déjeuner.
Jules (père adoptif): Amani soit sérieuse, c'est très important ce que nous devons te dire.
Il était énervé et triste à la fois, je ne comprenais pas du tout ce qui se passait.
Maria: (tête baissée) Ta vraie famille, (elle s'arrêta quelques secondes, et repris) a repris contact avec nous.
Comment ça, après 17ans confié a des personnes qu'ils ne devaient même pas connaitre, ils décident de me reprendre. Alors la, j'ai la haine, oui la haine, mais ce n'est pas comme toutes ces fois.
Durant ces 17ans, je ne vivais qu'au nom de la haine, savoir que vos parents ne veulent pas de vous, sa fait mal. Et de plus le fait de ne pas avoir une personne de même famille que toi, vous avez l'impression d'être une imposteure, une individu... Vous vous demandez, 'qu'est ceque je fais là ?' à longueur de journée.
Moi: Arrêtez votre blague, (rire jaune) sa ne me fait pas rire, mais alors là, pas du tout.
Je sors de la pièce et prends mes affaires direction le lycée.
Ils m'ont vraiment gâché ma journée, bande d'incapable.
******************
Un mois plus tard, je revois le gars du centre commercial (celui qui était prêt a me frapper). J'étais avec Thomas, mon meilleur ami. Il est le seul à être considéré comme tel. Certes lui est gay, mais je crois que c'est l'un des seul qui est honnête et franc. Il n'est pas du tout hypocrite, ce qui est rare de nos jours.
Thomas: Ma chérie, qu'est ce qui t'arrives ?? Tu as mauvaise mine.
Moi: Rien. Bon tu voulais acheter quoi déjà ??
Lui: Enfaite tu vas pas me croire. J'ai trouvé un sac GU-CCI, MAGNIFIQUE.
Moi: Allez on va le chercher. J'ai pas tout ton temps, moi la.
Lui: Destresse mon chou. Je ne sais pas si c'est les règles qui te font ça, mais calmes toi.
Moi: Vasy, je me barre.
Avec lui j'étais différente, j'étais moi même. Je n'avais pas a me cacher derrière cette carapace.
Je commence à marcher seule dans les avenues, quand je vois le même groupe de gars que la dernière fois.
J'etais très énervée a ce moment là. J'avais de nombreuses questions qui se bousculaient dans ma tête.
Gars1: Baisses les yeux salle timpe ??
Moi: ...
Gars1: Baisses les yeux je t'ai dis (s'approchant dangereusement de moi).
Moi: T'as vu je vais te parler tranquillement, donc petit pédal, je te conseille de pas trop m'énerver. Sache que si je voulais te tuer, ne t'inquiète même pas que je le ferais sans hésiter une seule seconde. Donc maintenant évite de me tourner autour, et va t'occuper de tes petits chiens qui sont tous derrière toi en ce moment même.
Et là j'ai pas réalisé qu'ils m'ont directement sauté dessus.
Sérieusement, j'avais peur, je ne vais pas vous mentir. Je ne savais pas de quoi ils étaient capable.
******************
Quelques jours plus tard.
Je vois que je suis dans une chambre d'hôpital, je me rappelle m'être fait agressé mais rien de plus.
A mes côtés, était présent mes ''parents adoptifs ''.
Maria: Ma chérie tu nous a fait peur, que c'est il passé ??
Moi: Je m'en , je m'en rappelle plus trop, je crois m'être fait agressé.
Jules: Des voyous ???
Moi: Je ne sais pas. Maintenant sortez, je veux rester seule.
Assez triste bien évidemment, ils sortent de la chambre. Enfin seule, et je repense, a ce qu'aurait été ma vie si mes géniteurs ne m'auraient pas abandonné, si j'avais des frères et soeurs, ou même encore s'ils ont toujours eu l'intention de revenir un jour.
*************
Les jours passent et je me rétabli peu à peu, j'ai juré que je me vengerais un jour ou l'autre. J'étais dans un moment de faiblesse, mais faut savoir que je ne vais pas me laisser faire. Il faut juste que je les retrouve et attende le bon moment.
Mes ''parents adoptifs '' ne m'ont plus reparlé de l'histoire, mais je voulais comprendre pourquoi et comment ils m'ont retrouvé.
Je descends, habillée d'une robe manche longue et m'arrivant mi cuisses de couleur blanche, avec des spartiates. Jolie, hein ??
Moi: Vous m'avez menti !!!
Jules: Qu'est ce que tu racontes encore ???
Moi: Vous ne m'avez pas adopté en tant qu'enfant sous X !!!
Maria: (choquée suite à ma révélation) Ma chérie, ce n'était pas ce que l'on voulait, ils veulent te reprendre, mais ils n'ont pas le droit non personne ne te prendra a moi...
Jules: Maria, mon coeur, ils ont encore tous les droits sur elle...
Maria: NON JAMAIS, JAMAIS JE NE VEUX PAS, je ne veux pas.
Elle était en pleure, et me faisais de la peine, je pense que c'est la seule qui m'a vraiment aimé. Même si à présent nous nous étions éloigné, pour moi c'était ma seule figure maternelle de référence.
Moi: MAIS PUTIN, QU'EST-CE QU'IL SE PASSE ???
Maria toujours en pleure et Jules le regard dans le vide, hésitant à me dire toute la vérité et rien que la vérité.
J'étais perdue, je ne comprenais plus rien.
Suite dans la prochaine partie.
#AmaniMayssa
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