Chapitre 19
(Dick Grayson)
La foule hurlait d'excitation depuis les gradins du cirque. Les enfants gesticulaient avec frénésie en nous montrant du doigt depuis les hauteurs où je me trouvais en compagnie de mes parents. J'observai ces derniers avec admiration. Ma mère avait attaché en un joli chignon ses longs cheveux noirs et avait maquillé son visage basané d'un blanc immaculé. Mon père portait un masque blanc qui cachait seulement son regard. Ils portaient tous les deux un costume moulant bleu avec des bandes dorées au niveau des bras et de la poitrine. Je portais également le même costume. Nous étions après tous les trois célèbres trapézistes du cirque Haly.
« Mesdames et messieurs, je vous présente les Flying Grayson ! »
Un tonnerre d'applaudissement se mit à retentir dans tout le chapiteau. Tout le monde attendait les Grayson Volants avec joie. Mes parents sortirent de l'ombre et levèrent les bras en l'air en souriant. Je vins les rejoindre en souriant à mon tour, tout excité. Il y'avait beaucoup de monde au cirque et c'était la première fois que je faisais une représentation à Gotham.
Nous étions sur une plateforme élevée sur plusieurs mètres. Deux trapèzes se trouvaient en face de nous puis il y'avait une seconde plateforme juste de l'autre côté des trapèzes. Les lumières s'éteignirent tout d'un coup au profit de spots lumineux de couleur bleu et blanc. Une musique douce et mélodieuse emplit toute la salle et mon père s'élança le premier vers le trapèze. Attrapant la barre en bois, il la lâcha ensuite pour faire plusieurs figures acrobatiques et attrapa le second trapèze une fois terminé. Ma mère s'élança ensuite, fit plusieurs pirouettes dans les airs et mon père l'attrapa en plein vol avant de l'envoyer vers la seconde plateforme.
Ce fut mon tour. Je m'élançai en faisant la grande roue puis je m'envolai dans les airs, les bras écartés tel un oiseau. Le public restait scotché sur leur chaise, bluffé par une telle prestation. J'attrapai mon trapèze et élançai mes jambes vers l'avant. Je fis un saut périlleux, une figure très spectaculaire mais dangereuse si on ne la métrisait pas parfaitement. Le temps semblait ralentir autour de moi. Je n'avais plus aucune prise. Je volais dans les airs, le sourire aux lèvres, observant la mine éblouie des enfants qui ne me quittaient plus des yeux. J'attrapai finalement le second trapèze et je rejoignis mes parents sur la seconde plateforme. Un tonnerre d'applaudissement se mit de nouveau à retentir.
Je n'avais que neuf ans mais j'étais extrêmement doué en acrobatie. J'avais commencé à travailler au cirque dès mes six ans, mais j'avais grandi dans ce monde magique avec mes parents depuis ma naissance. De génération en génération, les Grayson continuaient d'exercer le métier du cirque en voyageant de ville en ville. Le cirque était donc devenu mon monde, mon quotidien.
« Dick, ce que tu as fait tout à l'heure, tu n'aurais pas dû. » me dit mon père en se rapprochant de moi.
« J'ai réussi, papa ! Regarde, je ne suis plus un enfant, je sais faire exactement les mêmes choses que toi ! »
« C'était risqué... Mais je dois t'avouer que tu es bien plus doué que moi. Le saut périlleux est très dur à maîtriser en trapèze volant. Tu m'as rendu fier, mon fils. »
Je me mis à sourire, heureux d'entendre ces mots de mon père. La couleur des lumières se mit à changer, optant maintenant pour du violet et du blanc. C'était la seconde partie de notre représentation. Nos figures acrobatiques allaient être plus compliquées mais elles seront très spectaculaires. Et j'allais commencer.
Je me remis à sourire, sentant mon cœur tambouriner de plus en plus fort contre ma poitrine, dû au stress mais surtout à l'excitation. Dès que la musique se mit à retentir dans tout le chapiteau, je me mis à courir puis je sautao dans le vide et attrapai le premier trapèze. Je fis plusieurs figures sous les mille regards qui m'observaient. Cela me donnait du courage.
Je m'élançai sur le second trapèze et me mordis la lèvre face aux efforts que je devais faire. Supporter tout mon poids n'était pas simple. Je passai mes jambes sur la barre et la lâchai ensuite. Je glissai alors en arrière et m'accrochai à la barre grâce à mes jambes. Ainsi, j'avais la tête en bas. Je me mis ensuite à saluer plusieurs enfants.
Je décrochai une fleur blanche qui avait été accrochée sur mon costume, au niveau de la poitrine, et je la lançai vers un jeune enfant aux cheveux noirs et longs et aux yeux bleu océan. Il l'attrapa rapidement et se mit à sourire. Je me redressai ensuite, fis une dernière figure et je rejoignis la plateforme.
Ce fut alors le tour de mes parents. Ils s'élancèrent cette fois-ci à deux et attrapèrent ensemble le trapèze. Et soudainement, les cordes se déchirèrent et le trapèze tomba. Ainsi que mes parents...
Des hurlements retentirent ensuite dans tout le chapiteau. Beaucoup des spectateurs quittèrent les lieux en courant, d'autres restaient paralysés et certains prenaient même des photos.
Mon sang se mit à refroidir d'un coup. Je descendis de ma plateforme en empruntant l'échelle et je me rendis vers mes parents en tremblant. Leurs corps étaient étalés sur le sol, disloqués et dans une pause effroyable. Du sang coulait le long de leur crâne brisé. Je me laissai tomber sur les genoux et me mis à pleurer, ne comprenant pas ce qu'il s'était passé et pourquoi le trapèze s'était brisé.
« Papa, maman... » lâchais-je en sanglotant.
J'attrapai leur corps et les ramenai contre moi. J'avais besoin de les prendre dans mes bras. Mais leur corps était froid maintenant. J'avais besoin d'un contact brûlant. D'un signe de vie. Mon esprit était embrouillé. Mes larmes me troublaient la vue.
Les sirènes des ambulances retentirent au loin. En réalité, je n'entendais plus aucun son. Le monde s'écroulait autour de moi. Je ne voyais plus toutes ces personnes qui m'entouraient. Je ne prêtais pas non plus attention au jeune garçon qui pleurait en me regardant. Il avait lâché la fleur blanche que je lui avais donnée avant d'être emmené à l'extérieur par ses parents paniqués. Les autres membres du cirque que je connaissais très bien m'attrapèrent finalement par les bras et me serrèrent contre eux tandis que les ambulanciers emportaient les corps de mes parents sur des brancards.
Quelques minutes après, deux ambulanciers vinrent vers moi avec un regard à la fois peiné et sombre. Je craignais ce qu'ils allaient m'annoncer même si au fond, je connaissais la réponse. Mes parents étaient morts.
[...]
Alors que tout le monde rangeait le matériel du cirque d'un air attristé et sans la moindre joie, je m'étais dirigé vers les trapèzes. Ils avaient été solides pendant toute la représentation hormis la fin. La corde avait été tranchée par quelqu'un. J'en étais certains. Quelqu'un avait voulu assassiner mes parents. Et il avait réussi...
Quelqu'un me mordillait l'oreille. J'ouvris un œil en grognant puis j'aperçus le visage de Jason devant le mien. Je me mis à sourire comme un idiot, me rappelant soudainement de la présence du brun dans ma chambre, sur mon propre lit.
« Enfin tu t'réveilles, me lâcha-t-il sans un sourire. Je t'ai appelé au moins dix fois. Après quoi, j'avais bien envie de te réveiller autrement. »
J'arquai un sourcil en voyant son sourire en coin, me demandant s'il insinuait quelque chose de coquin ou non. Je sentis ensuite quelque chose couler le long de ma joue et y passai alors un doigt. C'était une larme. Pourquoi est-ce que je pleurais ? Etait-ce à cause de mon rêve ? Je posai ensuite mon regard sur Jason et celui-ci avait remarqué mon trouble. Je me préparais à répondre à sa question concernant tout ceci or il se pencha simplement vers mon visage et je me mis à fermer les yeux par surprise. Je sentis sa langue caresser ma joue puis ses lèvres vinrent rejoindre les miennes. Je laissai échapper un gémissement sans le faire exprès puis j'ouvris les yeux. J'étais étonné qu'il ne vienne pas m'interroger. Mais j'étais rassuré. Evoquer la mort de mes parents me faisait toujours mal au cœur. Et puis, Jason était plus ou moins au courant pour cette partie sombre de mon passé.
Je finis par me lever et j'enfilai rapidement un jean moulant et un débardeur noir. Jason m'observait avec un sourire en coin puis il vint me faire une tape sur les fesses. Je sursautai et me retournai.
« Tu viens de me faire une fessée, là ? » lâchais-je en arquant un sourcil et d'un air amusé.
« T'as un cul à tomber par terre aussi. » me répondit-il.
J'avalai ma salive, ne sachant pas trop comment répondre à ce genre de compliment. Je faisais juste des squats, rien de plus. Il fallait que je change de sujet.
« Tu viens, on va faire des exercices physiques ensemble ? » proposais-je alors.
Il hocha la tête. Il y'avait dans la Batcave un endroit pour s'entraîner. C'était parfait pour garder son corps en bonne santé. Et surtout pour être résistant au combat.
Jason se rapprocha soudainement de moi et me plaqua brutalement contre le mur. J'allais parler mais il m'embrassa à pleine bouche, ce qui me surprit encore une fois. Ses mains étaient contre mes hanches et descendaient petit à petit jusqu'à vouloir se faufiler sous mon pantalon. Je l'arrêtai soudainement.
« Jason, qu'est-ce que tu fais ? On va s'entraîner, là. »
« Oh. Tu parlais de ce genre d'exercice physique ? Désolé, j'avais compris autre chose. » répondit-il avant de s'éloigner et de s'habiller plus convenablement.
Je levai les yeux au ciel tout en rougissant puis je décidai de quitter ma chambre pour me rendre dans le grand salon. Jason me suivit avec une cigarette non allumée collée aux lèvres. Je la lui enlevai rapidement.
« On ne fume pas dans le manoir, monsieur. » dis-je en imitant Alfred.
Le brun soupira avant de sourire à son tour. Nous nous dirigeâmes vers l'horloge lorsque Bruce y sortit soudainement, vêtu de son costume d'homme d'affaire. Il avait une mine grave, bien plus que d'habitude. Il s'était passé quelque chose. Je pouvais le deviner.
« Bruce. Qu'est-ce qu'il se passe ? » demandais-je en fronçant les sourcils.
Il prit son temps pour me répondre ce qui signifiait que je n'allais pas aimer sa réponse.
« Barbara est à l'hôpital. On l'a agressée. » finit-il par dire.
Un bruit de verre brisé retentit soudainement derrière moi. Je me retournai et vis Jason trembler légèrement. Une carafe en verre était brisée en plusieurs morceaux à ses pieds, se mêlant à son contenu. Je posai de nouveau mon regard sur Bruce.
« Comment ça ? »
« Suivez-moi. » répondit simplement Bruce.
Je lui obéis, Jason vint à mes côtés, soudainement sombre. Quant à moi, j'étais choqué par la nouvelle. Qui s'en était pris à mon amie ? Je connaissais Barbara, elle savait parfaitement bien se défendre. Que s'était-il passé ?
J'entrai dans la voiture de Bruce suivi de Jason. Mon père adoptif conduisait. Le véhicule n'avait rien à voir avec la Batmobile. Il s'agissait cette fois-ci d'une voiture toute simple, quoique luxueuse. C'était une Aston Martin db mark 3, de couleur noir. Un très beau modèle. Mais je n'étais pas là pour parler de voiture. Il y'avait plus urgent.
Une fois arrivé à l'hôpital de Gotham, nous nous dépêchâmes de nous rendre dans la chambre de Barbara. Son père attendait Bruce, adossé contre la porte de la chambre. Il était attristé voire même anéanti.
« Bruce ! Qu'est-ce qu'il s'est passé bon sang ?! s'écria le commissaire. Pourquoi ce psychopathe n'est plus enfermé à Arkham ? Je pensais que l'argent offert par Wayne Industries pour rénover cet asile avait enfin amélioré son système de sécurité ! »
Bruce fronça les sourcils et je sursautai. Je voyais à qui James Gordon faisait référence. Alors Barbara avait été attaquée par le Joker en personne... Celui-ci était de retour pour répandre le mal, seule chose qu'il savait bien faire. Je l'avais déjà affronté plusieurs fois avec Batman. Il avait ensuite été enfermé à l'asile d'Arkham. Comment avait-il pu s'y échapper ?
Jason entra précipitamment dans la chambre et je finis par le suivre, laissant Bruce avoir une conversation sérieuse avec le père de Barbara.
Jason resta sans bouger à observer Barbara qui était allongée sur un grand lit d'hôpital. Ses bras étaient reliés à plusieurs tubes en plastiques qui partaient de différentes machines et également d'une poche de sang. Cette vue me fit mal au cœur.
« Hey, salut, les garçons. » lâcha-t-elle d'une voix légèrement faible.
Elle se mit à sourire doucement et je ne pus retenir mes larmes.
« Barbara... Qu'est-ce qu'il t'a fait ? » lâchais-je en me rapprochant.
Je m'assis sur le bord du lit et pris ses mains dans les miennes. Elle m'observait en souriant mais au fond, je savais qu'elle souffrait énormément et qu'elle ne voulait pas le montrer. Barbara avait toujours été comme ça. Elle voulait se montrer forte coûte que coûte.
« Il m'a tiré dessus. Mais l'important, c'est que je sois toujours en vie. » répondit-elle.
« Qui ? Qui t'a fait ça ? » demanda Jason dont je devinais qu'il contrôlait mal la rage qui bouillait en lui.
Il me donnait l'impression qu'il allait exploser à tout moment.
« Le Joker, répondit Barbara en perdant alors son sourire. Un criminel dangereux qui aime faire le mal. Et il adore s'en prendre à Batman et aux gens qu'il aime. »
« J'vais le tuer ! » s'écria soudainement Jason.
« Calme-toi, Jay, dis-je en le regardant droit dans les yeux. Ce type est carrément différent de Cobblepot, de Dent ou même de Crane l'Epouvantail ! Le Joker est plus que dangereux. Si tu veux l'affronter, ne le fait pas seul, tu m'entends ? »
« Alors tu veux qu'on reste là à ne rien faire ? » répondit-il d'un ton plus glacial.
« Non. Moi aussi j'en veux plus que tout à ce type pour ce qu'il a fait. On ne s'en prend pas à ma famille ! Et il va payer, crois-moi. Mais si on l'affronte, on le fait ensemble, Jason ! »
Il me regarda longuement avant de détourner les yeux et de se diriger vers la fenêtre de la chambre. Je finis par soupirer, heureux de l'avoir calmé. Jason pouvait être une vraie bombe à retardement des fois. Je finis par poser mon regard sur Barbara et vins déposer un baiser bref sur son front.
« Tu t'en sors très bien, princesse. » dis-je avec un léger sourire pour la rassurer.
« Quand est-ce que tu seras vite remise sur pieds ? » demanda ensuite Jason en se retournant.
« En fait... (Barbara baissa les yeux et prit une grande inspiration.) Les médecins m'ont dit que la balle que j'ai reçue avait atteint ma colonne vertébrale. Et... j'ai perdue l'usage de mes jambes... »
Cette révélation me serra atrocement le cœur. Là, je ne savais plus quoi dire. Jason donna un violent coup de poing contre la fenêtre et brisa la vitre en mille morceaux. Je fermai les yeux en plissant les lèvres.
« Merde !! » hurla le brun cette fois-ci en colère.
Je me mis à pleurer tandis que des images de ma jeunesse avec Barbara me revenaient en mémoire. Les missions ensemble où elle était Batgirl et moi Robin, puis Nightwing. S'il y'avait une chose qu'on adorait plus que tout, c'était la liberté, cette impression de voler quand on se jetait du haut d'un toit. Et maintenant, le Joker venait de lui priver de cette liberté.
« Les garçons... Jason, approche. » dit Barbara.
Le brun se rendit près du lit et la rouquine l'attira ensuite contre elle. Elle fit de même avec moi et elle nous prit dans ses bras. Nous nous mettons à pleurer tous les trois, ne sachant plus quoi ajouter. On laissait s'exprimer nos sentiments. Barbara finit pas essuyer mes larmes ainsi que celles de Jason.
« Vous savez, ça ne m'arrêtera pas. Je continuerais de vous aider. Je trouverais un moyen même sans être Batgirl. » dit-elle en souriant légèrement.
« Je veux juste retrouver la pourriture qui t'a fait ça. » répondit Jason.
Elle passa sa main sur la joue du brun et la caressa longuement en souriant.
« La vengeance n'est pas une solution, Jason. Ça ne fera que te faire souffrir... » dit-elle.
Bruce entra ensuite dans la pièce. Ses yeux passèrent de la vitre brisée à Jason puis il finit par poser un regard bienveillant sur Barbara.
« Comment te sens-tu ? » demanda-t-il en se rapprochant un peu.
« Un peu mieux on va dire. » répondit la rouquine.
« Il est arrivé chez toi, selon ce que m'a dit ton père. »
« Oui... »
« Je te trouverais un autre endroit où loger, le temps que je retrouve le Joker. »
Barbara ne dit plus rien. Je soupirai en regardant froidement Bruce. Il décidait toujours pour nous et on n'avait jamais notre mot à dire. Ça avait souvent le don de m'énerver. Je finis par me lever du lit et suivis Bruce jusqu'à la sortie de l'hôpital tandis que Jason préférait rester un peu avec Barbara.
Une fois à l'extérieur, je me postai devant Bruce et plongeai mes yeux bleus dans les siens, d'un bleu plus clair, presque pâle.
« Qu'est-ce qu'on fait maintenant ? On va rechercher le Joker ensemble ? »
« Toi, tu restes ici. »
« Oh, pardon, j'n'aurais pas dû demander ! » lâchais-je en levant les yeux au ciel, déjà agacé.
« Dick. N'oublie pas qui il est. Il est dangereux. »
« Je le sais, Bruce. Sois prudent. C'est tout ce que j'te demande. »
Il se rendit jusqu'à sa voiture et s'en alla. Je soupirai ensuite, me demandant comment j'allais rentrer au manoir avec Jason sans véhicule. Je ne me voyais pas faire tout le trajet à pied.
Mon portable se mit soudainement à vibrer contre la poche de mon pantalon. C'était Wally qui m'appelait.
« Oui, allo ? Quoi, tu es encore à Gotham ? Mais pourquoi ? Quoi, attend, répète ! Ok, j'te rejoins dans quinze minutes. »
Le roux était de nouveau ici et avait trouvé des types suspects ressemblants presque à des ninjas. Vêtus intégralement en noir, ils avaient des saïs comme arme de mains. Ce genre d'arme en forme de trident qu'utilisaient les guerriers asiatiques à une certaine époque... Cela me rappela les assassins qui avaient essayé de me tuer dans le propre manoir où je vivais. Bruce avait renforcé la sécurité depuis et je n'avais plus été attaqué. Mais si Wally les avait réellement bien vus, alors ces hommes étaient de retour et cherchaient sûrement à me faire la peau. Je devais découvrir pourquoi ils voulaient tuer Dick Grayson puisqu'ils ignoraient mon alias de justicier. Qu'avaient-ils après moi ? J'allais vite le découvrir...
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Chapitre terminé ! Il s'en passe de ces choses :C
En vrai, si je poste très vite mes chapitres, c'est parce que j'en ai écris 39 pour le moment sur Skyrock, et ce n'est que récemment que je refais un retour sur Wattpad ! Voili volou
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