Partie 6 : Croissant de lune

Le lien que je viens de mettre, décrit largement ce dont cet extrait parlera ... Une scène de sexe, avec un langage cru, ni plus ni moins. Je tiens à prévenir les - de 17 ans pour ce qui arrivera et même vous, lecteurs ...

Cela peut être choquant pour certains! Je tiens à les prévenir!!!!

Scène adulte!!!! 

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Appartement de Laura et de Dominic, Montréal.

Quand elle se réveilla vers 08h du matin, c'était comme si elle avait rêvé de tout cela.

Comment avait-elle pu croire que tout ceci avait été réel? Un imposant lion et un gros chat blanc... Et qui parlaient en plus de cela. Voyons donc ?!! Elle avait été un peu gênée par rapport à Dom. « Il doit vraiment me prendre pour une folle ! »

Il avait été tendre, attentionné, en revenant à la maison ce matin très tôt. Il lui avait réchauffé un bol de soupe, malgré le fait qu'elle n'avait pas trop faim. Il lui avait mis le grand tee-shirt qui lui servait de pyjama et lui avait fait une tisane. Laura s'était endormie tout contre lui. La chaleur de sa peau l'avait apaisée.

Dominic était en train de préparer le petit-déjeuner à la cuisine. Il portait juste son bas de pyjama qui lui tombait sur les hanches, laissant apparaître les poils de son pubis. Elle le trouvait à croquer.

— Bon matin ma chérie, salua-t-il en la voyant arriver. Il lui fit un de ses sourires coquins dont il avait l'habitude.

— J'ai envie de toi, lui dit-elle.

Il arqua un sourcil. Son sourire devint beaucoup plus lumineux et plus sexy.

— Votre demande est un ordre, Ma Dame, lui répondit-il les yeux rivés vers la femme qui se tenait devant lui.

Il baissa le feu de la cuisinière et se dirigea vers elle d'une démarche langoureuse et tellement hot que sans même la toucher il la fit s'émoustiller. Il avança jusqu'à elle sans la toucher. Elle dut lever la tête pour le regarder. Elle se haussa sur la pointe des pieds pour l'embrasser à pleine bouche. Elle avait envie de lui, de son corps chaud et brûlant. Le baiser la laissa pantelante de désir.

— Touche-moi, lui supplia Laura.

Dominic sourit et fit ce qu'elle lui demandait. Il passa sa main droite sur son sein gauche pendant que l'autre se glissa dans sa culotte. Elle se mit à gémir en sentant son doigt jouer avec ses lèvres et par la suite son clitoris. Au bout d'un moment, les doigts de Dom plongèrent en elle de plus en plus fort, la faisant pousser de petits cris de plaisir. Il continua à lui malaxer son sein et à l'embrasser à pleine bouche.
Laura sentait son sexe qui commençait à durcir contre elle. Elle se mit à onduler doucement contre lui.

Il la pris par la taille et la fit coucher sur la table de cuisine. Les jambes pendantes.

Il fit glisser la culotte toute mouillée sur ses chevilles. Laura s'assit sur la table et commença à abaisser son pyjama. Il allait trop lentement. Elle voulait le toucher.

Elle toucha son pénis gonflé et pulsant. Il était chaud. Elle commença à faire des mouvements de va-et-vient. Elle leva la tête vers lui. Les yeux de Dominic brillaient d'excitation contenue et de quelque chose d'autre. Elle n'eut pas le temps de s'y attarder.

Quand elle voulut le mettre dans sa bouche, il la fit se coucher et s'enfonça en elle d'un coup. Elle gémit. Il était long et gros. L'emplissait de sa force mâle. « Mon dieu que c'est bon, s'extasia-t-elle.»

Il s'enfonça et ressortit lentement les yeux rivés en elle. Il trembla d'excitation. Tous ses muscles tressautaient. Les mains autour de la taille, il s'enfonça à nouveau en elle.

— Oh oui... Oui encore... Plus fort, lui supplia-t-elle.

Il alla de plus en plus fort en elle. Il voulait lui faire mal... Lui donner du plaisir. Il leva les yeux vers la baie vitrée. Le ciel bleu. La lune toujours présente éclairait encore le début de matinée. Il ne pouvait détacher ses yeux de ce croissant de lune. Il était comme hypnotisé. Laura avait fermé ses yeux et se tordait de plaisir. Quand il posa à nouveau son regard sur elle, il était froid et glacial.

— Suce-moi maintenant, lui décréta-t-il en se retirant brutalement d'elle, ce qui lui fit pousser un léger cri.

Il l'a pris par la taille pour la faire descendre de table et la força à s'agenouiller.

— Suce-moi, lui répéta-t-il la voix vibrante d'excitation.

Elle se mit à lui lécher le gland à petits coups de langue, à lui mordiller sa hampe chaude. Dom éructa quand elle le mit tout entier dans sa bouche. « Wow, ça faisait longtemps qu'ils n'avaient eu autant de plaisir tous les deux, se dit-elle. »

Il la fit se retourner et l'a pris par-derrière. Il la chevaucha fortement jusqu'à ce qu'elle crie grâce. Elle le sentit plus qu'elle ne le vit, changer de position.

— Je vais te le mettre ici, Laura, en touchant son anus d'un doigt. Il commençait déjà à sortir son pénis de son vagin.

— Non arrête! Ça va faire mal, s'affola-t-elle.

Elle n'avait jamais apprécié cette position. Ils ne le faisaient pas du tout. Quelle mouche l'avait donc piqué ? Elle essaya de se dégager du poids de son homme, mais il ne la laissa pas faire.

Il la força à rester à quatre pattes en maintenant sa tête par terre. Malgré ses cris, il commença à faire glisser son pénis dans son anus. Il ne l'entendait plus.

— Arrête, bon sang... Dom, arrête! lui cria-t-elle toute excitation disparue. Je ne veux pas de ça !! Arrête s'il te plaît!!

Elle sentit la hampe forcer sa paroi anale. La douleur apparut brutalement. Il la déchirait littéralement. Elle cria la bouche collée contre l'oreiller. Elle était en pleurs. Pourquoi Dom agissait-il comme cela avec elle ? Tout plaisir s'était envolé.

Il lâcha sa tête et mit ses deux mains sur ses hanches et s'enfonça d'un coup en elle. La douleur lui coupa le souffle. Elle faillit s'évanouir.

Laura le sentait coulisser en elle. Elle n'était que souffrance. Les larmes coulèrent le long de ses joues sans pouvoir s'arrêter. L'homme poussait des gémissements gutturaux. Il serrait ses hanches d'une main de fer.

Elle tourna sa tête vers Dominic.

— Dominic..., implora-t-elle d'un souffle brisé par des sanglots.

Quand il baissa les yeux vers elle, elle fut prise d'un hoquet de peur. Ses yeux étaient devenus bleu sombre sur sa presque totalité. Sa pupille noire s'était agrandie, on ne voyait presque rien du blanc de ses yeux. Il souriait. Un rictus barrait sa bouche. Il jouissait de la faire souffrir, elle en était convaincue.

— Lâche-moi Dom, lâche-moi immédiatement ! hurla-t-elle, prise de panique. Ces yeux là, elle les avait déjà vus auparavant.

Le regard de Dom croisa le regard de Laura par la baie vitrée. Il se regarda, l'air surpris. Elle en profita pour se dégager, trébucha, arriva à se remettre debout et courut vers la salle de bains. Elle eut juste le temps de fermer à double tour, quand la poignée tourna dans tous les sens.

Elle trembla de tout son corps.

— Laura... Ouvre la porte... Mon amour je suis désolé... J'étais trop excité. Laura ouvre la porte, je te jure que je ne te ferai pas de mal.

— Fiche-moi le camp, tu n'es qu'un salopard! Qu'est-ce que tu n'as pas compris dans le fait que je ne veuille pas faire ça, hein!!! cria la jeune femme d'une voix stridente, des sanglots déchirants dans la voix.

— Mon amour...

— Va te faire foutre !! hurla-t-elle.

Elle ouvrit le pommeau de douche, laissa l'eau couler et s'assit à genoux dans la baignoire. Tout son corps n'était que douleur ... Une cascade d'eau se déversa sur elle, noyant par la même occasion ses larmes qui ne cessèrent de couler le long de ses joues. « Où avait-elle bien pu voir ses yeux... ».

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— Charlène, c'est Dom. J'ai besoin de toi. Ramène-toi en vitesse à l'appart.

Quarante-cinq minutes plus tard, Dom ouvrit la porte d'entrée à une sublime blonde. Elle avait un petit air suffisant et hautain.

— Elle est là ? lui demanda-t-elle la voix basse.

Il hocha la tête maussade. Il la fit entrer, mais resta près de la porte d'entrée.

— Que se passe-t-il Dom ? demanda-t-elle cette fois-ci un peu inquiète en voyant sa tête des mauvais jours.

— Je me suis laissé aller, révéla-t-il d'une voix coupante.

— Laissé aller ? répéta-t-elle en souriant graduellement. Elle mit sa main sur sa poitrine. Tu veux dire que tu t'es laissé aller sexuellement avec la fille ? interrogea-t-elle en se léchant les lèvres peintes de rouge.

— Humm. Je veux que tu occultes de sa mémoire ce qui vient de se passer. Elle a vu mes yeux.

— Elle n'aime pas quand tu la prends fort, c'est ça ? supposa-t-elle en se rapprochant de lui. Je te l'ai déjà dit, chéri, appelle-moi pour ces choses-là, lui susurra-t-elle au creux de l'oreille.

Dom avait le visage sombre. Il la prit par la gorge et la plaqua sur le mur. Il commença à serrer. Il n'était qu'une boule de rage en ce moment. Ce qu'il voulait maintenant c'était que le plan fonctionne. Un point c'est tout.

— Baise-moi, lui souffla-t-elle tout bas.

— Pas tout de suite, lui répondit-il en lui accordant un petit sourire sexy et en relâchant sa prise. Gère son cas à la fille avant, OK ?

— Pas de problème Dom, sourit-elle. Où est-elle ?

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