Chapitre 1, part 3
Le lendemain matin à six heure il fut réveiller en sursaut par le bruit de pas dans l'escalier. Rapidement il passa ses mains dans ses cheveux pour les recoiffé, aggravant la situation. Devant lui les parties de dossiers étaient éparpiller et parfois à même le sol aussi s'empressa il de les ramasser. Malheureusement il fut surpris par l'Oméga qui entra dans la pièce alors qu'il était encore à genoux.
« - Déjà là ? Comment es tu entrer ?
- Je suis rester ici ?
- Toute la nuit ? Je suis impressionné, fit-il honnête. C'est le dossier par terre ? Demanda-t-i immédiatement plus sévère en voyant les feuilles éparses.
- Je le ramasse, je suis désolé j'ai dû m'endormir dessus par mégarde.
- Retrouve moi tout ça et dépêche toi tu as 10 minutes pour être prêt au départ nous avons beaucoup de route.
- Où allons nous ?
- Voir le principale intéressé. Ou plutôt les principaux intéressée de cette affaire. J'ai des témoignages à prendre.
- Vous avez fait une demande d'appel c'est cela ? Vous voulez qu'il soit relâcher pour bonne conduite ! Mais ça déjà été refuser deux fois : il n'a pas une bonne conduite ! Tout indique qu'il est violent !
- Tu as lu ce dossier maintenant tu va voir le dossier en vrai, tel qu'il est, et ensuite tu pourra porter un jugement. Pour ce qui est de la partie administrative ça attendra dans la voiture. Alors maintenant dépêche toi, tu joue avec ma patience. »
L'oméga descendit sans se retourner faisant comprendre à Alceo qu'il l'avait encore énervé. Le sujet était apparemment très sensible et Jérôme ne semblait pas supporter qu'on aille pas dans son sens. Pourtant les faits avaient été avoué, reconnus, jugés. Alors pourquoi persistait il a le défendre, à crier que son aîné était innocent sinon par amour filiale déraisonné et qui n'avais pas lieux d'être dans un cadre professionnel. Montemini remit la pochette en ordre et la rangea dans son sac avec ses effets personnels. Il fut agréablement surpris de voir que son patron l'attendait dans l'entré avec un gobelet fumant de caféine bien corsé.
« - Tu le prendra sans sucre, nous n'avons pas le temps. »
Alceo grimaça, un demi sucre aurait été appréciable mais il ne dit rien et suivit maître Chastain jusqu'à une mini noir garé un peu plus loin. Jérôme bazarda sa mallette dans le coffre et ouvrit la portière au moment où Alceo se proposait de conduire. Il se fit immédiatement gratifier d'un regard noir lourd de sous entendus injurieux voir haineux.
« - Ose demander encore une fois de toucher le volant de MA voiture et tu rentre à pied Montemini. »
Ce dernier hocha la tête et se tu pour une bonne partie du trajet. Qu'avait il dit de si choquant ? Fallait il conclure que son maître de stage était du genre susceptible ? Si en effet ce dernier était du genre à partir au quart de tour cela expliquait beaucoup de ses réactions extrêmes qu' Alceo avait jusque ici systématiquement trouvé déplacées. Après plusieurs longues minutes de silences pesant le plus âgé se mit à parler :
« - Tu ne te repose pas ? C'est quatre heure de trajet je te rappel.
- Quatre heures ?
- Où croit tu que ce trouve la prison pour Oméga ? Certainement pas prêt de Paris.
- Nous allons voir votre frère ?
- Tu es lent à la détente.
- C'était pour m'en assurer.
- Tu n'as pas l'air ravis, fit il ironique.
- Effectivement je ne suis pas ravie. Et vous ne devriez pas l'être à l'idée d'aller voir un type pareil tant bien même il s'agisse de votre frère !
- Contrairement à ce que tu as l'air de croire je ne le suis pas. Je ne fais pas ça le sourire au lèvres crois moi, soupira-t-il en passant une vitesse les yeux sur la route.
- Alors pourquoi est ce que vous le soutenez ? C'est parce que c'est votre frère !? Ou parce que c'est votre but d'empêcher les criminel de finir là où est leur place ?
- Mu.
- Mu ?
- Mu.
- Je ne comprends pas.
- C'est typique des gens qui comme toi font des associations d'idées. Note dans ton petit carnet de leçon : on ne réponds jamais à une question charger.
- Donc vous n'avez pas répondus.
- Si, j'ai répondu Mu.
- Ce qui ne veut rien dire !
- Ce qui veut dire, si tu avais un peu de culture espèce de tête de pioche, que je ne réponds ni oui ni non car aucune réponse n'est valable. Non c'est une négation, Oui c'est une affirmation, Mu c'est un néant, on fait comprendre que toute la phrase n'a pas lieu d'être.
- C'est un bon moyen de fuir les questions, siffla-t-il avec mépris.
- Tu as arrêter de battre tes petites amies ?
- Quoi ? Non !
- Ah. Donc tu continus. C'est moche.
- Mais je n'ai jamais battu mes copines ! C'est scandaleux ce que vous insinuez !
- Quand je t'ai demander si tu avais arrêter tu m'a dit non.
- Je voulais dire Oui !
- Donc tu les battais, ce n'est pas beaucoup mieux.
- Vous déformez encore !
- Pas du tout. Je te dis « as tu arrêter de battre tes petites amis ? » et tu me réponds oui. Donc tu as arrêter, c'est bien, mais le fait que tu les aient battus par le passer reste répréhensible.
- Votre question n'a pas de sens ! On ne peut pas y répondre en disant la vérité.
- Si. En disant Mu. Je te laisse cogiter la dessus. » fit l'oméga en se plongeant de nouveau dans le silence.
- Vous ne pouvez pas arrêter la conversation comme ça !
- Peut être mais je ne peut pas discuter si tu ne sais poser que des questions chargés. Repense à ce que tu m'as demander et quand tu auras trouver une question juste repose là
- ... Est ce que vous le défendez parce que c'est votre frère ? Demanda-t-il de nouveau énervé par l'attitude condescendante de l'oméga.
- Non. Pas parce que c'est mon frère. Cela joue sans doute au fait que je me sente proche de lui mais c'est surtout parce que son cas est profondément injuste.
- Injuste !? Comment pouvez vous dire ça ! Il a tuer quelqu'un est ce que vous l'oubliez ?
- Non. Et il l'a avoué. C'est une chose que personne ne peut nier.
- Alors pourquoi dites vous que c'est injuste !?
- Rappel moi combien d'années il a prit ?! Cria Jérôme en crispant ses mains sur le volant. Combien ?!
- La peine maximal et c'est normal ! Perpétuité ce n'est pas assez pour un tueur d'enfant !
- La peine maximale nous sommes bien d'accord ! Et dans quel cas on applique la peine maximal !?
- Dans les cas de meurtre ! Et s'en est un !
- Tu dois connaître la loi par cœur alors dit moi dans quel clause il y a au moins une peine à perpétuité avec 30 ans de sûreté ?
- Mu
- Tu l'utilise mal. Ma question ne te demande pas de répondre par oui ou pas non mais où. Où ?
- Nul par. Aucune peine n'a la perpétuité comme minimum puisque c'est la peine maximum.
- Parfaitement. La peine préconisé est une peine maximum et non minimum. Il a donc été condamné à la peine maximum, oui ?
- Oui.
- Et ce n'est pas choquant en soit si on le réduit à un « simple » infanticide barbare. Il est normale que le parti civil réclame la peine la plus lourde. Dans les faits il l'obtient très peu souvent et à une condition : qu'il y ait des circonstances aggravantes.
- Il y avait des circonstances aggravantes !
- C'est à dire ?
- Le fait que le gamin ait moins d'un an ! Le fait que ce soit sa propre mère qui l'ai tué ! Le fait qu'il lui ait fracasser le crâne avant de l'étrangler !
- Il n'a jamais reconnu lui avoir cogner la tête nul par. L'enfant est tombé, c'est sa déposition, c'est dans ses aveux. Et c'est cohérent avec les blessures de l'autopsie de ce côté là. La blessure à la tête n'était pas volontaire.
- Et alors ?! Il l'a tué quand même !
- Tu porte encore un jugement sans regarder comment et censé fonctionner la justice. La justice ne peut être juste et équitable que si elle est la même pour tous. Hors cette blessure à la tête n'est PAS une circonstances aggravante si elle est accidentelle. Et elle l'est !
- Ça c'est ce qu'il dit.
- Et l'autopsie corrobore ! Il y a des preuves ! L'autre hypothèse comme quoi il lui a cogner la tête sur le sol volontairement et à plusieurs reprise ne tient pas ! C'est une conjecture faite par les enquêteur, une proposition des médias qui voulaient rendre l'affaire croustillante, un mensonge de l'accusation pour alourdir les charges mais ce n'est pas vrai ! Et les preuves le montre ! Cette blessure ne devait pas être un argument pour décrire George comme un monstre. Il n'en est pas un.
- Vous le connaissez, vous n'êtes pas objectif.
- Tu dis donc que toutes les hypothèses sont recevable si elles ont déjà été reçus par le passé sur d'autres affaires ?
- Non, ce n'est pas ce que j'ai dis.
- Alors qu'est ce que tu as dis ? Cette élément est il recevable au vu du dossier ?
- Le dossier n'est pas très complet, il pourrait manquer un élément pour appuyer cette hypothèse.
- Tu le dis toi même, lorsqu'il a été porter en justice le dossier n'était même pas complet. Comment la simple idée qu'il pourrait exister une preuve de culpabilité peut elle constituer une base suffisante pour une condamnation à perpétuité !?
- Ça n'en est pas une c'est vrai, mais il y avait des preuves que l'acte était volontaire ! On n'étrangle pas un bébé par accident.
- Certes. Mais pour en revenir à ce point précis, dis moi si ce que je dis est aberrant à tes yeux mais, au vu de l'absence de preuve du caractère volontaire du traumatisme crâniens cette élément ne peut pas être retenus ni par la défense ni par l'accusation comme une partie de l'acte meurtrier en lui même. Ce que je dis est idiot ?
- Non.
- Ce que je dis semble arranger vérité à ma sauce ?
- Un peu...
- Mais c'est l'hypothèse qui colle le mieux avec les faits, n'est ce pas ? Entre une chute qui donne une contusion et un tabassage violent qui ne laisse qu'une seule trace la première est tout de même la plus probable.
- C'est vrai, reconnus Alceo. Mais.
- Attends je finis. Puisqu'il est plus probable que cela soit un accident on ne peut pas dire qu'il s'agisse d'un élément aggravant. Non ?
- Non.
- Donc le juge à retenus à charge il y a 10 ans une fausse preuve pour aggraver la peine encourus par mon frère. »
L'accusation était si grave que Montemini en resta un moment atterrer et silencieux. C'était impossible, Jérôme devait avoir tord ! Il était impensable que les juré ai retenus cette preuve qui en quelques minutes devenait aussi chétive et branlante qu'un brin d'herbe. La justice n'avait pût être si aveugle. C'était donc forcément que l'interprétation de maître Chastain était erroné, qu'au procès on avait fait état d'un autre résonnement opposé et bien plus solide. Alceo sortit tous les documents concernant ce fait dans le rapport des diverses séances et les relis longuement. Il compara point par point et précautionneusement les divers fait et paroles permettant de prouver l'une ou l'autre des possibilité. D'un côté le rapport d'autopsie, neutre à tout conflit d'intérêt se rapprochait plutôt de la déposition de George Chastain qui disait dans ses aveux, mot pour mot « ... le bébé est tombé par terre, j'ai rien put faire, je ne savais même pas qu'il était là ». Sur ce point le jeune Alpha ne savait pas quoi penser. Il était difficile de croire qu'on ne puisse pas remarquer la présence d'un enfant et si cela était véritablement le cas c'était une preuve de la grande négligence de George. C'était exactement ce qu'avait répondus l'accusation, et cela était censé. Si aussi étonnant que cela puisse paraître George n'avait pas remarquer l'enfant alors en effet le choc dû à la chute ne pouvait être qu'un accident. Mais pour reconnaître ça il fallait reconnaître au final l' entièreté du témoignage du coupable, un chose impensable. Qui croirait sur parole un tueur d'enfant ? La question était un vrai serpent se mordant la queue : George Chastain avait il menti ou non dans ses aveux. Au vu de la condamnation et de l'ambiance qui semblait régner au moment du jugement dans la salle c'est ce que tous le monde avait sembler croire. Le parti civil avait attaqué sans relâcher la défense balbutiante de l'oméga et relevé par la même une foule d'incohérences, de vides, de mensonges enrobé qui faisait penser que ce témoignage ne valait rien. Pourtant ... Pourtant les faits semblait prouver le contraire, prouver que ce qui était un mensonge évident approchait de la vérité. Alors pourquoi les juré s'étaient ils autant fourvoyer jusqu'à en oublier un tronçon aussi important de la théorie finalement retenus. A part quelques propos injurieux vers l'âge de 15 ans rien n'avait jusqu'alors pût faire croire que George Chastain cachait une part de lui même sombre et déséquilibré capable tout à coup de massacrer un enfant.
Pendant une trentaine de minutes il lut et relus les discours de l'accusation, sentant qu'il était sur le point de comprendre, de mettre le doigt sur le paradoxe relever par son maître. Pourtant rien ne venait. Cette démonstration lui semblait parfaite à côté de la défense, et c'est justement ce qu'il énonça à Jérôme.
« - Je ne comprends pas.
- C'est à dire.
- Malgré ce que vous m'avez dit le raisonnement de l'accusation est parfait. Les fait s'enchaîne de manière logiques, les mots sont percutant, les témoignage poignant. A coté de ça la défense est maigre, désorganisé. Ce n'est pas étonnant qu'on l'ai déclaré coupable avec de tels fait et une défense pareil.
- Je n'ai jamais dit que c'était étonnant. Je suis tout à fait d'accord avec toi c'était la seule chose qui pouvait arrivé au vu du déroulement du procès. Je pense même que s'il y avait encore eu la peine de mort il n'y aurait pas échapper. Et c'est justement ce que je reproche à ce procès. Il est trop parfait et surtout trop unilatérale. »
Alceo eut un éclaire à ces mots et fait un rapide compte des prises de paroles, des éléments mit sur la table et fut frapper de la différence en terme de quantité et de diversité. La défense était peau de chagrin et peinait à trouver un moment de prise de parole dans les débats face à une accusation puissante aux éléments diversifié.
« - Bon sang quel déséquilibre ... murmura l'alpha avant de se glacer jusqu'au os. Ce n'est pas équitable ... Ce n'est pas équitable ! Cria il en redressant le regards vers son maître de stage. Ce n'est pas du tout équitable ! Mais ... Ça pourrait être aussi dû au fait que toutes ces preuves de l'accusation sont vrais.
- Ça pourrait tu as raison. Mais la défense ? Qu'est-ce que tu en pense, honnêtement.
- C'est franchement mou. Rien que sur cet attaque ad-hominem n'importe qui aurait porter objection et ça n'as ... pas était fait. Pas du tout même. De tout le procès l'avocat de la défense à laisser passé toutes les accusations et les critiques sur l'accusé ! C'est incroyable ! Je n'avais jamais vu ça ! Enfin c'est insensé. Rien d'étonnant à ce qu'on pense qu'il est un monstre si même lui ne s'en défends pas ! Pourquoi votre frère ne s'est il pas défendu ?!
- Il était en état de choc. Certes il était très sain d'esprit du point de vu médical mais il y avait de nombreux éléments qui n'ont même pas été mit sur son dossier qui aurait dû montrer qu'il n'était pas psychologiquement capable de réagir normalement dans la situation où tout ceci s'est produit. Je suis convaincu que si son examen psychologique avait été bien fait et que notre père ne s'était pas porter parti civil avec ses magouilles l'issue du procès aurait été toute autre.
- Vous voulez dire qu'il n'était pas mentalement capable d'assister au procès ?
- Non. Clairement il ne l'était pas. Tu regardera en détail ce n'est pas beaucoup mentionner mais il a pleuré pendant les deux tiers de l'audience.
- On ne voit ça nul part dans le dossier d'origine.
- C'est ce qu'ils appelles les « larmes de culpabilité » dans une des injonctions de l'avocat du parti civil.
- Vous doutez qu'il se sentait coupable ? Ce n'est pas cohérent avec ce que vous n'arrêtez pas de me dire.
- Je n'en doute pas une seule seconde, chaque fois il me dit à quel point il regrette. Mais je crois surtout qu'à ce moment là George se sentait piéger entre nos parents, des jurés aveuglé par un beau discours et un avocat commis d'office aux abonné absent. »
Jérôme avait résumé la situation d'une voix un peu triste mais calme. Montemini habitué à ses éclats de voix n'osa rien dire de plus. Il sentait qu'il s'agissait d'une plaie encore fraîche chez son tuteur. Dix ans déjà, pourtant visiblement cette dernière n'était toujours pas cicatrisé. Il doutait que cela puisse être le cas un jour, pas tant que George Chastain serait condamné à passer le reste de ses jours en prison. L'oméga reconnaissait que son frère était coupable mais avait soulever ce qui semblait soudain pour Alceo une évidence : il y avait eu un procès profondément injuste.
Les traits de l'Alpha se fermèrent peu à peu alors que montait en lui une révolte sourde. Comment avait on put faire ça ? Comment sa justice chérie avait elle pût se laisser ainsi manipuler et par qui ? Pourquoi ? Où était la vérité dans cette affaire où même lui s'était laisser embobiner dans des phrases pleines d'éloquences au point de passer à côté d'une chose aussi cruciale ? Il ne pouvait supporter que les choses restes en l'état. Le sort des frères Chastain ressemblait à une tragédie grec un peu plus chaque seconde. Où était cacher le diable dans cette sulfureuse affaire ? Le manipulateur malin était il assit à ses côté ou fallait il le chercher ailleurs ? Peut être tout ceci était il de belles paroles auquel il s'était laisser aller. Désormais il appliquait un doute des plus radicales : si on ne pouvait faire confiance à la justice , s'il y avait le moindre doute à ce sujet, alors il ne pouvait plus avoir confiance en rien ni personne. Alceo Montemini était désormais investit d'un nouvel objectif visant à restaurer sa foi dans la Justice qui avait bercé son enfance et toute sa vie. Il devait démêler le vrai du faux de cette affaire. Si jamais il échouait il ne pourrait plus jamais être certains de défendre le bien comme il l'avait toujours crû. Une chose aussi évidente et complexe que le système judiciaire pouvait il vraiment être faillible à ce point ? Ce n'était même plus un échec dont il était question, c'était au delà. Si Jérôme avait raison dans ses sous entendus alors il s'agissait d'une forme de corruption de la pire espèce. L'idée d'une entités capable de punir chacun mais sans équité, corruptible et influençable donna la nausée à l'alpha. Il n'était pas sur de supporter de vivre dans un pays comme ça.
Alceo rangea proprement les documents dans leur pochette avec un air déterminer vers l'horizon. Ce jour était le premier jour de sa chasse au sorcières au côté de l'étrange oméga. Il n'était pas certain de faire confiance en son enseignement, ne le considérant clairement pas comme un modèle au vu de son implication politique loin d'être impartiale. Mais pour le moment il lui fallait le point de vu d'un réactionnaire à l'œil affûté comme une lame de rasoir tel que lui afin de s'aiguiser à la recherche des simulacres de procès.
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