La chronique mortuaire célèbre

  Tom passa le détecteur de métaux à l'entrée pour se diriger vers un petit accueil où se trouvais un agent de sécurité basique ( Ads) quand l'agent l'aperçu il écarquillas grand ces yeux de surprise. Il ne devait pas en croiser beaucoup des gens pourvu de cache-œil pourtant il devait en voir de toutes sortes des bizarreries:

- Bonjour Monsieur, vous êtes ?
- Bonjour à vous aussi je suis monsieur Webster je pense que vous avez mon nom sur la liste des personnes qui sont attendu pour le publique ?
( Tom avait pris soin de changer un peu son nom au cas où l'immonde merde s'en souviendrait )
- Vestro, Vera, Webster ah sa y est fit-il comme si il avait trouver une pépite d'or .
Oui, alors tenez votre badge visiteur et prenez l'ascenseur, arrêtez vous au 7 ème et la trouverez le plateau .
- Merci je vous souhaite une bonne journée monsieur .
- De même.

   Le pauvre homme devait exulté, du point de vue de Tom les agents d'accueil hashtag agent de sécu au rabais devait avoir à faire à des gens ne leurs parlant pas ou dans le cas contraire les insultants si ils n'allait pas assez vite pour les laissés passer.

   Arriver à l'étage indiqué il tomba en effet sur un plateau de taille moyenne mais suffisante pour leurs émissions et le décors était simple lui aussi . De la moquette grise anthracite, un îlot central noir ébène où il pouvait y avoir six personnes autour et en mur de fond c'était un écran géant qui changeait selon le thème de chaque émission.

  Il y avait du monde qui s'agitait partout autours de lui quand une petite bonne femme ronde vint le voir un casque avec micro de retour sur sa tête l'interpella :

- Hey vous ! Qu'est-ce que vous faites ici bon sang ?
- Bonjour, excusez-moi de vous déranger mais, je suis prévu pour être dans le publique pourriez-vous m'indiquer où puis-je attendre ? Tom choisissait volontairement un vocabulaire très propre et soutenue pour coller à son personnage.
La femme se gratta la tête un moment et finit par lui dire :
- Ah !! J'en ai marre il devraient embaucher du personnel pour guider les gens comme vous, bon c'est juste à côté de la régie là, vous voyez et elle lui pointa un petit local . Juste à côté vous avez une porte et vous pourrez vous installer.
- Très bien merci, navré pour ce dérangement.
- Oh ce n'est pas de votre faute mon brave, et elle parti en continuant à pester dans sa barbe .

  C'est partout la merde pour le petit personnel ont dirait .
Tom finit par trouver le bon endroit et s'installa à côté d'autres personnes . Apparemment il n'était pas très en avance il y avait déjà plus beaucoup d'invités attendu au vue des places restantes .

  Finalement quand les dernières places furent prises à peine les personnes s'étaient assises que les générique de cette chronique sans intérêt commençait.
C'était une espèce de musique à la David Guetta . Ce ringard pensa Tom.

  « Mesdames et Messieurs votre chroniqueur préféré, Barnabé Pons! »
Il y avait un prompteur pour le publique afin de leur dire quoi faire et quand . Oui c'était bien de la merde en bande organisée et en prime des gens s'extasiaient devant sa .

  The master quant à lui n'avait pas changer d'un iotas. Il puait le vieux à des kilomètres une sorte d'odeurs rance, et de naphtaline . Il avait maintenant presque la soixantaine. Ce vieux croûton tenait encore rudement bien pourtant .

  Pendant sa chronique Tom s'était renseigné et avait regardé une de ces interventions sur YouTube, le pourrit n'avait rien trouver de mieux que de passer dans le publique après avoir énoncé une injustice survenue dans notre système scolaire et allait interviewer quelques quidam pour savoir ce qu'il en pensaient, comme un micro trottoir mais sans le trottoir, juste une pute qui mendiait de l'attention.

  Puis il aperçu Tom dans l'assemblée, il se dirigea naturellement vers lui pour lui poser la question :
« Et vous le pirate quel est votre avis, n'est-ce pas horrible ce comportement de jeunes adolescents de nos jours dans nos institutions ? »

  Tom tourna sept fois sa langue dans sa bouche comme ont dit pour formuler une réponse qui satisferait le boule puante qui lui soufflait dessus :

- Si bien évidemment c'est inadmissible et intolérable, il faudrait que les rectorats envoie des courriers à toutes les futurs familles indiquant que si leurs enfants ne respectaient pas les règles d'une manière ou d'une autre il serait expulsé de leurs établissements sans aucune forme de procès ou d'excuses à soumettre, selon les cas, cela va sans dire .
- Eh bien vous êtes rudement concernés par la question, cher monsieur à l'œil borgne, (esclaffade du publique ) des enfants peut-être?
- Nan je suis juste révolté par ces questions là et je reconnais grandement apprécié votre chronique très bien mener et compter parmi vos fervents admirateurs .

  The master fût un peu déconcentré par cette réponse puis ajouta :

«  Bien, merci, je suis flatté et venez me voir après l'émission je vous signerai un orthographe, merci pour lui applaudissons-le ! »

  L'émission toucha à sa fin et Tom alla retrouver sa pourriture, pendant qu'il se faisait éponger sa sueur et son maquillage par une pouff du staff il buvait une coupe de champagne . Putain ont lui refusait rien :

- Ah le voilà mon fan à l'œil manquant, alors j'ai été comment ?
Tom pensa en premier ( une sale ordure qui aurait mérité de crever plus tôt mais il préféra jouer au con pour l'amener où il souhaitait)

- Grandiose, tenez, Tom lui tendit un carnet, que l'autre voulu prendre mais laissa tomber maladroitement...
Un vrai empoter en plus .
Tom le ramassa et lui redonna :
- Merci mon brave, eh oui je ne suis plus tout jeune, mais bon toujours prêt à dégainer si vous voyez ce je veux dire ? Il lui fit un clin d'œil .
Au faite votre nom ?
- Webster, Vincent .
- Webster, oh Mais j'ai bien connu un Webster pendant les études audiovisuelle!

  Non !!! Ce n'était pas possible il ne pouvait pas se douté que dans ces contacts il y avait une personne de ce nom comme par hasard et c'était quoi cette histoire d'études ?

- Vous êtes le fils de Aimé Webster c'est sa ?
Tom ne savait même pas de qui il parlait mais il s'en fichait il décida de jouer le jeux .
- Gagner, il m'a demander de vous contacter depuis des années pour vous transmettre ces amitiés.
- Ah parfait, venez Ont va boire un verre dans un de mes bars préférés et je vous raconterait quel fripouille était votre père .

Et ils partirent bras dessus, bras dessous ...

Ps : Voilà bon ont avance devant un des meurtres les plus crades que j'ai imaginé, étant malade vous comprendrez que je ne peux pas poster assidûment mais je fais de mon mieux pour le peu qui me lise ! Merci à vous ! La suite bientôt !

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