Préférence Sherlock: Rencontre
Sherlock Holmes :
Une salle affaire, t'avais averti Lestrade, mais tu t'en fichais littéralement, le principal pour toi était d'aller une première fois sur le terrain d'un meurtre qui ressemblait sans hésitation à une boucherie.
Accompagnée d'Anderson et de Donovan, vous recherchiez des preuves pouvant aider à la résolution de l'enquête, mais les crétins qu'ils étaient ne trouvèrent rien, alors que tu analysais particulièrement le corps de la victime et surtout la plaie qui était sans aucuns doute la cause de la mort. Tu continuais de l'analyser, sans remarquer qu'une personne s'était rajoutée à l'observation du cadavre. Tu ne relevas pas la tête, totalement absorbée, mais cette présence t'observant à présent t'ennuyais, et t'énervais. Malgré tout, tu ne fis rien, ne prenant pas cet étranger à l'enquête en considération.
"_Parents morts après la naissance ou née sous X?
_Si vous parlez de la victime, il avait encore ses parents. Mais vu que cela n'est sans doute pas dans le contexte de l'enquête, cela m'est destinée, et je vous dis que cette réponse à cette question ne vous concerne pas et n'est en rien une information importante pour la résolution de l'enquête" Répondis-tu en posant enfin sur cette étrange personne ton regard froid. "Mais je pense qu'en vue de votre présence sur ces lieux vous devez être le Détective Consultant Sherlock Holmes!
_Comme si nous n'avions pas déjà assez de (T/N) pour qu'il faut que le taré se ramène.
_Toi, la ferme Anderson et fais ton travail un peu mieux, sinon je serai déjà/encore chez moi." Répliquas-tu en même temps que le détective consultant.
En remarquant que vous aviez parlé en même temps, tu tournas ton regard vers ce dernier qui te regardais aussi avant de tout deux partir dans un fou-rire étrange pour tous ceux qui assistaient à la scène. Vous vous calmiez avant de reprendre votre observation de l'homme couvert de sang.
"_John! Peux-tu me faire un topo de tes observations?
_ Le coup a été fatal, mais rien n'indique si le tueur était...
_ Il est gaucher, cela se voit en fonction de la forme de la plaie. S'il était droitier le forme serait plus étendue et moins profonde tout en continuant sa trajectoire sur le dos. Et souvent un tueur utilise sa bonne main, se serait donc irrationnel d'utiliser sa faible main." Fis-tu en interrompant le meilleur ami du détective. "Et puis, s'il avait été droitier, il aurait attaqué de face et la victime aurait bien put se défendre, ce qui n'est visiblement pas le cas.
_Bonne observation Agent dont je ne retiens pas le nom. John combien de fois je t'ai dit que tu n'observais pas correctement.
_ Agent (T/P) (T/N) M.Holmes, mais ne lui en voulez pas, c'est moi qui l'ais interrompu"
Il soupira et te regarda, tu étais tellement banale, et pourtant très observatrice, bien plus que son meilleur ami de médecin. Il soupira ensuite et regarda Lestrade d'un air froid avant de s'approcher de lui et de poser sa main sur l'épaule de ce dernier.
"_La prochaine fois, ne m'appelez pas Gabe tant que votre recrue reste très observatrice, à moins qu'elle ne demande mon aide, j'aimerai bien retravailler avec elle, se serait beaucoup moins ennuyant qu'avec vos deux abrutis Anderson et Donovan. En tout cas, gardez là et n'attendez pas la fin de sa période de stage pour l'engager, vous perdriez tellement! Au faite (T/N) vous n'avez pas répondu à ma question.
_ Je vous mets au défi de le trouver tout seul, vous êtes quand même l'homme le plus intelligent parmi nous tous.
_Intéressant, je vais bien trouver la réponse à ma question."
Tous furent abasourdit des mots du consultant, tout comme des tiennes. Finalement, il n'était pas aussi tarée que ce qu'Anderson ou Donovan disait, il était normal, à sa manière. Tu savais que la suite allait parfaitement être palpitante.
John Watson :
Quelle idée d'avoir choisie de suivre ta correspondante dans les rues de Londres alors que la pluie tombait comme l'eau d'une douche, rapide, raide et surtout énervante. Tes cheveux étaient donc trempée de la tête au pied, alors que ta correspondante riait de ton état, et ta seule réaction fut de rire face au sien, il était tellement communicatif qu'il te fit oublié que la pluie était présente.
Vous marchiez sous ce temps pendant un très longs moment, tu ne savais pas si cela faisait une heure ou deux que vous étiez là, ou encore pire seulement quelques minutes. Mais tu préférais la première option, tu ne pouvais pas t'ennuyer de ta correspondante, elle était superbe, vous aviez les mêmes goûts, les mêmes envies et puis, elle t'apprenait à mieux parler l'anglais que tu ne pus qu'approuver car en deux mois d'immersion, tu parlais parfaitement malgré la présence de ton accent français, mais cela ne te dérangeait pas et puis tu te disais que cela te donnait un charme énorme.
Et tu voulais absolument voir ce que cela donnerait si tu entamais une discussion avec quelqu'un d'autre que cette dernière, mais elle n'était pas trop sûre. Pourtant, elle ne put qu'obtempérer lors de tes nombreuses insistances. Son regard se posa alors au loin et son sourire s'élargit instantanément. Elle avait trouvé la solution à ton défi, alors lentement, elle te montra sa cible qui deviendrait quelques instants plus tard la tienne. Un homme d'une trentaine d'année, les cheveux d'un blond cendré et d'un magnifique regard bleuté. Tu le regardais et hocha la tête après quelques secondes d'hésitation. Tu semblais l'avoir déjà vu quelques part, mais tu ne savais pas d'où. Un coup de coude te ramena à la réalité.
"_Aller (T/P) tu peux y arriver, et puis tu m'as longtemps rabâché le fait que tu pouvais entamer un dialogue avec quelqu'un d'autre que moi dans la langue qui ne t'était pas maternelle. Alors maintenant prouves le que tu peux y arriver sans aucuns soucis, et puis ne t'en fais pas je te regardes, mais de loin.
_Très drôle (S/P). Mais le soucis avec toi, c'est qu'à chaque fois que tu veux que je parle à quelqu'un il s'agit toujours d'un de tes amis.
_Mais lui n'est pas un ami (T/P) disons que c'est un blogueur très connu dans Londres et puis tu as déjà lui un de ses articles, si je te dis Une étude en rose ?"
Tu ne répondis pas, tu savais parfaitement de qui il s'agissait à présent. Prenant ton courage à deux mains, tu t'approchas de lui, tu devais trouver un prétexte pour lui parler, puis tu te souvins de ton compte YouTube, tu devais faire un blog pour annoncer ton arrivée. N'était-ce pas le bon moment. Alors tu t'approchas de lui.
"_Monsieur Watson?
_Oui? Vous êtes?
_(T/P) (T/N), je suis une YouTubeuse française en immersion de deux ans à Londres, j'ai lu quelques uns de vos écrits et j'aimerais faire une interview de vous pour ma communauté, pour aussi montrer à ces derniers que vous avez énormément de talent et qu'il est important de savoir que vous pouvez montrer les aléas d'un métier sans en faire particulièrement partis." Tu mentais littéralement, mais tu avais lancé cette discussion. Un bon début. "Enfin bien sûre si vous le voulez?
_ Oui cela ne me dérangerai pas si c'est pour votre travail, malheureusement je ne peux pas vous dire oui pour maintenant, je dois retourner à mon travail, avant que mon meilleur ami ne débarque nullement déguisé et qu'il pense que vous êtes un nouveau Flirt. Pour votre interview, mon numéro est inscrit sur mon site internet, j'essaierai de vous trouvez une place."
Tu souris avant de le laisser partir, tu avais en plus d'avoir réussit à lancer une conversation, une interview future avec John Watson sur lui-même et son travail de blogueur pour le Grand Sherlock Holmes.
Mycroft Holmes :
Un atterrissage quelque peu secoué, tu venais d'arriver à l'aéroport de Grande-Bretagne. Tu devais rencontrer l'homme qui représentait le gouvernement britannique à lui seul. Tu te sentais prête après tout, le gouvernement belge ne t'avait pas assigné le rôle de Ministre des affaires étrangères pour rien. Parce que tu arrivais toujours à avoir ce que tu désirais et cela depuis ta tendre enfance. Et tu n'allais pas laisser cet homme te marcher sur les pieds, gouvernement britannique ou pas.
Tu sortis de l'avions et aperçut au loin une berline noire arrivée avant qu'un homme n'en sorte, parapluie en main, malgré le soleil éclatant qu'il faisait. Après tout, fallait mieux être prudent, le temps pouvait être rapidement changeant. Tu t'approchas de cet homme sans attendre ton garde du corps dont tu retenais à peine le nom.
Arrivé à hauteur, tu serras la main qu'il te tendit et attendit un mot de sa part, mais absolument rien ne venait, alors tu entrepris toi-même les démarches.
"_Je suis (T/P) (T/N) ministre des affaires étrangères belge et je suis enchantée de vous rencontrez M. Holmes!
_Je sais parfaitement qui vous êtes. Vous avez 29 ans et êtes la plus jeune représentante des affaires étrangères belge. Vous ne vous faîtes pas facilement marcher sur les pieds, et malheureusement cela peut vous apportez quelques soucis avec d'autres pays, heureusement pas européen, mais autres. Comme les États-Unis.
_Effectivement, mais les circonstances ont fait que cela se soit déroulé de cette manière."
Il esquissa un micro sourire que tu ne pus apercevoir, alors que vos mains étaient toujours serrées l'une à l'autre. Lorsque tu le remarquas, tu te dépêchas de la retirer, cela te mettais mal à l'aise d'avoir parler alors que vos mains étaient toujours serrés dans un signe de politesse. Il t'invita à monter dans la voiture, ce que tu fis avec ta grâce habituelle. Tu t'installas et mit ta ceinture, les lois belges jouant sur ton comportement. Il continua de te fixer de ses yeux clairs, mais tu fis comme si de rien n'était.
"_Alors pourquoi avez-vous demandé ma présence dans votre pays. Nous aurions pus avoir une discussion par vidéo conférence, comme vous le faîtes souvent.
_Permettez-moi de vous en parler une fois que nous serons dans mon bureau. Il sera bien plus simple pour nous de discuter en toute sécurité pour vous dire ce que je sais et ce que vous devez savoir.
_Bien."
Après ces dernières paroles, le voyage se fit en silence, tu ne savais toujours pas pourquoi toi devais savoir des choses que le gouvernement britannique. Et si cela concernait toute l'Europe, vous ne pourriez pas gardez cela secret, cela serait totalement illégale pour les autres pays de l'Union. Le silence plana donc, mais ne te dérangea pas, même lorsque vous entriez dans son bureau et qu'il plaqua son regard sur toi.
"_ Si vous êtes ici, ce n'est point pour une affaire politique, mais pour une affaire de protection à l'encontre de vous-même face à votre propre gouvernement. En vue des évènements qui se sont passés aux États-Unis, votre tête a été mise à prix. Et si je vous ai fait venir, c'est pour faire croire à votre pays que votre présence en Grande-Bretagne est très importante et pourrait faire croire que vous arrangiez les choses. Ce qui est faux.
_Bien, je suis heureuse de l'apprendre. Et que dois-je faire?
_Rien. Je m'occupe de tout."
Tu soupiras cette fois et de manière forte. Tu étais convoquée pour ne rien faire. C'était réellement ce que tu voulais éviter, et surtout l'éviter lui, l'oiseau de mauvais augure. Car oui, tu savais parfaitement qu'il était impossible d'éviter toutes nouvelles bonnes comme mauvaise de cet homme qu'était Mycroft Holmes.
Grégory Lestrade :
Une longue journée d'étude venait enfin de se terminer pour toi, mais ta journée n'était pas encore sur le point de se finir, tu travaillais encore ce soir dans un club de danse afin de financer tout ce que tu faisais lors de tes matinées ainsi que de tes après-midi. Tu n'aimais pas bosser dans ce club, mais tu étais obligée de le faire, parce que c'était le seul endroit qui avait osé t'accepter avec tes faibles expériences, et puis tu apprenais encore sur le tas.
Tes études en prenaient quand même un coup, mais tu te forçais à les mettre de côté, pourtant cela te parut éphémère lors que tu aperçus des barrières de police sur les portes du bâtiment ainsi qu'un large périmètre de sécurité. Tu t'approchas même un peu trop près avant qu'une main de femme ne te repousse, te refusant l'accès. Un grognement sortit de ta bouche et tu te retins rapidement de lui répondre méchamment, tu voulais savoir pourquoi ton travail était barricadé par tout ce qui appartenait à la police, et pourquoi ils étaient là. Le Club était réglementaire pourtant, il payait toutes les factures, vous facturait correctement vos salaires. Rien de bien méchant.
Puis l'hécatombe, le corps de ton patron fut sortit en civière couvert de la tête au pied d'un linge blanc, alors il avait été assassinée. Ta tête se décomposa ce qui alerta l'un des policiers qui s'approcha de toi.
"_ Vous le connaissiez?
_ Bien sûr que je le connaissais, il s'agit, enfin s'agissait de mon patron. (S/P) (S/N), c'était un homme très gentil, et très attentionné pour nous mettre à l'aise lors de notre premier jour. Jamais je n'aurai pensé que quelqu'un veuille le tuer.
_Bien, mais prenez votre souffle Mademoiselle, est-ce que vous étiez là ce matin?
_Non, j'étais en cours, je suis étudiante à l'université, et je travaille ici la nuit pour pouvoir payer mon loyer.
_D'accord, je vois... Et vous vous appelez?
_ (T/P) (T/N) !
_ Bien mademoiselle (T/N) Si vous avez besoin de parler ou de nous donner des indices pour le meurtre de votre patron, contactez moi! Voici ma carte et n'hésitez pas à rentrez chez vous."
Tu hochas la tête et partit suite à son conseil, mais entre-temps tu regardas la carte qu'il t'avait donné et sourit lentement, tu voulais l'aider à retrouver le meurtrier de ton patron. Et puis qui ne voudrait pas aider le DI Grégory Lestrade.
Jim Moriarty :
Tu signais calmement des autographes, quelle idée d'avoir choisit de faire cela un dimanche. Il n'y avait presque personne, excepté les quelques personnes matinales qui s'étaient décidées de venir te rencontrer et ainsi avoir la chance d'avoir un exemplaire dédicacée de ta main. Tu souriais, de plus en plus faussement, fatiguée de répéter identiquement les mêmes phrases, de signer identiquement avec la même auto-pensée, et aussi fatiguée d'avoir des demandes de Selfies. Mais c'était ainsi, comme le disait ton défunt père que se déroulaient les aléas de vie de célébrités.
Tu continuais pourtant à tout faire pour plaire à ta communauté de lecteurs, mais tout cela ne te servait à rien, tu ne te sentais pas heureuse de cette journée, celle de ta reconnaissance, mais ce n'était pas vraiment ce que tu voulais faire depuis le début, il s'agissait juste d'un échappatoire. Tu te repris ensuite avant de te lever et de prendre une pause.
Arrivée dehors, tu pris de ta poche ton paquet de cigarette, en posa une sur le bord de tes lèvres avant de l'embraser et d'aspirer une première bouffée de cette fumée toxique qui te détruisait avec ton consentement ton organisme, mais tu t'en fichais. La fumée ainsi que les flammes avaient bien détruit l'entièreté des membres de ta famille, ainsi que tes passions.
"_Ce n'est pas en fumant que vous allez arranger votre passé, on ne rattrape jamais le temps perdu.
_Je ne vous ais pas permis de m'adresser la parole et puis je fais ce que je veux de ma vie! Vous ne la contrôlez pas.
_Vous serez bien surprise de tout ce que je peux faire pour essayer de vous convaincre qu'il vous faut arrêter la cigarette, seuls les êtres sans convictions puissent se permettre de faire cela, de se détruire.
_Justement je n'ai point de convictions!
_Vous mentez, vous voulez tuer l'assassin de vos parents ainsi que des autres membres de votre famille, et c'est en écrivant des scènes gores dans vos livres que vous évacuez les idées qui vous traversent l'esprit quand vous pensez à lui."
Tes yeux écarquillés croisèrent les prunelles brunes de l'illustre inconnu, alors que tu lâchais ton poison portable. Il sourit étrangement et écrasa lui même ta cigarette, ne te lâchant pas des yeux.
"_Vous avez un talent énorme pour décrire des meurtres, alors essayez de vous venger et puis je pourrais sans doute vous aider.
_Qui êtes-vous pour me connaître autant et me proposer ainsi d'accomplir ce que vous pensez que je dois accomplir.
_James Moriarty, mais appelez moi Jim, et vous êtes Lila Nuit, écrivaine de 26 ans...
_ Ce n'est qu'un pseudo. Je suis (T/P) (T/N), mais je ne sais que répondre à votre attention particulière.
_Vous n'avez pas à répondre, je connais déjà la réponse."
Son sourire te fit tressaillir, et tu le regardas partir. Cet homme si généreux, venait de te rendre une sorte de joie interne, tu repartis donc signer tes livres, imaginant ainsi tuer des milliers de fois le criminel de tes parents.
Sebastian Moran :
Tu écoutais les longs discours de ta mère sur ta vie passée, mais rien ne te revenait, tu n'étais pas sûre d'être celle qu'elle te disait être. Cela t'ennuyait. Tu voulais même qu'elle te lâche même pour quelques minutes, mais tu ne pouvais faire cela, c'était ta mère.
Ton regard la scrutait dans tous les recoins, tu voulais la photographier pour en garder son souvenir en mémoire, malgré tout cette technique ne fonctionnerait jamais, tu l'avais déjà essayé, mais le moindre bouleversement émotionnel te faisait tout reprendre à zéro. Et cela t'agaçait énormément. Les efforts de ta mère étaient nombreux, elle t'avait fait déménagée avec elle pour que tu puisses découvrir le grand air, qu'elle retrouvait revigorant. Cependant, en quoi Londres était revigorant? L'air était pollué par les voitures et même les parcs en faisait les frais en dépérissant bien plus rapidement qu'autre fois.
La voix de ta mère te rendrait folle, si tu restais une seconde de plus, alors tu te levas et prit tes affaires.
"_(T/P) où est-ce que tu vas?
_Prendre l'air maman, ne t'en fais pas, je reviendrai rapidement!"
Tes paroles sonnaient comme une promesse et elle te donna la permission de sortir, veillant à ce que tu ais bien ton téléphone sur toi. Son comportement pouvait être qualifié de surprotecteur, mais tu comprenais rien, pour toi, tu étais totalement normal, malgré que la vie t'ait offert un accident et une perte de mémoire.
Sortant sous le soleil de Londres, tu entrepris une marche rapide jusqu'au parc ou tu te permis de regarder les nombreux enfants y jouer avec leurs parents, des parents qui semblaient bien plus posés et calme que ta propre mère. Alors tu les regardas, te perdant dans tes pensées à la recherche d'un souvenir semblable, mais il ne semblait pas existé ou était en partit effacer quand une bride essayait de remonter en surface.
Tu sentis ensuite quelqu'un s'asseoir et le regarder moins de 2 secondes, juste pour vérifié qu'il ne s'agissait pas de ta mère. La personne à tes côtés semblaient neutre et bien trop sérieux.
"_Vous semblez perdue dans vos pensées?
_Je le serai si j'en avais encore, puis-je dire.
_ Vous n'en avez plus? Mais c'est idiot!
_En rien. Et puis cela ne vous regardes pas, et puis nous ne nous connaissons pas, alors laissez-moi tranquille.
_Vous avez entamé la conversation, donc je suis en droit de vous poser des questions pour ainsi la continuer."
Tu soupiras, le comportement de cet homme semblait aussi envahissant que celui de ta mère, mais tu fis avec, avant de l'entendre dire alors que tu commençais à partir.
"_Je m'appelle Sebastian Moran, ancien lieutenant-colonel de l'armée. Maintenant je peux dire que vous me connaissez et pouvez entamer une discussion avec moi.
_Vous rêvez énormément M. Moran. Je reste sur la position du fait que je ne vous connais pas, et que vous êtes un étranger.
_Plus si étranger que cela, nous pouvons être connaissance si vous me donnez au moins votre nom de famille mademoiselle.
_(T/N) mais je préfère rester distante avec vous."
Tu ne lui donnas pas le temps de répondre pour répondre. Qu'il était étrange, mais tu ne sus pourquoi, tu le savais que tu le reverrais, malgré que tu ne semblais pas l'apprécier du tout. Après tout, ce n'était pas en connaissant son nom et prénom qu'il allait devenir plus qu'un inconnu, enfin si ton esprit décidait de ne pas l'effacer, et tu voulais qu'il l'efface.
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Fini!!!! La partie Rencontre de Sherlock est Fini!!!
N'oubliez pas le prochain c'est House ;) Et le thème vous verrez x)
Bisou ^^
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