Préférence Sherlock: Il te voit ou te revoit sur ton lieu de travail
Sherlock Holmes :
Tu étais seule depuis quelque temps. Pas seulement sentimentalement parlant, mais surtout au niveau des enquêtes. C'était ta première enquête solo, mais il s'agissait déjà de la troisième victime, ça y était, celui que tu recherchais était un tueur en série. Oui, car à partir de trois victimes, - que cela soit entre quelques jours ou quelques années d'intervalle entre les victimes - le meurtrier était considéré comme tueur en série, et en prenait grandement plaisir à les tuer.
Celui que tu recherchais était un boucher, chacune de ses victimes avait été décapitée, mais l'entièreté de leurs organes leur avait été volée. Tu savais par contre qu'il s'agissait d'un homme droitier, ayant un penchant pour les femmes blondes et de petites tailles.
Tu te doutais donc qu'il avait eut un passé difficile avec ce genre de femme, mais tu ne pouvais pas savoir s'il s'agissait d'une ex-petite-amie, ou de la mère du meurtrier. Tu soupiras donc. Pourquoi étais-tu donc seule pour ce genre d'affaire? Tu n'étais qu'une débutante, mais à cause de ta première enquête, tu avais tapé dans les yeux de Lestrade, et tu méritais cette solitude, mais une deuxième aide, aurait pu t'être totalement utile. Mais qui? Tu savais bien que Sherlock Holmes ne viendrait jamais aider une bleue comme toi...
"_Besoin d'aide Agent (T/N)?"
Tu levas la tête, et tu n'y croyais pas, il était là, seul et face à toi.
"_Ce ne serait pas de refus M. Holmes!
_Appelez-moi Sherlock! Alors (T/P) que savez-vous sur ce tueur?
_Droitier, d'une vingtaine d'années en vue de la rage dans ses coups, il doit s'y connaître en médecine en vue de l'exécution de ses mouvements.
_Rien d'autre en particulier.
_Je soupçonne le fait que la source de cette rage est une ex-petite-amie ou une mère dominatrice!"
Il ne rejeta pas ton observation et sourit même calmement. Il te prenait donc en considération et cela te faisait plaisir à voir et surtout à savoir. Il soupira lentement en regardant bien le corps ainsi que la tête, et il y vit ce que tu n'avais pas vu, et tu le remarquas à son regard déçu.
"_Vous êtes certes plus intelligente que vos collègues (T/P), mais vous avez ratez quelque chose! La victime semblait bien en confiance avant de mourir de ses mains. Donc il l'a sans aucun doute prise dans ses filets avant de la tuer. Dommage que vous ayez rater cela.
_Oui... Dommage, finalement, je suis comme les autres...
_En plus améliorée, vous n'êtes pas une cause si perdue que ce que vous avez pensé à l'instant. Mais si vous le prenez ainsi.
_Je l'ai certes insinué, mais je ne suis pas comme Donovan ou Anderson, je ne prends pas le temps que j'ai de libre pour faire ce que j'ai envie de faire! Moi, je travaille sur cette affaire en rentrant chez moi! Et je ne ferai rien d'autre, tant que cette affaire ne sera pas bouclée!
_C'est ce que je voulais entendre (T/P)!"
Tu soupiras pour te replonger dans ton enquête, frustrée d'avoir eut un moment de faiblesse, mais tu n'étais pas faible et tu ne le seras jamais! Tu maudissais au fond de toi Sherlock, de t'avoir poussé dans cette pensée de toi-même! Il allait voir ce que tu gardais en toi, et tu récoltas encore plus d'indices que prévu, même son mode opératoire, et tu calculas le temps qu'il y avait eut entre chaque victime. Tu ne laisserais pas passer cela!
"_(T/P)?
_Oui Sherlock? Il y a t'il un problème maintenant?
_Non aucuns! Enfin pour l'instant, mais vous avez bien avancer sur l'enquête et vous aurez besoin d'un moment de repos, mais bon, et puis je crois savoir qui vous êtes réellement! Alors est-ce que vous voudriez entendre ma réponse autour d'un café?
_Si vous le souhaitez! Je vais accepter!
_Bien! Ce soir vingt heures, au café de la place! Alors reposez-vous en rentrant chez vous!
_J'y serais!"
Tu soupiras et le laissas partir, finalement, il avait raison, une pause s'impose, tu appelas alors le légiste pour qu'il vienne chercher le corps et tu attendis. Tu avais un peu hâte d'être dans la soirée.
John Watson :
C'était une journée pluvieuse, et il s'ennuyait énormément dans l'appartement de Baker Street, son meilleur ami et colocataire travaillait sur une enquête, alors qu'il l'avait laissé là, en lui disant qu'il n'était pas nécessaire d'avoir sa présence. Alors il cherchait quoi faire.
Puis il se souvient. Il se souvenait d'avoir été interviewé pour une internaute française qui s'était débrouillée pour parler anglais avec lui. Et cela avait été un réel moment de plaisir pour lui comme pour toi. Alors il se permit de rechercher dans le moteur de recherche ton pseudo, mais il ne le trouva pas, l'ayant noté en phonétique anglaise et non en français.
Ensuite, il marqua son nom et trouva rapidement votre vidéo, intitulée en anglais et en français, il rit doucement à l'écriture française, et essaya de le prononcer "J'ai interviewé, John Watson, le meilleur ami et blogueur officiel du détective Sherlock Holmes OMG!!"
Il cliqua sur la vidéo et te revit exactement comme tu étais ce jour-là. Cela avait été si émouvant et si drôle pour vous deux.
"_Bonjour à tous mes loulous et louloutes, aujourd'hui est un jour très spécial! J'interviewe le grand blogueur John Watson, connu pour les histoires de crimes qu'il fait avec Sherlock Holmes, seul et unique détective consultants au monde! Alors oui, je vais aussi devoir parler en anglais, donc tout vous sera sous-titré! Bonjour John, enfin, si je peux vous appelez ainsi?
_Bien évidement!
_Ce sera bien plus cool que M. Watson!
_Effectivement!
_ Alors John, cela te fait quoi d'avoir Sherlock comme boss?
_Tu veux sans doute me demander si ce que cela me fait de travailler avec Sherlock, car Sherlock n'est pas mon patron?
_Oui, désolée, je suis encore mauvaise en anglais... Voilà, alors c'est quoi de travailler avec lui?
_C'est bien, mais d'un autre côté, cela est un peu ennuyant pour nous deux, car il veut que je donne des détails quand je retranscris tout, mais il oublie le côté humain de la chose, et ça part souvent en cacahouète! Mais bon, c'est la vie, mais sinon, ça fait du bien de travailler avec lui!
_D'accord! Je vois! Et les meurtres, ne sont pas toujours aussi cruels que tu ne les décris?
_Oh si, parfois, ils sont bien pires, mais pour le bien de tous, je radoucis les faits. Comme dirait Sherlock: Je décrédibilise sa manière de travailler et que cela ne nous ressemble en rien!
_Parce qu'encore une fois, il oublie, c'est ça?
_Oui, c'est bien ça!"
Il partit dans un fou rire sur sa dernière remarque, et il le fit encore en le regardant. Tout était si naturelle dans la vidéo. Et le reste se passait exactement de la même manière. Et il aimait apercevoir cette image de toi! Et c'était cette même image qu'il avait de toi pour votre première rencontre, et puis ton accent français était bien plus beau chez toi que chez d'autres personnes.
Alors, il dévora la vidéo. Il avait envie de te revoir et de revivre un moment pareil, oui, il avait envie, ce rapprochement que vous aviez eut, lui rendait sa part d'humain qu'il perdait un peu avec Sherlock. Mais bon, c'étaient les risques. Alors il n'hésita pas et t'envoya un message privé avant de fermer son ordinateur.
"Salut (T/P)! C'est John! Est-ce que tu es libre ce soir? Je t'invite au pub, si tu es disponible, j'y serais vers 19:00. Au plaisir de te revoir - John Watson."
Mycroft Holmes :
Une semaine que tu étais au gouvernement britannique, sous la surveillance de Mycroft Holmes, celui qui se faisait appeler "Le Gouvernement" par tout le monde. Mais pour toi, il n'était qu'un simple homme qui avait du pouvoir, certes, mais un homme quand même.
Tu n'avais pas peur de lui, mais tu restais quand même sous les ordres qu'il donnait parce que tu savais que les conséquences seraient terribles, malheureusement, cela te donnait énormément de fil à retordre, car tu t'ennuyais. Tu ne pouvais rien faire.
Tu ne pouvais pas interagir avec les personnes autour de toi, tu ne pouvais pas avoir de contact avec qui que se soit, hors Mycroft, mais tu l'évitais, tout comme lui t'évitait, c'était sans doute ce qui avait de mieux à faire entre vous deux, surtout en vue de la relation de protection qu'il y avait entre vous et surtout en majorité contre ton gré.
Lentement, tu regardas autour de toi, tu t'étais encore perdue dans cette énorme bâtisse, comment avais-tu fait? Tu n'en savais doublement rien; car toutes les pièces se ressemblaient à l'identique, enfin hypothétiquement parlant, mais en gros, c'était cela. Tu ne te doutais pas de ce qu'il se cachait derrière chaque pièce, et c'était ce que tu voulais découvrir par-dessus tout, encore une fois, c'était une chose impossible à cause des ordres de Mycroft qui t'avait limité l'accès qu'à quelques pièces de la bâtisse immense.
Tu entendis soudainement la voix de Mycroft provenir de l'une des portes du couloir, et il ne parlait pas n'importe quelle langue. Il parlait ta langue maternelle: le français. Alors tu l'écoutais, il n'avait pas d'accent. Il était naturel, et tu entendis ensuite une seconde fois, elle aussi en français, mais tu la reconnaissais énormément, l'ayant déjà de nombreuses fois entendu; il s'agissait de la voix du président français: François Hollande. Et sa discussion avec Mycroft semblait houleuse. Bien trop houleuse à ton goût... Tu toquas, entrant directement ensuite sans avoir obtenu une réponse adéquate. Tu n'allais pas laisser cette conversation être si houleuse.
"_(T/P) mais que faites-vous ici? Je suis en pleine vidéo-conférence avec le président de la République française.
_Je sais parfaitement qui est le président français M. Holmes, M. Hollande est un homme très controversé dans mon pays qu'est la Belgique." Tu t'approchas ensuite de l'ordinateur. "Bonjour M. Hollande.
_Bonjour à vous aussi Mademoiselle la ministre des affaires étrangères Belge (T/N). Content de vous voir.
_Nous pourrions dire de même. Quel est le problème? Pourquoi être en conversation houleuse avec M. Holmes?
_Cela ne vous regardes pas (T/P)!" Rétorquait Mycroft. "Il s'agit d'une affaire franco-britannique.
_Une affaire qui semble aller dans le mauvais sens. Mais veuillez m'excuser M.Holmes, mais je pense avoir plus de compétence en ce qui concerne les affaires étrangères. N'est-ce pas pour cela que je suis la ministre belge dans ce domaine. Donc laissez-moi travailler un peu! Donc M. Hollande expliquez-moi la situation."
Frustré, Mycroft te regardait, silencieux, vexé de s'être fait relayer au second plan de l'affaire, alors qu'il s'agissait de la sienne, mais il ne put qu'éprouver un étrange sentiment quand il te vit débattre tes arguments, allant dans le même sens que les siens. Vous étiez d'accord sans le vouloir. Et de part ta force de persuasion, le président Hollande ne put rien faire d'autre qu'accepter que la décision de l'accord n'appartienne qu'entièrement à Mycroft Holmes. Tu regardas ce dernier lorsque le président français raccrocha.
"_Alors? Ne vous avais-je pas dit que j'étais bien qualifiée dans le domaine?
_C'est exact. Donc je suis bien qualifié pour vous inviter à boire un café pour vous remercier?
_Vous n'avez rien à faire.
_J'insiste (T/P)! Et ne refuser pas mon invitation.
_Bien. Je viendrais comme bon vous semble! Et quand y allons-nous?
_De ce pas!"
Grégory Lestrade :
Un nouveau bar de strip-tease t'avait appelé pour travailler en temps que simple serveuse, et tu avais directement accepté, tu ne pouvais pas travailler dans le lieu où était décédé ton ancien patron. Tu travaillais donc avec un nouvel horaire fixe, chaque jour à la même heure, te faisant donc rater certains cours que l'université faisait le soir. Tu devais gagner cet argent pour pouvoir tout te payer, et ce n'était donc que l'unique solution.
Une solution qui te faisait pitié au fond de toi, parce que tes études étaient plus qu'importantes pour toi, tu voulais réussir, et être la psychologue que tu avais toujours voulut être depuis ton plus jeune âge. Malheureusement, ce travail changeait quelque peu tes projets. Pourquoi? Parce que tu travaillais de dix-sept heures à deux heures du matin, alors que tes cours commençaient à neuf heures. Réduisant considérablement, tes heures de sommeil à quatre heures. Oui quatre heures, tu rentrais chez toi, et étudiais de deux heures trente à quatre heures du matin, dormant donc juste après jusque huit heures. C'était hard, mais tu le faisais.
Ce soir, tu n'étais qu'à la moitié de ton service, lorsque tu vis entrer l'inspecteur Lestrade, le même inspecteur qui enquêtait sur la mort de ton patron et que tu n'avais pas recontacté depuis, par manque de temps, mais aussi parce que tu n'avais pas d'impression sur tes anciens collègues. Tu le fixas alors que ce dernier semblait ne pas t'avoir vu en allant s'installer, tu ne voulais pas aller le voir, et heureusement pour toi, une de tes collègues serveuses alla vers lui pour lui prendre sa commande, alors que tu allas vers les clients que tu servais habituellement. Quand on avait les clients qui laissaient les meilleurs pourboires, on ne les abandonnait pas et cela tu l'avais bien compris!
Ton travail continuait, accélérait, tu n'hésitais pas non plus à courir dans tous les sens pour faire plaisir au patron ainsi qu'aux barmans qui se sentaient débordés. Tu te fis soudain interpeler par l'inspecteur et t'approchas.
"_(T/P) vous travaillez ici maintenant?
_Oui, il fallait bien que je me trouve un nouveau travail pour gagner ma vie...
_Je comprends, mais je ne pouvais pas imaginez que vous viendriez travailler dans un endroit de ce genre.
_Malheureusement, c'est souvent ce que nous n'imaginons pas qui se réalisent, le reste n'est que rêves ou fantasmes.
_Vous avez sans doute raison (T/P)!
_Sinon vous m'aviez appelé pour quelque chose inspecteur Lestrade?
_Grégory. Je voudrais juste un soda, mais pourquoi n'iriez vous pas vous asseoir avec moi, je vous le paie!
_Euh..."
Tu ne sus quoi répondre sur le moment même alors qu'au loin une de tes collègues hocha la tête, te montrant que tu ne pouvais rien refuser à un client. Oui, les clients étaient toujours rois.
Jim Moriarty :
Tu ne travaillais pas dans un endroit fixe, chaque jour, ton lieu changeait. Quoi de plus normal quand l'écriture était notre "métier"? Mais en cette journée pluvieuse, tu te trouvais dans la bibliothèque de la ville, tapant sur les touches de ton clavier quelques livres sur les meurtres non-élucidés à tes côtés.
Tu voulais que les morts de tes personnages soient les plus horribles, mais aussi les plus psychologiquement parlantes pour créer un meurtrier parfait, introuvable. Tu voulais que tout soit parfait. Et chaque victime que tu tuais, tu l'imaginais encore être le meurtrier de tes parents.
Ils te manquaient. Atrocement, et pourtant, tu faisais toujours avec. Toujours.
Tellement concentré, tu ne remarquas pas que ta pile de bouquins s'était déplacée d'un bon nonante (= quatre-vingt-dix) centimètre. Tu continuais ce que tu faisais de faire, tu ne te détournais de rien, sauf cette fois, lorsque tu sentis l'un de tes écouteurs tombé de ton oreille.
Surprise, tu fis donc un grand mouvement de recul avant d'entrevoir qu'il s'agissait de Jim, l'homme qui te proposait de retrouver l'assassin et te permettait de le tuer comme tu le faisais dans tes nombreux bouquins.
"_Je ne pensais pas que vous veniez vous documenter ici? Pourquoi ne pas me demander des informations de manière directe (T/P)?
_Pourquoi? Mais parce que! J'ai besoin de me documenter, de me débrouiller, et puis je ne vous connais pas si bien pour pouvoir vous faire confiance.
_Vous marquez un point en cet instant, mais je peux vous aider, vous ne risquez rien avec moi, et puis je vous l'ai promis, je n'attends que votre réponse pour vous aider à l'éliminer. Vous le méritez après tout. Vous êtes tellement doué pour imaginer des crimes impossibles à résoudre, alors.
_Oui, je le sais parfaitement bien. Mais je ne souhaite pas que la fiction devienne la réalité, je ne suis pas une meurtrière, bien que je souhaite me venger, mais...
_Il n'y a pas de "mais" qui tienne (T/P). J'ai promis de vous aider, alors je le ferais! Pouvons-nous en parler devant un café?
_...
_Bien demain matin neufs heures! Soyez-y!"
Alors que tu baissas la tête avant de la relever, ce dernier était déjà parti... Tant pis, tu ne savais pas le lieu précis du café.
Sebastian Moran :
Cela faisait un bon mois que tu avais finalement réussi à trouver du travail. Tu travaillais en temps que vendeuse dans un magasin de télécommunication. Et cela te plaisait assez. Tu le sentais bien ce travail, tu conseillais les clients sur tel ou tel téléphone en fonction de leurs besoins, et ton travail aboutissait énormément, tu recevais énormément de sourire de la part de tes clients, c'était tout ce que tu voulais.
Alors que tu conseillais une nouvelle fois une cliente, tu entendis la porte s'ouvrir suite à la réaction en chaîne de la sonnette que possédait le magasin. Tu levas donc le regard et saluas le client, mais tu te figeas, c'était le même homme qu'au parc, un certain Sébastien ou Sebastian, tu ne savais plus, ta mémoire te jouait des tours, encore. Mais tu n'en fis pas abstraction, reprenant attention à ta cliente. Tu expliquais encore et encore, alors que lui, cet homme, regardait l'entièreté du magasin, chaque cellulaire et chaque smartphone se trouvant dans son champ de vision. Mais le premier client arrivé était le premier servi, c'était toujours comme cela que tu avais vu le domaine de la vente.
La cliente une fois servit, partit, et tu pus donc t'occuper de lui. Ses yeux fixaient les tiens, et tu pus lui offrir un sourire commercial.
"_Que puis-je faire pour vous Monsieur?
_Pourrais-je voir, les meilleurs de vos téléphones?
_Et bien sachez que tous les téléphones ont les mêmes capacités: appels, messages, musiques, appareil photo. Bien que je peux vous conseiller ceux ayant une meilleure pixellisation, ou une meilleure mémoire interne. Mais que voulez-vous précisément?
_Un téléphone ayant la meilleure mémoire interne, mais aussi la meilleure pixellisation tout en ayant une autonomie optimale de la batterie!
_Peu de téléphones peuvent réunir les trois conditions, mais bon, je peux essayer de vous trouver le mieux.
_C'est bien ce que j'espérais de vous!"
Sa voix était beaucoup moins rassurante que lors de votre première rencontre, mais cela te semblait étrangement plus sécurisant. Disons que ta première impression de lui n'avait pas été la meilleure: tu l'avais pris pour un délinquant ou prédateur sexuel, ce qu'il ne semblait pas tellement être finalement.
Tu le servis donc avec plaisir cette fois, le conseillant, lui expliquant tout, et à ce que tu pouvais voir, ce dernier buvait chacune de tes paroles, très concentré sur toi. Cela te faisait plaisir, ton métier était bien cette barrière de sécurité, et ta barrière de plaisir. Mais ton sourire disparut quelque temps.
"_Dîtes (T/P), oui je n'ai pas oublié votre nom. Mais cela ne vous dérangeait pas si je vous invitais à aller boire un verre. Pour me racheter de notre première rencontre...
_Et bien... Je... Je... termine dans deux heures... Et... Je ne connais pas encore tout de Londres.
_Ne vous en faîtes pas, je viendrais vous chercher dans deux heures, et puis je n'habite qu'à cinq-cents mètres d'ici, je peux donc venir vous chercher.
_Merci...
_À ce soir!"
Sur ce, il partit te laissant seule et totalement chamboulée, car tu avais peur qu'une crise ne débarque si tu perdais le contrôle de toi-même.
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Préférence Sherlock réalisée à 100%, j'espère qu'il vous ait plus. La prochaine préférence est bien sur notre Dr House : " Vous buvez un verre" ;).
Bisou.
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