Préférene XXI: Votre premier baiser partie 2 •

Neville: C'était durant votre 7ème année. Vous étiez en cour de sortilège et les Carrow avaient pris le contrôle. Ils vous avaient demandé d'utiliser le sortilège doloris sur des premières années. Neville avait catégoriquement refusé avant de recevoir un coup en plein visage. Sous ce spectacle tu avais toi-même décidé de refuser pour le soutenir. La sœur Carrow vous avaient alors tout les deux apportés dans le bureau. Elle avait commencé à vous torturer avec le sortilège que vous deviez pratiqué. Appelée par son frère, elle quitta le bureau après avoir donné un coup de pied dans le ventre de Neville, t'arrachant un flot de larmes supplémentaires. Tu avais tant crié, tant pleuré durant ce supplice mais lui, rien. Aucun cri, seulement des larmes de douleurs coulant silencieusement sur ses joues. Étendu sur le sol, il s'était relevé et était venu te prendre dans ses bras.
- Tout va bientôt se terminer. Ça va aller, il t'avait dit.
- Neville... J'ai peur. Mais toi tu es si courageux. Tu es comme tes parents, même si tu l'as toujours nié.
Tu l'avais regardé droit dans les yeux. Il avait alors pris ta tête entre ses mains pour t'embrasser doucement puis vous vous êtes séparés avant que les Carrow reviennent. Tu savais que la torture continuerait mais tu avais par contre maintenant quelque chose pour t'aider à supporter la douleur; l'amour.

Olivier: C'était dans la deuxième partie de ta cinquième année. Durant une partie de quidditch, un des batteurs de ton équipe lui avait envoyé un cognard qui l'avait sérieusement blessé. Il s'était retrouvé à l'infirmerie et dans le dos de ton capitaine - qui t'aurait sans-doute décapité si il l'avait appris - tu étais allée lui rendre visite. Il était tard, le couvre-feu était proche et madame Pomfresh était entrain de lui donner son congé. Il semblait extrêmement attristé, pas à cause de sa blessure mais car son équipe avait perdue, à cause de lui à ses yeux. Dans le couloir, en sortant de l'infirmerie, tu lui avais dit qu'il n'y était pour rien et que tout était la faute de ton coéquipier que tu avais ouvertement traité de connard. Tu lui avais aussi parlé de comment tu étais reconnaissante qu'il t'ai défendu un an plus tôt devant Marcus Flint et au bout d'un moment, tu t'es rendue compte qu'il te fixait intensément. Vos regard s'étaient alors rencontrés et il t'avait embrassé avec passion, t'emprisonnant contre un des murs de l'école. Vos équipes respectives vous auraient trucidé, mais comme Roméo et Juliette, votre amour était plus fort que la rivalité entre vos maisons.

Seamus: Tu étais en 4ème année. Toi et Seamus étiez de bons amis. Vous adoriez rire ensemble et déconner un peu. Alors que tu allais en cours de soins aux créatures magiques, vous vous étiez croisés dans le pont.
- Hey, salut, il avait lancé en s'approchant de toi.
- Hey Sea...
Tu n'avais pas eu le temps de finir ta phrase qu'il avait déjà posé ses lèvres sur les tiennes. Il avait fait ça sans prévenir alors que vous n'hésitiez même pas en couple. Tu étais surprise sur le coup mais chose certaine, c'est que tu n'allais pas le repousser ! Il mit fin à ce baiser avant de te parler comme si de rien n'était;
- Désolé, je dois y aller, je suis un peu pressé j'ai oublié mon livre. À tantôt !
Il partit sans un regard en direction du château. Tu éclata de rire devant ce qui venait de se passer. Ce Seamus était vraiment imprévisible.

Draco: C'était durant votre 6ème année. Il était un de tes bons amis, voir même ton meilleur ami. Mais tu voyais qu'il n'allait pas bien ces derniers temps. Il était distant et ne te parlait plus beaucoup. Quelque chose clochait, tu le voyais dans ses yeux. Alors que tu te promenais dans les couloirs du 7e étage, tu le vis entrain de marcher d'un pas rapide dans une direction bien précise. Tu savais où il allait. Tu le suivis donc sans qu'il te remarque jusque dans la salle sur demande. Tu entras derrière lui sans un bruit dans l'immense pièce où des centaines d'objets étaient empilés. Tu avançais toujours doucement, puis tu accrochas malencontreusement un objet. Il se tourna alors vivement et lança par réflexe un sort:
- Expelliarmus!
- Protego!
Tu avais été plus rapide que lui. Sa baguette toujours pointé sur toi, tu baissas doucement ta garde en laissant tomber ta baguette au sol. Il devait être environ à trois mètres de toi. Son arme toujours en ta direction, tu avanças doucement vers lui. Tu savais qu'il ne te ferait aucun mal. Sa baguette tremblait et l'expression sur son visage montrait sa souffrance. Tu continuas alors à avancer jusqu'à ce que le bout de sa baguette touche ta poitrine. Une larme coula sur sa joue. Tu vis toute la peur et la douleur dans ses yeux. Il finit par baisser tranquillement sa garde, laissant sa baguette glissée sur ton corps. Ses yeux d'un gris sombre toujours plongés dans les tiens, il s'approcha de toi. Vous étiez seulement à quelques centimètres l'un de l'autre désormais mais tu n'avais pas peur et lui savait que tu avais confiance en lui. Avec toute la tendresse qu'il avait et l'amour qu'il pouvait éprouver pour quelqu'un, il t'embrassa.

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