A chaque fois je vais écrire au masculin ⚠️

Et ensuite si le média marche regardez mon bébé !!!

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comment vous vous êtes rencontrer ?

Sanemi:

Un soir de printemps où il rentrait péniblement d'une mission très fatigante  il a vu de la lumière au loin, il voyait la frêle silhouette d'une vielle maison. Sa respiration se bloqua lorsqu'il se rendis compte du fait que cette vielle bâtisse empestait la peur ,le sang et. . .le démon.

Plus il se rapprochait du bâtiment presque  décrépis plus l'odeur de démon et de sang lui tordait l'estomac...Lorsqu'il a enfin réussi a rentré il pensait tomber un démon terrorisant un humain et pourtant il vu une scène qui ,au début ,lui paraissait inenvisageable. un pourfendeur de démon semblait s'amusé a enfoncer son katana couleur de feu dans la cuisse d'un démon qui hurlait d'agoni ,cependant le démon ne semblait pas du tout se défendre ,au contraire il semblait protéger quelque chose qui ressemblait fortement à un bébé !

Soudainement le pourfendeur a agripper ce bébé ,c'est a ce moment là que Sanemi a vu que ce bébé était humain, ce que fit ensuite le pourfendeur le tourmenta d'autant plus: il tentait de le poignarder de son sabre ! C'était sans compter sur le démon qui s'élancer et agrippa le bébé. 

<<LAISSEZ MON ENFANT!! JE VOUS EN PRIS ,TUEZ MOI SI VOUS VOULEZ MAIS NE LUI FAITES PAS DE MAL !!!>> le démon implorait a genoux, les mains jointe. il suppliait quasiment le front parterre.

Puis, en ayant assez, le pilier du vent s'est interposé.

<<Laisse le et lâche l'enfant.>> son ton était glacial. le pourfendeur prit ses jambes à son cou.

ce démon, c'était toi.

Genya:

lorsqu'il a revu son frère il était avec toi alors il s'est renseigné hardiment ,de plus, bien qu'il ne se l'avouait pas il t'a trouvé absolument magnifique . Tu était son successeur ,et en plus un neveu de Kagaya Ubuyashiki  ! honnêtement, il s'attendait a tout sauf a ça , il a fini par trouver le courage de d'adresser la parole ,bien que très nerveux.

Au final vous avez parlez toute la journée et une bonne parti de la nuit ,tu mettais vraiment a l'aise et il se sentait si bien avec toi. avec le temps vous êtes devenus très amis, bien que lui commençais déjà a ressentir autre chose. . .

Muichiro: 

vous vous êtes rencontré lorsque lui est devenu pilier ,toi tu l'était depuis 3 ans, tu était chargé de lui faire visiter les lieux .Même si avec son amnésie constante il avait du mal a retenir où il allait habiter vous avez tout de même passez un très un très bon moment . 

A la fin de la journée, le soleil répandait ses rayons couleur de feu tandis que vos deux ombres se détachait aisément au sol. le nouveau pilier regardait le ciel dans le plus grand silence pendant que tu admirais sa fine taille et ses cheveux qui semblait virevolter dans le vent .

<<dis. . . c'est quel oiseau déjà ?>> sa voix était douce ,ça te changeais de Sanemi ,qui on ne va se mentir n'avais pas une voix d'opéra .

<<une colombe>> tu lui a chuchoté dans l'oreille .

vous avez passez passé la nuit à regardé les étoiles ,sans savoir que ça allait être le lieu de votre premier baisé. 

Obanai:

Tu étais orpheline, tu aidais Koaru, l'ancienne pilier des fleures. toi tu étais l'un de ces gamins dans les rues, sans passé ni histoires à raconter, elle t'avais recueilli et tu l'aidais a l'hôpital.

Un jour, un jeune garçon a été amener sur le dos du pilier de la flamme. il avais de très beau cheveux noirs, et des yeux si singuliers et adorable ! tu devais d'ailleurs lui donner des soins, cependant il semblait très méfiant et lorsque tu a voulu lui effleuré le bandage sur sa bouche ,il t'avais griffé et jusqu'à lors silencieux son serpent -dont il avais refuser de se séparé- s'étais élancé pour te mordre.

Finalement, tu a fini en pleur dans les bras de la pilier, et Obanai dans un coin du lit, immobile et méfiant.

Yoriichi :

Il t'a épargné, tu était un démon ni fort ni faible, un dommage collatéral. durant ta transformation tu avait mangé ta femme et ton bébé. tu t'en voulais tellement que pour te punir tu t'étais forcé a vivre malgré tout, et sans mangé d'humain, tu t'étais alors volontairement affamé. Yoriichi n'avait jamais vu un tel malheur dans les yeux d'un démon. il a essayer, il a tenter, a essayer du plus profond de ses entrailles , et pourtant il n'a pas pu te tué.

<<alors, qu'est-ce que vous attendez pour me décapité ?>>

<<je...je ne peux pas.>>

depuis lors tu l'accompagne là où il va, et en échange d'un peu de son sang tu combat a ses côtés...

Tamayo:

Tu étais avec Yoriichi lorsque tu l'a rencontré, tu étais aussi un démon qu'il avais sauvé, a croire qu'il voulait en faire un refuge.

 tu a été celui qui l'a soutenu du mieux que tu le pouvais, puis elle s'est ouverte a toi. vous avez passé un siècle a sillonné le Japon puis vous avez trouvé la maison dans laquelle elle va soigné Yushiro .  

tu l'a tout de suite aimé, pas en amitié, par contre toi tu semblais l'intimidé. au début tu a eu peur de l'avoir trauma à vie et une fois Muzan partie tu t'es excusé le front face contre terre. secrètement Yoriichi vous shipait déjà, d'ailleurs une fois que tu t'étais excusé tu t'es relever et il t'a poussé "sans faire exprès" sur elle. Pendant une semaine tu t'es excusé t'avoir sali son kimono car le pourfendeur aux boucles d'oreilles t'avais effectivement poussé un peu trop fort et tu avais atterri la tête sur ses cuisses.

Yushiro:

Au début, on va pas mentir, vous vous détestiez plus que n'importe qui au monde, pour toi ce n'étais qu'un connard prétentieux et pour lui tu étais un humain de la pire des espèces. la raison ? déjà tu était ami avec Tanjiro mais en PLUS tu avais bousculer et rattraper dame Tamayo par les hanches ,sans parler des sourire charmeur qu'il t'arrivais de lui faire!

Puis lorsque Susamaru et son frère ont attaquer la planque de Tamayo il n'a pas eu d'autre choix de faire équipe avec toi, a contre cœur c'est sur, d'ailleurs vous vous êtes fait beaucoup de croche pattes et de coups en douces.

mais malgré cela vous êtes tous parvenus a terminer la vie des 2 démons, mais tu était particulièrement blessé et Tamayo voulait te garder plus longtemps que tes coéquipiers et amis ainsi -voulant surtout rendre la vie difficiles au petit démon- tu a accepter (au plus grand malheur de Yushiro).

Muzan:

tu était une de ses jeunes personnes qui s'était elle même sorti de la misère, sans passé, sans parents, sans frère ou sœur ou quel qu'onques membre de la "famille" qu'elle n'ont jamais eu.

 Actuellement, tu te fessait jugé. pourquoi ? tu était devenu apothicaire et un homme t'avais fait des avances puis les ayants refusé il t'avait agressé sexuellement et tu t'était vengé en l'empoisonnant ainsi il en était mort. puis d'une façon ou d'une autre les villageois ont trouvés le "meurtrier" que tu étais devenus depuis maintenant un jour. bref.

Muzan avait eu vent de ton histoire et s'était rendu dans ton village incognito dans l'idée de te transformé en escla- démon (le correcteur automatique ovo) mais au moment ou il t'a vue il ne pouvait plus détourné le regard, complètement démunis etpuissant.

 jamais au grand jamais ça ne lui avait arriver, et ça ne lui plaisait mais alors pas du tout!

finalement il a massacré tout ton village et avant même que tu n'ai le temps de battre des cils il t'avais assommer d'un coup puissant, mais juste mesuré .

Douma:

Tu étais enfaîte un étudiant en médecine à Busan en Corée du Sud. Puis pour un examen, il fallait trouver une fleur à pétales couleur de feu qu'on ne trouvait qu'au Japon. Alors tu y est allé et est tombé éperdument amoureux de ce pays. A tel point que tu y est resté et que tu a arrêté les cours. Et de fil en aiguilles tu es devenu médecin.

Mais malheureusement ,ne connaissant pas très bien la langue, tu n'avais pas beaucoup de succès et donc tu vivais quasiment sans le sou.

Une nuit tu marchais, c'était un hiver glacial. Pas qu'il neige, non, mais plutôt que l'air était horriblement froid. Tes pas retenti quelques instants sur le sol sous le seul regard de l'astre lunaire avec les mains fourées dans les manches. Finalement ,après quelques minutes de marches, tu t'es arrêté. Il y avait devant toi, une rivière entourée de barrière avec juste un large escalier qui descendait vers un lac. Alors ,là, tu t'es assis sur les marches après avoir pris une barquette de riz au porc caramélisé.

Et alors même que tu venais à peine de prendre ta première bouché une main se posa sur ton épaule frêle. A peine tu tourna la tête qu'un homme au cheveux blond et l'air rieur arriva devant toi.

<<Mais quelle belle poupée j'ai devant moi !>>

Il s'est exclamé, un grand sourire sur son visage.

<<ch'uis un mec.>>

<<oh. . .>>

Kokushibo:

Ce n'était en aucun cas censé arrivé, non pas lui, c'en était indécent.
Ce n'était pas censé aller aussi loin entre vous deux, un petit fleuriste et un être surnaturel, un humain et un démon.

Tu gérais un magasin de fleurs et de poteries avec une partis pharmaceutique de premier secours  dans un village plutôt à l'écart de l'agitation de la ville. Vous vous êtes rencontrés alors qu'il était rentré par effraction dans ton magasin la nuit. Et même si ça restait exceptionnel pour un démon de tombé malade il l'était.

Au début tu avais eu très peur mais tu a pris le peu de veuvage dont tu était capable et tu l'a caché de la lumière du jours et l'a soigner. Tu savais que c'était mal, très mal, mais tu ne pouvais le laisser tomber Si quelqu'un le découvrait tu serais mort. Malgré tout ,durant plus d'une semaine tu l'a remis sur pieds.

Akaza:

Jamais il ne pourrait oublié le jour où il t'a vu dans un amas de débris sales dans une ruelle d'un quartier malfamé et presque infecté par différentes maladies dus au fait que ce quartier était particulièrement insalubre et infesté de rats et d'autres nuisibles infectieux du même genre.

Alors même si il n'avait pas tout à fait le droit, il t'a recueilli. Dans le dos des démons. Étrangement il avait eu presque pitié de toi ,un humain. Donc pour s'assurer que Muzan ne soupçonne rien, il avait dû être prudent, et ainsi le démon t'avais caché dans un espèce de vieux dojo.

Gyutaro:

Tu étais un homme, déguisé en geisha, sous le nom de Hana mais enfaîte un pourfendeur.

Dans le quartier des plaisirs, où les lanternes rouges projettent une lumière douce sur les ruelles pavées, une geisha,qui s'avèrais être toi, se préparais pour une soirée de divertissement. Ton kimono, orné de motifs floraux délicats, bruisse à chaque pas, tandis que ton maquillage, un masque de beauté, cache tes émotions.

Gyutaro, un démon aux traits disgracieux et à la vie marquée par la douleur, rôde dans l'ombre. Il observe ce monde de beauté et de grâce avec un mélange de mépris et d'envie. Sa sœur, Daki, était déjà en train de dévoré des humains, mais Gyutaro restait en retrait, son regard perçant scrutant chaque détail.

Sentant une présence étrange, tu tourne légèrement la tête. Tes yeux croisent ceux de Gyutaro, cachés dans l'obscurité. Il y a une tension palpable, un moment suspendu où le monde semble retenir son souffle.

<<Qui êtes-vous, mon seigneur, à observer de si loin ?>>

tu demande avec une voix douce mais ferme, habitué à désarmer les gens avec ses mots.

<< Je ne suis qu'un spectateur de votre monde éphémère.>>

répond-il, sa voix rauque contrastant avec la mélodie aiguë qui caractérisait ta voix. Puis il rajouta.

<<Un monde qui brille comme un feu de camp, mais qui finit par s'éteindre.>>

Intrigué par cette figure sombre, tu t'avance légèrement, ton obi serré autour de ta taille comme une armure.

<<Tous les feux ne sont pas destinés à s'éteindre. Certains illuminent les cœurs, même dans la nuit la plus noire.>>

Gyutaro, surpris par cette réponse, laisse échapper un rire amer. <<Et que pouvez-vous éclairer avec votre lumière, geisha ?>>

<<L'espoir, peut-être. La beauté dans l'obscurité. Ou la bonté où on ne l'attend pas.>>

Tu t'approche encore, mais garde une distance prudente , conscient de la menace qu'il représente.

<<Même les démons peuvent reconnaître la beauté, n'est-ce pas ?>>

Une lueur d'intérêt brille dans les yeux de Gyutaro. Il n'a jamais été confronté à une telle audace, une telle compréhension de ce qu'il est, sans peur ni jugement.

<<Vous parlez bien pour quelqu'un qui connaît la mort de si près.>>

murmure-t-il.

<<La mort est une compagne fidèle dans notre métier. Mais elle ne nous définit pas. Nous sommes définis par nos actes, notre art... et parfois, par ceux que nous touchons.>>

Gyutaro, touché par une émotion qu'il ne reconnaît pas, se détourne.

<< Peut-être, dans un autre monde, votre lumière aurait pu me réchauffer.>>

dit-il avant de disparaître dans les ombres, te laissant seul avec la nuit.

Tu reste un moment, ton cœur battant plus fort que tu ne l'aurais voulu. Tu sais que tu viens de côtoyer la mort et pourtant, tu te sent vivant, plus vivant que jamais.

Daki:

Au service de Muzan, tu devais aller l'a voir pour lui confier une mission.

Cependant, ton esprit perfide de démon avait d'autres plans. Effectivement ,ton maître t'avais informé que la démone était une Oiran de très haut rang. Et sur le chemin tu avais croisé son frère, va savoir pourquoi et comment il était là mais tu en avais profité. Tu lui avais demandé quelques chose qui l'avait fait réfléchir pendant quelques instants.

Une fois arrivé au quartier rouge, tu t'es faufiler entre les humains jusqu'à le bordel dans lequel était Daki. Depuis le l'entrée tu l'a vue, sa silhouette fine qui finissait de massacré le corps d'un humain. Ton Ricanements l'a sorti de son repas.

<<Qu'est-ce que tu veux veux ?!>>

Demanda-t-elle ,sans douceur.

<< Te prendre, c'est évident.>>

Tu répond, dans un soupire, tout en roulant des yeux d'un air agacé. Puis ,à contre cœur, rajoute.

<< Muzan m'envoie, morveuse.>>

Elle ne releva pas l'insulte, trop heureuse que son maître se "préoccupe" d'elle.

<<M-Muzan...l-lui...ne parle pas de lui avec une tel indifférence, idiot !>>

Elle réplique, toujours aussi agréable.

<<il me veux quoi...?>>

Elle rajoute, un peu de curiosité dans sa voix.

<<Mission. Aussi, tiens.>>

Tu lui lance une petite boîte en bois qu'elle attrape au dernier moment.

Lorsqu'elle l'ouvre ses yeux trébuches sur un pendentif, pendu à une fine chaîne d'or. Un bijou très féminin, très beau, élégant. Ses yeux pétillairent comme une gosse pendant quelques instants avant qu'elle ne reprenne son sérieux.

<<pourquoi tu me donne ça ?>>

<<c'est ton anniversaire connasse, remercie moi au moins.>>

Tu a répliqué, sans tendresse dans la voix.

Rui:

Dans la forêt sombre et humide, où la lumière de la lune peinait à percer à travers le feuillage épais, Rui, le Sixième Lune Supérieure, se tenait face à Giyuu Tomioka, le Pilier de l'Eau. Les ombres dansaient autour d'eux, reflétant le chaos imminent de leur confrontation.

Rui, avec ses fils de soie meurtriers tendus autour de ses doigts, fixait Giyuu avec un mélange de défi et de résignation. Il savait que ses forces s'amenuisaient, et la détermination dans les yeux de Giyuu ne laissait aucun doute sur l'issue de cette rencontre. Giyuu, calme et impénétrable comme l'eau d'un lac, tenait son épée prête, ses mouvements fluides promettant une fin rapide et sans douleur.

Juste au moment où Giyuu s'élançait, sa lame brillant sous une lune blafarde, prête à trancher la tête de Rui, un cri déchirant émana des profondeurs de la forêt. Un démon, caché jusqu'alors, sauta entre Rui et Giyuu. C'était une créature , fine, mais pas squelettique.
<<Ne touche pas à lui  !>>

Tu hurlas, ta voix résonnant dans la nuit. Tu étais un démon, autrefois un simple serviteur de Muzan, avait été nourri par sa force et son aura, développant une volonté inébranlable pour sauver de l'emprise du roi des demons d'autres démons. Tu bloqua l'attaque de Giyuu avec ton propre corps, ta peau résistant à l'acier, mais pas sans douleur.

Giyuu, surpris par cette intervention inattendue, recula, observant le démon blessé qui protégeait Rui. Ce dernier, choqué par ce geste, ressentit pour la première fois quelque chose qu'il n'avait jamais connu parmi les démons : la gratitude.

<<Pourquoi ?>>

murmura Rui, ses yeux reflétant une confusion nouvelle.

Toi le démon, malgré sa douleur, répondit avec une sincérité brute.

<<ne vous en préoccupé pas...>>

C'est alors que, dans un élan de désespoir et de reconnaissance, Rui utilisa ses dernières forces pour te renforcer, tissant autour de toi, une nouvelle couche de fils protecteurs, plus résistants que jamais. Ensemble, vous repoussèrent Giyuu, non pas pour vaincre le Pilier de l'Eau, mais pour s'échapper dans la nuit.

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KAKOU KAKOU ! 

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