Kokushibo OS (pas lemon mais allusions)

vous vous êtes rencontrez pendant qu'il était encore humain ,tu avais alors 15 ans et lui 20 ans ,tu vendais des pâtisseries toute la nuit et des spécialités salée la journée. Il t'admirais pour ton énergie ,après tout la plupart des jeunes de cet âge là aidait sans trop d'effort leurs parents mais toi tu fessais tout tout seul.

Un jour il a eu le courage de t'adresser la parole, lorsque tu a relever la tête de ton plan de travail ,il a alors été frapper par ta beauté absolu : des lèvres légèrement rougis ,des cheveux sublime ,un nez fin dans un visage juvénile incroyablement adorable. Tout s' harmonisais si bien !

Son cœur avait raté un battement, il avait eu un tel coup de foudre qu'il n'avait même pas été capable de correctement formuler une phrase ,jamais il ne s'était autant embarrassé devant quelqu'un, comme il avait honte !

<<heu. . . je-j-et bien. . .un Ramen de bol.>> Sur le coup il avait réellement l'aire d'un idiot .

Mais toi c'était ce qui t'avais fait rire, pas méchamment, d'un rire cristallin comme si il avait dit quelque chose de très drôle ,c'était un rire doux et enfantin . Encore une fois ,son cœur avait failli lâché, il trouva ta voix magnifique, presque surréaliste.

Il était parti s'asseoir plutôt loin de ton petit restaurant ,rouge de honte. Cependant, 15 minutes plus tard ,il entendit des pas derrière lui, lorsqu'il s'est retourné ,tu était là. Les cheveux regroupés dans une queue de cheval très basse elle-même entouré d'un tour de cou en laine ,tu portait un kimono bleu parsemer de fleurs blanche entouré d'un obi plus foncé. Tu tenait dans tes mains un bol fumant ,tu était essoufflé, une légère brume sortait d'entre tes lèvres car oui c'était l'hiver.

<<Okyakusama! Vous avez oublier de prendre votre bol. . .>>

T'entendre l'appeler monsieur avait rendus son visage aussi rouge qu'une tomate bien mûre.

Au fil du temps, il est devenu ton amis le plus proche ,mais de son côté il devenais de plus en plus fou amoureux, mais plus le temps passais plus sa jalousie envers son jumeaux grandissait . Pas que tu ai rencontré Yoriichi mais rien que de l'imaginer, Michikatsu en était furieux.

Une nuit, il était de dos sur ton balcon, il t'a posé la question suivante :

<<dis. . .est-ce que tu m'aime. . . ?>>il a demandé ,peu rassuré.

<< bien sûr. . . pourquoi tu me le demande ?>> tu a demander naïvement.

Et il s'est retourné, quatre yeux de plus avais pris place sûr son visage, enfaîte il était changé sans pour autant être totalement différent, tu le trouvait affreusement beau ainsi, puis il a déclaré de sa voix grave :

<<non. . .tu ne semble pas avoir compris, tu a toujours été bien trop innocent. Je t'ai demandé si tu m'aime.>> il a dit insistant sur le dernier mot.

Et tu a compris de quoi il voulait parler, tes joues ont pris une teinte rougeâtre et tu a commencer a bégayer idiotement. Il a penché sa tête sur la gauche et a demandé de manière taquine :

<<alors. . .je suppose que cela veut dire oui ?>>

<<o-on va dire que ,et bien, que ,enfin. . . il se pourrait que tu suppose bien. . .>> tu était atrocement gêné . Lui semblait parfaitement a l'aise ,pire que ça, il semblait s'amuser de la situation.

Quelque minutes plus tard ,ton petit frère rentra brusquement dans ta chambre puis s'arrêta tout aussi brusquement en te voyant a genoux devant un homme vraiment très grand ,des bruits de sucions venait de vous deux, l'homme au sabre semblait dans un autre monde, il donnait d'ailleurs des coups de bassin et dans le même temps avait une mains sur ta tête.

<<grand frère...?>>

L'homme se raidis et toi, tu t'étouffait avec ce qui ressemblait à une substance blanche particulièrement collante.

Au final, tu a raccompagner ton petit frère désormais trauma à vie dans sa chambre puis tu retourne dans la tienne. Quand tu a fermé la porte, tu l'a sentis te caressé le dos du bout des doigts, entre les deux omoplates.

<<tu sais, les démons n'ont pas de limite d'énergie, ainsi les démons peuvent avoir des érections et faire l'amour à longueur de journée>> il a dit tout bas, en sachant très bien comment ça allait se finir.

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