Il continue à me regarder de ses yeux, mais arrête tu vas me faire rougir.
Mais, il ne dit rien, j'ai peur.
Il approche son visage du mien, je sens son souffle taper contre mes lèvres. Son visage et ses lèvres ne sont qu'à quelques millimètres de moi.

- N-non!!!! Arrête, lève-toi.
Eh merde, je commence à perdre mes moyens là.
- Aahh ouais et si j'ai pas envie dit-il avec un air rieur dans les yeux.
- J-je fais de la boxe dis-je le souffle cours
- Eh?????  s'exclame-t-il le sourcil levé
Il n'attends pas ma réponse, et là s'empara de mes lèvres assez sauvagement je dirais, aspirait mes lèvres comme pour en goûté le goût. Sa bouche mouvait contre la mienne comme si elle s'était fait pour elle.On en demandais tellement que je dus le repousser manque de souffle, nos souffles étaient saccadés.
Mais qu'est-ce qui m'arrive, en plus c'est mon premier baiser et je viens de l'avoir avec un inconnu. Quelle cruche !!!!!
Non-non-non réveil-toi , bon sang
J'essaye de le repousser pour qu'il se lève mais il m'attrappe les poignets et m'embrassa d'un baiser doux avec cette même fougue et j'y répond tout en essayant de suivre son rythme. Il lâcha mes poignets attrappa ma taille tout en me serrant contre lui, et là il essaya de mettre sa main sous ma chemise. "Tilt" C'est comme si une ampoule s'etait allumé dans mon cerveau, je lui mets un coup dans l'entre-jambe, il me lâche et se laisse tomber à côté de moi en grognant. J'y suis pas allé doucement dis-donc.
Oulah, ça doit faire mal, à en voir son expression faciale.
Je me relève rapidement un peu secoué,
- Non mais ça va pas, t'es un vrai pervers toi .
- T'as pourtant aimé notre baiser
-Arrogant en plus dis-je en prenant mes sacs dont je suis sûr les oeufs ne sont pas en bon état. Hélas, il se relève et me regarde toujours avec ce sourire.
- Allez avoue que t'as aimée ?????
-Oooh, des licornes dans le ciel!!! m'exclamai-je
Il fronce les sourcils et regarde dans le ciel.
Je profite de son moment d'égarement et m'éclipse en courant.
- Au plaisir de ne plus te revoir lui lance-je sans me retourner.
J'ai jamais compris pourquoi cette blague marchait chaque fois, on s'est tous que les "Licornes" ça n'existe pas jusqu'à preuve du contraire en tout cas.
Je freine en essayant de reprendre mon rythme, en évitant les regards curieux braqués sur ma personne. J'aurais bien voulus les clouer le bec, mais ça va.
      dis plutôt que t'as pas envie d'être un énième sujet de conversation me nargue ma conscience.