chapitre 20

Quand j'étais petit, je me souviens que je vivais dans l'insouciance. J'étais heureux, le sourire toujours aux lèvres. J'étais le plus petit (bon je le suis toujours) de tous mes copains, le plus faible, celui qui devait toujours se faire protéger ? C'était toujours moi. Au moindre petit truc je sursautais de peur, jusqu'à avant le massacre de ma famille, à partir de ce jour je me renferme et souriais beaucoup moins, j'ai commencé à m'entraîner et prendre du muscle et mourir ne me faisais pas peur je n'avais rien à perdre de toute façon. Je pense que même avec Niall je n'ai jamais pu être vraiment moi, je lui ai toujours montrer le Louis sérieux, combatif qui souris à peine, je vivais en me disant que ce n'était pas grave car c'était pas le moment et qu'il viendrait bien à un moment ou à un autre. 
Mais depuis mon "kidnapping " je me suis senti comme libre d'être qui je suis vraiment. Auprès d'Harry le poids de la responsabilité sur mes épaules c'est amoindrie voir même disparu.
Je ne me suis jamais senti aussi bien, aussi moi.
Je crois qu'à cause ou grâce au lien et au hasard j'ai trouvé la personne qui me correspond, même s'il est dur il le fait pour me protéger.
Les yeux clos, j'entendais du bruit comme une respiration lente, j'ouvris les yeux et tombai sur la même chambre que la première fois où je me suis réveillé ici. Sauf que là c'est propre, pas un déchet ne traîne, pas un cafard ou une souris, plus de moisissures, et surtout pas de Norbert, tout ce qui reste est le mur jauni et décollé. Je remarquai que je n'avais qu'un bas de pyjama mais surtout plus aucune blessure visible ! J'avais juste du mal à bouger parce que ça me faisait mal. En observant la pièce, je trouvai un Harry assoupi sur une chaise affalé sur mon lit, je souris et je lui caressai les cheveux, ils sont tout doux, bouclés d'ailleurs je m'amuse à tirer dessus pour défaire ses bouclettes qui revienne tout de suite dans leur forme habituelle. Je délaisse ses cheveux pour passer mes doigts sur sa joue, il a vraiment une peau de pêche tellement délicate, mue par une envie je passe mon index sur ses lèvres qui sont comme des pétales de rose.
D'un coup ses yeux s'ouvrirent laissant deux billes couleurs absinthe légèrement assombries par le sommeil me fixer. Ses yeux se posèrent sur moi, d'abord vide elles commencèrent à briller d'inquiétude et il me sauta dessus
Harry : Tu vas bien ? ! Tu n'as mal nulle part ? !
Louis : oui ça va, j'ai juste beaucoup de mal à bouger, c'est comme ci des milliers de petites aiguilles chauffer à blanc parsemais mon corps. Comment ça se fait que plus aucunes blessures ne sont visibles ?
Harry : je t'ai mordu et je t'es injecté du poison contenue dans ma salive qui a accéléré ton métabolisme de régénération
Louis : je vois
Harry soupira rassuré, avant qu'il ne me fixe, ses yeux s'enflammèrent de colère, ses yeux se durcirent alors que comme dans la cuisine l'aura noir est de retour, inquiétante et obscur .
Harry : dis moi tu te fous de ma gueule c'est ça, je crois qu'on s'est pas bien compris la dernière fois que je t'étais dit que c'était trop dangereux pour toi ! Hurla t-il
Je baissai les yeux coupable
Louis : je..mai-mais qu'est ce que tu fais !? M'exclamais je alors que Harry se mis à califourchon sur moi attachant mes poignets sur les barreaux du lit avec sa ceinture.
Harry : le vampire à l'intérieur de moi veut te rabaisser et te faire comprendre où est ta place calice ! M'expliqua-t-il alors que ses yeux virent aux rouges et que ses canines grandirent alors dépassant de peu sa lèvre inférieure.
Et sans aucun préavis il planta ses canines dans ma jugulaire, je criai de douleur, gesticulant pour me libérer. Mais rien à faire, il commença à boire, je gémis comme d'habitude c'est un feu qui courait dans mes veines. De ses mains il baissa le bas de mon pantalon, le caleçon suivie ensuite. Je devins très vite dure, mais à aucun moment il n'y toucha.
Je voyais flou, mon cerveau se mis en mode off. Il me pénètre d'un coup avec 3 doigts, je gagne de douleur, j'avais l'impression d'être écarté de l'intérieur, mes chaires me brûlaient, il fit des mouvements de va et vient et des mouvements ciseaux. Il se décrocha de mon cou pour me faire un sourire sanguinolent, il retira ses doigts et me pénétra d'un coup de hanche puissant faisant passer toute sa longueur d'un coup .
Louis: haaaarg har-harry c-ça fait mal !
Il ne m'écoute pas et entama des va et vient. Je sentais sa large verge m'écarter en deux. Mon membre dur me faisait mal, j'avais beau supplier Harry de me toucher, il ne fis rien et continua de me culbuter avant de reprendre, ma jugulaire je sentis une langue de feu embraser mon corps.
J'avais beau comprendre sa colère je n'en pouvais plus, j'avais les larmes aux yeux.
Louis : Har-harry je su-suis désolé j-je ne le referais pl-lus , je te le promet !Il sembla s'adoucir et ralentir la cadence, continuant à me pénétrer avec force il me détacha les poignets et je vins entourer mes bras autour de son cou, il empoigna ma verge et fis des vas et viens en rythme de ses coups de reins.
Il ne m'en faut pas plus pour venir sur mon torse et dans la main d'Harry. En venant, je resserre mes chairs sur le membre d' Harry qui pousse un grognement avant de venir en moi. Essoufflé, il tomba sur moi , faisant attention à ne pas m'écraser de tout son poids, nos deux souffles haletant
s'entendaient dans le silence de la chambre. Je reviens tout doucement du méandre de l'orgasme. Il se retira, me faisant grogner.
Il se releva toujours nu et sortit de ma chambre sans un regard vers moi, il a beau m'avoir pardonné il reste énervé contre moi. La voix qui s'était tue depuis la consolidation du lien reviens en force, elle me hurle et encore hurler n'est pas assez fort pour décrire le nombre de décibels que monte la voix dans ma tête, elle n'a de cesse de me répéter que je ne suis qu'un idiot et que je dois tout faire pour le complaire. Cette même voix m'empêche de dormir. Le seul truc bien c'est que maintenant je pleure moins, dis le mec qui viens juste de s'arrêter de pleurer, mais bref maintenant en plus d'avoir mal au corps à cause de mes blessures venant de mon combat, j'ai mal au cul et aux poignets qui gardent la trace de sa ceinture. Je me promis de me faire pardonner complètement par Harry ce qui fait ENFIN taire la voix qui me laisse sombrer dans le sommeil qui pour moi est bien mérité !
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Je me réveilla de nouveau et toujours tout seul, je remarquai des habits sur mon lit plus un mot me disant que la salle de bain est devant, alors je me dirigeai en titubant vers la salle de bain et sortis une fois habillé d'un t-shirt noir avec un pantalon militaire et c'est avec le cœur serré que je me dirigeai en titubant toujours jusqu'à une cuisine mais celle-ci est vide
Alors je cherchai, en grimaçant parce que putain il m'a pas loupé ce con, on a pas idée d'en avoir une aussi grosse. En tournant à une intersection je tombai sur un salon richement décoré, enfin c'était richement décoré étant donné le piteux état des lieux, le lustre au lieu d'être accroché au plafond est par terre explosé et serre de maison aux araignées, les tapis que je suppose être rouges brodés de fils d'or sont cachés sous un épais manteau de poussière en plus d'être déchirés ici et là .
Le canapé en milieu de la pièce déchiré, éventré lui aussi recouvert de poussière.

La table en verre brisée ne reste plus que l'armature en fer de la table debout. Les tableaux seuls, sont en bon état. Les énormes fenêtres au style gothique laissent passer une lumière vive. M'aveuglant au passage quand je regarde par mégarde le soleil, mais bref alors que je fermais les yeux pour faire disparaître la tâche noir qui obscurcit mon champs de vision, on me sauta dessus et je tombai sur le carrelage brun du salon, je grimaçai parce que un carré de carrelage casser m'entaillai le bras j'étouffai un gémissement de douleur. Je tombai sur une chevelure blonde aux éclats bruns que je reconnue être celle de ma sœur
Lottie: ho louis, louis j'ai eu tellement peur pour toi ! Elle frotta sa joue contre la mienne, pleurant toutes les larmes de son corps, toujours au sol elle m'écrasait et m'étouffait avec son imposante poitrine quand elle me faisait un câlin, purée elle a bien grandi, je me souviens encore quand elle était petite je m'amusais à l'appeler planche à pain parce que après tout, à ses 14 ans elle bourrait son soutif de mouchoir, je dois avouer qu'elle en mettait trop c'était tellement voyant que c'était faux . Maintenant il est certain que ce surnom ne lui allait plus. Je levai la main la voix étouffée
Louis: ....
Niall : hein ?
OK ils ne comprennent pas ce que je raconte, je bouge la tête de l'opulente poitrine de ma sœur, mais c'est qu'elle ne me lâche pas
Louis : j'ai dit aidez moi à la décrocher !!
Je vois où du moins une partie des personnes présentes, je voyais Niall assis sur le canapé à côté de Zayn et de Liam bizarrement très proche.
Je ne vis même pas Harry soulever ma sœur par le col de son pull en cachemire rose pâle, qui pleurnicha, il la lâcha sans délicatesse et elle tomba sur le cul, elle maudissait toutes les générations futures d'Harry
Louis : merci Harry tu... avant d'avoir pu finir ma phrase Harry pris mon bras blessé assez violemment et me lécha la blessure au bras qui se guérissait dans la minute qui suivit, sous mes yeux ébahis.
Louis : eu-eum merci Harry
Harry ne me répondis rien, se releva, épousseta son jean noir et reparti s'asseoir sur le canapé d'en face celui Niall & CO.
Ok génial je vais devoir vraiment trimer pour qu'il me pardonne et arrête de faire sa tête de cochon, facile quoi, je soupirai mentalement (soupirer mentalement est-ce possible ? oui c'est possible je viens de le faire !)et alla m'asseoir sur l'accoudoir du canapé où se trouve Harry mais sur l'accoudoir de l'autre côté, je suis pas suicid....enfin si peut être un petit peu.
Niall fut le premier à parler après avoir perdu le combat d'œil auxquelles s'était adonner toutes les personnes présentes dans la pièce(le bras droit y'compris) c'est partis pour la remontrance de bretelle
Niall : on est tous d'accord pour dire que tu as été imprudent et idiot !
Louis : oui je sais mais pour ma défense je dirais que depuis mes 19 ans, de la mort de toute ma famille ,je regarde ma sœur qui renifle se retenant de pleurer ,toute sauf une, bref donc depuis mes 19 ans je combats les vampires. Aujourd'hui j'ai 23 ans, je suis toujours vivant ce qui prouve que je ne suis pas un faible qui a besoin qu'on le protège, oui j'ai été imprudent, idiot même complètement stupide ou même abrutie tout ce que vous voulez pour dire que je suis bête, mais retenez une chose, une chose ! Ça fait 4 putains d'années que je tue les vampires et il m'est souvent arrivé de voir la mort de près. Mais ça ne m'a jamais arrêté, au contraire j'adore ça. J'aime la peur qui court mes veines, l'excitation qui prends possession de mon corps et l'adrénaline qui me permet de me surpasser toujours plus , alors je veux bien qu'on est peur pour moi mais jamais, jamais vous ne me retirerez mon plaisir alors plus vous m'en empêchera plus je vous désobéissais. Je ferais de votre quotidien un véritable enfer jusqu'à ce que vous acceptiez est ce qu'on c'est compris ?!
Pas peu fière de mon discours je souris de façon hautain
Bras D : j'ai bien compris Louis, nous ne sommes pas contre, mais ce n'est pas à nous de le dire mais à Harry et j'aimerais que tu te mettes à sa place, parce qu'imaginons il dit oui, tu vas là-bas tu meurs, imagines le mal que tu lui feras, tu es son âme sœur, son autre moitié en plus il a besoin de toi pour vivre, besoin de ta présence. Si tu meurs, sais- tu ce qui se passera ?. Tout a été dit de façon froide presque avec indifférence
Je frissonnait et n'osa pas le regarder dans les yeux
Louis : non soufflais-je, le regard fixé sur mes doigts que je tripatouille
Bras droit : imagine qu'on t'arrache le cœur et qu'on le piétine, je fis une grimace ,et encore ça ne décris toujours pas assez la douleur qu'il ressentira
Louis : ma-mais il finira par s'habituer non ?
La pièce se refroidit
Bras D : non Louis il finira... Harry grogna interdisant clairement au
Bras droit de continuer, il se leva souplement et partit de la pièce, purement et simplement. Une fois la porte fermée tous les regards converger vers moi
Liam : mec, t'es franchement égoïste, je le regarde ébahi, moi ceux-ci, moi cela as tu penser à Harry ?
Alors là c'était trop pour moi je sortis à mon tour de la pièce et filai dans ma chambre que je trouvai au bout de 10 longues minutes. Je constatai qu'Harry n'était pas là, je ravalai mes larmes qui risquent d'arriver à tout moment, tombai lourdement sur le lit et me pressai contre l'oreiller qui portait l'odeur d'Harry Personne ne me comprend mais ce n'est pas comme s'ils essayaient non plus ! Moi égoïste n'importe quoi. Je m'endormis tout de suite après, rêvant ou plutôt cauchemardant.
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Je me levai en sursaut, les larmes coulant allègrement sur mes joues, je dois aller me promener oublié mon cauchemar, mon cœur battant à tout rompre, je me mis sur mes jambes qui tremblaient peinant à faire un pas après l'autre. Je sortis de ma chambre marchant dans ce couloir sinistre avec cette nuit sans étoiles pour seule lumière les rayons de la lune. Alors que mon cœur reprenait un rythme cardiaque normal, je repensais au cauchemar fais il n'y pas longtemps quand je fus interpellé par un bruit, le bruit d'une personne se faisant plaquer contre un mur, à pas de loup je m'approchai de la provenance et tombai sûr quelque chose de surprenant, deux personnes l'une contre le mur en sandwich contre l'autre personne plus grande de pas beaucoup
.... : att-attend on peut pas faire ça ici
... : shhht bébé il est tard personne n'est réveillé, la personne plus grande à la tête dans le coup de l'autre lui caressant les hanches
Je n'arrive pas à voir qui c'est, si au moins ils tournaient la tête par là
... : on ne devrait pas faire ça
... : pourquoi ? tout le monde est au courant et moi je t'aime
... : mais j-ai j'ai jamais fait balbutia le plus petit des deux
... : c'est pas grave je peux attendre en attendant allons dans notre chambre mera pyar (mon amour )
Merde ils arrivent vers moi, je me plaquai contre le mur espérant qu'ils fassent assez noir pour qu'on ne me voie pas. Le petit couple passe devant moi et je m'étouffe avec ma salive quand je découvre qui était le couple et eu peur qu'ils m'aient entendue mais tellement concentré l'un sur l'autre ils ne m'entendent pas et finissent par rentrer dans une pièce qui devait être leur chambre.
BAS MERDE ALORS !!! 
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Encore merciiiiiii pour la retranscription!!!!

Ce chapitre a été écrit par @fujoshiforever1, tout le mérite lui revient!!!

A bientot pour la suite!

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