Chapitre 1

Bonjour Minna, voici mon tous premier chapitre de ma toute première histoire ( j'en ai faits d'autres mais personne ne les lisait, je l'aie écrit dans des cahiers, je les gardais personnel mais cette aire est révolue), alors s'il vous plaît soyez gentil avec moi et alors plutôt que me critique veuillez m'encourager (même si j'accepte vos critique pour améliorer mes fics) . Merci mes otakus.

Après avoir fait ce choix, je pensais avoir fait le bon mais je me suis réjouis trop vite. Cela m'apprendra à me croire le centre de l'univers, croire que mes amis allaient survivre à l'attaque du titan féminin, je suis tellement naïf, il est beau l'espoir de l'humanité, moi je pense que je suis plutôt le désespoir de l'humanité. Je suis allongé dans cette charrette, à pleurer comme un gamin à qui on n'aurait pas succombé à son caprice. J'ai vu ces gamins qui me regarder avec des yeux remplis d'admiration, ça me rappelle moi et Mikasa quand on était petits et ces ceci qui me fit sauter dans ce gouffre qui était sans fin. Comment je le savais? facile, mon esprit marcher tranquillement, laissant mon humanité, mes amis, ma famille, tout ce qu'il trouvait gênant derrière lui puis il est tombée sur ce gouffre, il y resta longtemps à le contempler sans rien faire, le regardant tous simplement, puis une question se posa simple, claire, et nette. Ce trou est-il profond? il eut une idée, une pierre, plutôt grosse, traîner au bout de ces pieds, alors sans plus réfléchir, il la poussa, et depuis il se demande si cette pierre était tombée où elle est toujours en train de tombée. Depuis cet accident, son esprit, c'est jeté lui aussi sans l'avoir voulu, mon humanité, mes amis, ma famille et les autres, l'a poussée avec des visages remplies de haine, depuis son esprit lui rappela le bon vieux temps avant de mourir, c'est ça qu'on appelle voir sa vie défilée devant ses yeux ? Je me demande si se seraient pas mieux de ne pas avoir rejoint les brigades spéciales, je sais pas, je sais plus, je suis perdue, j'attends quelqu'un pour m'aider mais sa fait longtemps, que maintenant, je ne crois plus à l'espoir, à Dieu. Mais il y a un homme de petite taille qui restait figée dans mon esprit, il est mon supérieur, il a un visage d'ange, sans aucune cicatrice qui oserez le déformer malgré les batailles qu'il a faites, une peau lisse, aussi blanche que de la neige, il dégageait une douce odeur de fleur, laquelle? impossible de le savoir, je voulais tant le faire mien, ses idées n'étaient pas très catholiques mais je m'en fichais, je voudrais tant le voir gémir sous moi, le voir me supplier pour que je le pren... 

<<- Debout, tu crois pouvoir faire la grâce matinée, mon Caporal me dit-il sur un ton énervé.

 - AH! désolé Caporal, j'étais perdu dans mes réflexions. dis-je à moitié ensommeillé et réveillé.

- Ça m'étonne, moi qui pensée que tu n'avais pas de cerveau pour réfléchir, dit-il d'un ton moqueur>>.

Il est l'heure de se réveiller, un jour de dur labeur m'attend, gentiment. Je me levais péniblement sans vraiment le montrer, puis m'habillai lentement sous le regard intense de mon Caporal et qui devenait de plus en plus au pressant, l'air était tellement tendu qu'on aurait pu couper au couteau l'air.

<<- Dépêche toi on n'a pas toute la journée devant nous juste pour mettre un pantalon, cria-t-il sur un ton pressant.

-Hai, je me dépêche>>.

Je m'habillai rapidement, je me sentais trembler de peur et plaisir, j'aimais le faire crier pour entendre sa voix. Puis une fois terminez-nous,  montants dans le réfectoire pour déjeuner, à peine la porte poussée, moi qui pensais recevoir les bonjours des autres, et les voir attendre à cause de moi, tout ce que je vis ce n'étais rien, vide de sons, vide de personne à voir. Ah, c'est vrai, ils ne sont plus de ce monde, la journée commencé déjà très bien. Nous nous assîmes à la table et déjeunâmes, le caporal me donna le planning de la journée et devinez quoi? c'était que du ménage et je faisais équipe avec le Caporal en même temps, je n'avais plus trop le choix, pendant que je déjeunais, je levai les yeux pour voir mon Caporal boire sa tasse de café du matin, quand mon Caporal était là, je ne pensais à plus rien, à part celui qui était en ma présence, mais dès qu'il était plus à mes côtés, je me lamentais sur mon sort, sur mes camarades morts, même si mes autres amis étaient là pour me soutenir. Une fois le déjeuner terminé nous partîmes nous mettre au travail, sans plus tarder, avec un soupir que le Caporal remarqua sans peine tellement il était fort.

La matinée passa tranquillement surtout pour moi, j'étais heureux d'avoir reçu aucun coup venant du Caporal, il me complimenta même, j'étais aux anges, puis l'heure du repas arriva bientôt et surtout bien trop vite à mon goût, alors je profitai de ce moment de tranquillité, sans trop en abuser.
Le repas était là devant moi en plus des regards de certains haineux, certains pensez que c'était de MA faute si l'escouade de Rivaille est morte au complet. Levi m'a dit de ne pas faire attention à ceux qui m'insultaient ou qui me regardaient de travers,mais quand il a appris d'Armin que je me faisaient intimider par les autres, il a pris ma défense, ce qui me choqua. J'appris de Hanji un jour où j'essayais de contrôler mes transformations et que le Caporal Rivaille n'était pas là, en fait le Caporal Rivaille avait convoqué tous ceux qui m'intimidaient pour " parler ". Depuis ce jour tout ce que je reçus sont des regards haineux, rien d'autre, je ne sais pas ce qu'il sait passait dans ce bureau mais à mon avis ça devait pas être beau à voir.

Je sentis un regard intense sur moi, je levai les yeux pour voir Rivaille me dévisageaient puis il fit un geste pour me montrer mon assiette intacte, je déglutis difficilement, pris mes couverts, puis commença à manger, je relevai mon regard vers mon Caporal pour voir s'il était satisfait de ce que je faisais, je me figeai en rougissant, le Caporal était en train de sourire, ce n'était pas un sourire sadique ou autre comme il en faisait tout le temps, mais c'était un sourire aimable et doux, je rabaissai mes yeux même si cette vision, je voulais qu'elle reste plus longtemps. Je terminai mon assiette, le feu aux joues et le cœur battant la chamade.

Le travail reprit mais cette fois avec des sentiments en plus, j'avais toujours les joues en feu et le cœur battant la chamade. Ce n'était pas désagréable au contraire c'étais doux et apaisant mais une envie des plus intimes et des plus érotiques me prenait au dépourvu quand je demandais quelque chose à mon Caporal, puis l'après-midi passa dans le plus grand calme, à part le bruit de brosse qui raclait le sol et du plumeau qui enlève la poussière.

Le repas du soir se passa de la même manière que celui du midi, sauf qu'il n'y avait pas le sourire du Caporal parce que là, si le Caporal lui faisait un autre de ces sourires, je pensais que j'allais non seulement mourir de chaud mais en plus faire une crise cardiaque, alors je termina vite mon repas puis me leva de ma chaise pour partir mais je fut vite arrêté par le Caporal.

<<- Où contes-tu aller comme ça? dit-il en se retournant vers moi et me fixais pour me dire que j'échapperais pas à sa question.

- Je voulais aller me coucher, Caporal, dis-je sur un ton pressant.

- D'accord, je viendrais plus tard fermer la porte de ton cachot, il reprit une gorgée de son café tout en le regardant, bonne nuit, gamin.

-D'accord, bonne nuit, Caporal>>.

Je courrai jusqu'à ma chambre puis passant le seuil de la porte du cachot, je ressentis la fatigue m'arrivait en pleine face comme un coup de vent au qu'elles ont s'attendait pas si fort, je crus même que je n'aurais pas la force nécessaire pour aller jusqu'à mon lit, alors avec peine, je traînai mon corps épuisé jusqu'à mon lit, dès que mon corps toucha le matelas, je m'endormis aussi vite que la lumière.

Mais ce qu'il remarqua pas, c'est que quelqu'un l'avait suivi, celui-ci rentra dans la chambre sans faire aucun bruit, s'approche du corps endormi d'Eren qui était dans un rêve très profond, il se pencha lentement et l'embrassa doucement du bout des lèvres comme s'il embrassait quelque chose de fragile, il se releva de la même lenteur que quand il s'est baissé et sorti de la chambre en souriant pour venir fermer la porte du cachot, il se retourna une dernière fois pour dire:


<<Bonne nuit, mon Eren>>  

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