Mamì, perdoname.
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Omar - Ah ça mon gars. A toi de t'en occupé.

Je souffle et vais vers les vestiaires déposé mon sac.

Je sais même pas pourquoi ça me trouble putain.

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Omar - Gros y'a baston.

- Quoi ?

Je me lève et sort pour allé voilà qui sont ces fils de pute qui se battent dans ma salle de sport.

- EH EH EH !

J'ai pris d'un bras un gars et Omar prend l'autre.

- ET VOUS COMME DES CONS VOUS SNAPEZ AU LIEU DE SÉPARÉ VOS MÈRES LES PUTES LA ?

Le petit qui se battais, je le connais, c'est un petit du quartier, un nerveux pire que Malik.

- TU VEUT QUE JE TE METTE DEHORS DE MA SALLE HAMZA ? C'EST ÇA QUE TU VEUT ?

Hamza - MAIS C'EST LUI QU-

- EH HAUSSE PAS LE TON AVEC MOI, JE SUIS TON POTE MOI ?

Il a rien dis et a préféré râlé.

- MAINTENANT SI VOUS DEUX VOUS CONTINUEZ A FAIRE VOS CONNERIES A A PEINE 17 ANS, VOUS LE FAITES PAS DANS MA SALLE, COMPRIS ?

Hamza - Mais c'est l-

- COMPRIS ?

Hamza - Ouais c'est bon putain.

Je le lâche et lâche un putain de regard aux gens autour, qui se dispersent.

- ON M'ENVOIE UN SNAP AVEC MA GUEULE DESSUS, LA PERSONNE ELLE VA VOIR FLOU.

Omar - *fou rire*

- Putain, ils ont le don de m'énerver.

... - Bonjour boss..

Je me retourne et l'a regarde de haut en bas.

- Qu'est-ce que tu fais là toi ?

Emilia - Mon sport habituel.

- Ouais bah bon sport.

Omar - Tfou kehba.

Et il s'en va.

Moi de même d'ailleurs.

Je rentre dans mon bureau et souffle un bon coup.

La porte s'ouvre et Emilia rentre en fermant la porte a clé, après l'avoir pris sur ma table.

- Tu veut quoi ?

Emilia - Toi

Elle me pousse sur la chaise et monte sur moi a califourchon, tout en ouvrant sa fermeture éclair me dévoilant ses seins.

J'avais la bouche bée.

- Tu viens nue dans une salle de sport toi ?

Emilia - C'est toi mon sport.

__

- T'a donc changé d'avis ?

Emilia - Oui, je m'en fou que t'ai une copine moi, c'est moi que tu préfère non ?

- Normal.

Pas du tout.

Je me pose sur la table et l'a regarde ferme son pull.

Elle s'approche de moi et m'embrasse.

- J'arrive pas à me lasser de toi putain.

Emilia - Personne n'y arrive.

Elle mord ma lèvre et sort en ouvrant la porte a clé.

Emilia - Passe une bonne journée mon amour.

Et elle sort, je souris avec moi-même et retourne a ma place en souriant.

- Petasse.

__

Je rentre a la maison exténué de fou.

J'entendais Alayna parlé au téléphone a la cuisine tout en cuisinant.

N'ayant pas de possibilité pour tenir son téléphone, elle l'a mis en haut-parleur.

Alayna - *rire* N'y pense pas.

... - Tu veut pas venir au restaurant avec moi ?

Alayna - On doit déjà y allé samedi non ?

... - Je veut constamment être avec toi.

Alayna - Qu'il est mignon le petit Yacob.

Ah ouais c'est son putain de copain le médecin.

Yacob - *rire* C'est quand qu'on se vois ?

Alayna - Je sais pas papì, une seule chose a la fois non ?

Yacob - Et pour ton anniversaire, ru compte faire quoi ?

Alayna - Je sais pas encore.. mais je veut être avec mes amis avant tout.

Yacob - Je suis pas ton ami ?

- *raclement de gorge*

Elle se retourne et me regarde.

Alayna - Yacob je t'appelle après, j'ai beaucoup de chose a faire ce soir.

Yacob - Comme tu veut princesse, passe une bonne soirée.

bip, bip.

- Bonsoir Alayna.

Comme d'hab, depuis se matin, elle ne m'a pas répondu.

- Alayna parle moi s'il te plaît.

Alayna - Les putes ça parlent pas, ça suce non ?

Je soupir.

- Je ne voulais pas dire ça hier soir.

Elle ne répond pas et je vois qu'elle éteint le feu.

Je souffle et monte a l'étage.

C'est chiant de pas lui parler quand même.

__

Elle ouvre la porte de la chambre et me regarde.

Alayna - Viens manger et prendre ton médicament.

Et elle sort ensuite.

Rah ouais, je l'ai vexé a ce point.

Je descend donc avec mon téléphone et mes écouteurs aux oreilles.

La table était prête pour une personne.

- Tu mange pas ?

Alayna - J'ai pas faim aujourd'hui.

- Bon pourquoi tu veut plus me parler.

Alayna - ...

- Mamì ?

Alayna - Laisse moi en paix Aron, je veut parler a personne aujourd'hui.

- T'a bien parlé a love'boy pourquoi moi tu veut pas me parler ?

Alayna - Mais toi et lui c'est pas la même chose, compare pas.

- *rire* Qu'est-ce qui t'arrive ?

Alayna -...

- Je ne voulais pas t'insulté hier soir, c'est sorti tout seul Alayna, je ne pense pas ça de toi, je te le jure.

Alayna - C'est ce que tu dit sans t'en rendre compte qui est vrai !

- Mais je ne voulais pas te le dire !

Elle se retourne avec une assiette en main.

Alayna - De toute façon ça change quoi ? On éprouve aucune affinité, rien du tout pourtant on a couché ensemble, t'a tous les droits de m'insulter, mais s'il te plaît, ne le fais pas devant moi.

Et elle se retourne pour mettre l'assiette dans le lave-vaisselle.

J'ai pas répondu, je me suis assis et j'ai graille en activant ma musique dans mes écouteurs.

Je la vois fermer le lave-vaisselle et le mettre en marche.

Elle souffle, exténuée par la journée j'imagine.

Elle se retourne et s'en va en prenant son téléphone et son chargeur sans même me calculer.

Bah putain.

__

J'ai débarrasser et lavé mon assiette.

Putain je suis gentil.

Je vois Alayna rentré avec le téléphone fixe.

Alayna - C'est pour toi.

- Allô ?

Maman - Y'en a un qui a oublié sa maman non ?

Je souris a l'entente de sa voix, c'est apaisant.

- Je comptais passé chez toi demain.

Maman - J'ai appris des choses hier soir, waouuuw.

-*rire* Par Tiana ?

Maman - Ah je sais pas hein.

- Je vais t'expliquer en détail demain.

Maman - T'a plutôt intérêt.. et toi mon amour, tu va comment ?

- Bien et toi ?

Maman - Ca va, tu raconte quoi depuis ?

- Je suis fatigué de ouf.

Maman - C'est l'effet secondaire des médicaments, t'inquiète pas, tu t'y habituera, tu les prends bien tes médicaments ?

- Ouais.. elle s'en occupe bien.

Maman - C'est elle qui se charge de ça ?

- Ouais, elle s'occupe bien de moi.

Maman - Une perle cette nana.

- Ouais.. une perle.

__

Passons quelques temps.

Je lui fais un bisou sur le front en caressant son front mouillé et essuyant ses larmes.

- Hé bébé, tout va bien se passer t'inquiète pas.

Sa main serre ma main et l'autre serrait le drap du lit.

Tiana - J'ai maaaaaaal Aron, je te jure que j'en peut plus !

- Je sais bébé mais s'il te plaît, résiste encore un peu, bientôt tu pourra accouché t'inquiète.

William était en chemin et seul moi était avec elle pour l'amener a l'hôpital.

- Lève toi, on va un peu marché en attendant William.

Tiana - J'ai envie d'une pastèque Aron.

Je rigole et l'aide a l'a relevé en soutenant son dos.

Elle descend du lit et met ses claquettes.

La porte s'ouvre enfin sur William.

William - Oh mama.

Putain je suis fier de moi aujourd'hui, j'ai donné la main de ma sœur a un bon gars.

William me tchek.

William - Pourquoi ils l'a font pas accouché ?

- Le col est même pas ouvert, elle a pas perdu les eaux.

William - Mama t'a pas pris la péridurale ou je ne sais quoi ?

Tiana - Je veut pas. Je veut accouché normalement.

- Ton batard de fils va accouché la veille de Noël putain, un batard comme son daron.

William - *rire* Je t'emmerde.

Tiana - J'en peut pluuuus.

Putain l'accouchement c'est quelque chose.

William - Pleure pas putain, j'ai envie de tapé Aron maintenant.

- J'ai fait quoi moi ?

Tiana rigole en pleurant.

J'essuie sesbelles larmes et elle baisse la tête en essayant de souffler correctement.

Tiana - J'ai besoin de soutien féminin. Vous servez a rien vous.

William - Bah putain.

- *rire* Y'a Alayna deh-

William - Tu parle trop, appelle la et ta gueule.

- Bah non, on se parle plus donc je l'a calcule pas.

William me regarde mal et sort pour appelé Alayna.

Tiana - T'es un gamin ou un homme Aron ?

- Je me pose la question.

Tiana - J'ai connu un homme moi.

Je réponds pas et lui fait un bisou sur le front.

Tiana - *pleur* Pourquoi se bébé ne veut pas sortir ?

- Chuuut bébé, ne pleure pas s'il te plaît.

La porte s'ouvre sur Alayna suivi de William.

Alayna - Coucou la plus belle futur-maman.

Elle caresse les cheveux de Tiana et prend ses mains dans les siennes.

Alayna - Non non, n'essaie pas de parler, toi concentre toi sur ta respiration et mes mains.

Tiana ferme les yeux et respire de mieux en mieux.

William - On est nul en vérité Aron.

- Sans blague.

__

Daniel Mpena.

Je ne sais plus combien de kilo.

56 centimètres.

Une perche se gars.

Mais putain comment c'est un beau gosse.

Tiana c'est une putain de femme quand même, elle a décidé d'accoucher sans péridurale pour ressentir la douleur de l'accouchement, bah putain.

- Regarde ton tonton un peu.

Je souris et lui fais un bisou sur le front, signe de protection.

Tiana s'est endormi depuis bien longtemps.

Daniela - *rire* Regarde sa belle bouche..

Omar - William t'es sûr c'est toi le père ? Gros il te ressemble pas.

William - Va te faire baisé

Salif - *rire* T'es fatigué toi hein.

William - Gros, plus jamais j'assiste a un accouchement. Waaaah ça fait mal de voir ta femme pleuré.

Zouher - Fallait y réfléchir avant de faire rentrer ton zeub.

Je rigole et le tchek.

Maritza - La pauvre.. elle est exténuée..

William regarde Tiana et caresse sa joue.

J'abaisse la tête et regarde le bébé.

Putain il l'a regarde avec tout l'amour qu'elle mérite.

C'est en ce moment que je me dis que dans ma vie j'ai perdu trop de temps.

J'ai passé tout mon temps a baisé, briser des cœurs, faire le con mais j'ai jamais pensé à donné tout l'amour que j'ai.

Quel gâchis.

__

Maman - Vous m'avez fait le plus beau des cadeaux, mon tout premier petit-fils.

Papa - Il est très beau..

Pour une fois il me calcule pas et c'est mieux comme ça.

Les gars étaient partis, même Alayna qui avait un mariage aujourd'hui.

Bref il n'y avait que ma famille.

Malik - Putain, il a pris ma beauté.

William - Mais non arrête, il est pas moche.

Amyn - *rire* Enfoiré.

Naya - Il va choquer des mam's lui.

William - T'a vue ça hein.

Je ne parlais pas, je me contentais de sourire tout simplement.

Tiana - Aron.

Je l'a regarde et me lève pour aller près d'elle.

Elle pose sa main sur ma nuque et l'a tire vers sa bouche pour déposé un bisou sur mon front.

Tiana - Merci.

- C'est toi qui a fait le boulot.

Tiana - Merci d'être là.

- C'est le rôle de grand-frère non ?

Elle sourit et je lui fais un bisou sur le front.

Tiana - Tu fera un magnifique père.

- *rire* Il faut d'abord que je trouve cette femme.

Tiana - Elle n'est pas trop loin, crois-moi.

Elle me fait un clin d'œil et je souris.

__

Il est 2 heures du matin et Alayna viens de rentrer de son mariage la.

J'éteins la télévision et me lève.

Elle tenait ses talons en mains ainsi que son téléphone et se dirigeait vers les escaliers.

- Alayna.

Elle se retourne.

Alayna - Je ne veut plus me disputer avec toi Aron.. je te jure que j'en peut plus. 4 mois qu'on ne fait que s'acharner sur l'autre, là j'en peut plus..

- Je ne veut pas me disputé cette fois-ci, je veut parler.

Elle dépose ses talons a terre et me regarde. Je m'approchais tout doucement d'elle.

Alayna - Je ne veut aussi pas parlé de la relation que tu a avec Emilia, parle moi d'autre chose.

- Je ne veut pas parler d'Emilia aussi.

Arrivé devant elle, je l'a regarde, ne sachant rien dire, j'avais juste besoin d'entendre sa voix.

Alayna - Bon bonne n-

J'étais obligé de l'embrasser cette fois-ci.  Ça fais 4 putain de mois que j'avais oublié la sensation.

Au début elle n'a pas répondu a mon baiser mais après elle a cédé en soupirant de soulagement.

Elle passe ses bras autour de mon cou et je l'a soulève en prenant ses cuisses pour que ses jambes se scellent autour de taille.

On s'est très vite retrouvez a l'étage supérieur et sur notre lit.

Elle a déposé son téléphone sur la table de nuit et a enlevé sa chemise, la lumière de la chambre était éteinte mais j'ai quand même pu voir son soutien sexy grace au reflet de la lune.

Son pantalon à cédé et la claque sur sa fesse lui a fait lâché un putain de gémissement.

Ses sous-vêtements ont aussi pu touché le sol et la couverture a couvert nos tailles.

Au moment de l'a pénétré, son téléphone a sonné.

Je râle et ma main se dirige vers la table après avoir vu le nom de "Yacob❤️" s'afficher.

Alayna -  *chuchote* Répond pas..

Je ne l'écoute pas et prend le téléphone.

- Tu perd un temps précieux a l'appeler mon gars.

Yacob - Quoi ? T'es qui toi ?

Sans raccroché, je dépose le téléphone sur le lit et fais un bisou sur le cou d'Alayna avant de faire ce que j'avais faire.

Je souris après son fort gémissement.

Je veut qu'il entende le plaisir que je donne a sa femme.

Et il l'a bien entendu.

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Aron