Kosen Meiji
La journée est passée bien trop vite.
Après avoir déposé Tsuyu a son entretien j'ai fais des courses, j'ai ranger mon appart, manger un bout et maintenant...
Je suis de nouveau au travail.
Enfin techniquement, quand je quitte le club pour me rendre au love hôtel juste en face, ça devient privé... C'est ça sur les papiers.
~ aaaaah, monsieur Meiji...AaaAh !!
Ma cliente de ce soir est blindée de frics, donc mon père m'a personnellement mis sur le coup.
Je suis..."Son meilleur poulain" d'après ses dires.
En arrivant plus tôt, j'ai eu un message de sa part, et il m'a fait un bref résumé du personnage qui est actuellement en train de geindre mon nom depuis 20 minutes.
C'est la fille d'un riche hériter commercial, et elle ne demande qu'à être comblée le temps d'une soirée, contre l'équivalent d'un salaire pour la classe moyenne japonnaise.
Et je suis celui qui s'y colle, encore.
- Mademoiselle, vous êtes merveilleuse... Je murmure en l'attrappant plus fermement par les hanches.
Je n'en pense pas un mot, même si elle reste agréable à toucher.
Mon but est seulement de lui dire qu'elle est la meilleure, qu'elle est belle et douce...
Pour titiller son égo, et donc son portefeuille.
- Oooh. Monsieur Meiji...aaaAah !!
- Ralentissez... Je grogne en sentant que son petit jeu commence à me faire frémir.
Je ne suis pas totalement indifférent dans ces moments-là.
Sentir le corps de quelqu'un en ébullition, l'entendre gémir, c'est ça qui m'excite.
J'étais apparemment fait pour ce job interdit.
Donner du plaisir, être un sextoy vivant... C'était étrange au départ, mais c'est finalement devenu normal pour moi.
Quand elle se tortille sous mes derniers coups de reins, je me libère silencieusement et me décolle de son anatomie brûlante.
J'enlève le morceau de plastique qui prouve notre échange défendu et soupire.
- Je vous dois combien ? Elle chuchote en se rhabillant.
- 120 000 pour cette soirée mémorable me semble correct. Je lance en souriant.
- J'arrondis à 200 000*... C'était plus que mémorable. Elle répond à mon sourire et me tend la liasse de billets.
- Je vous remercie mademoiselle. J'accepte l'argent et attrape ma veste et mon paquet de cigarettes.
Et voilà, mon père sera fier de son fiston ce soir...
Et ça sera bien le seul.
×××
200 000 ¥ = 1 500 € ~
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