Sur le haut d'une colline, une divinité regardait le bas avant de fermer les yeux. Elle avait été blessée lorsque le seul dieu qu'elle aimait trouva la mort dans son propre fleuve de la mort, ce fleuve qui accueillait toutes les âmes mortes.

Son seul rêve était qu'il revienne à la vie, qu'il ne meurt point que tout aille mieux. Elle voulait le voir, le retrouver.

La divinité s'agenouille devant une petite statue d'une femme à l'air humaine.

- μητέρα των θεών... Αν με ακούσεις να εκπληρώσω την ευχή μου. Στείλτε ανθρώπους να αναβιώσουν τον Άδη. Ζωντανέψτε αυτόν τον θεό που έχει τόση σημασία. pria la déesse avant de se relever, souhaitant que sa prière soit exaucé.

Elle avait souhaité le retour du dieu. Par tout les moyens possibles et imaginables. Elle voulait le revoir.

Et elle le reverrais par tous les moyens. Tous. Elle ferait tout pour le revoir. Pour revoir le dieu de la mort.

Après s'être recueillie, la jeune divinité se retourne et commence à descendre de cette colline, se rendant bien autre part. Se rendant chez elle, dans le temple des rêves.

Spectra, cette jeune divinité, pourra-t-elle revoir le dieu qu'elle aimait plus que tous les autres ? Son vœux sera-t-il exaucé ?

Clic.

Pouf.

Baboom.

Trois mois après cela, Gothel et Maud se réveillèrent dans dans un sombre château dont elles ne savaient rien.

Elles n'étaient cependant pas seules, tout un tas d'autres personnes étaient dans cette pièce.

Une femme portant un manteau de fourrure, une deuxième accompagnée de ses deux filles, les regardant essayer de chanter, une autre avec des cornes et la peau verte, encore une autre portant une coiffe noire étonnante sur sa tête à la place de cheveux et se fixant dans un miroir, une autre encore, celle-ci était habillée d'une robe rouge et noire.

Il n'y avait pas que des filles ici, il y avait aussi des hommes, un homme musclé portant une tunique rouge lui moulant le torse, un autre avec une sorte de turban sur la tête, un autre encore portant une longue toge d'homme d'église, un dernier portant un manteau rouge, ayant une moustache et ayant à la place d'une main un crochet.

- Qui ose pénétrer mon antre. fit celle qui portait une coiffe noire sur la tête et se regardait dans un miroir.

Alors ce manoir lugubre était celui de cette femme ? Son miroir avait un visage et sa bouche s'étirait, cela signifiait peut-être qu'il voulait parler ?

- Ma reine, ces gens ne sont pas n'importe qui. Ce sont tous d'autres personnes ayant échoués à leur rêve de gloire, de beauté...de tout. Ce sont des villains comme vous, majesté. Cette réunion a été organisée par la mère des déesses, la déesse mère. Il vous faudra coopérer et apprendre à vous entraider pour vous venger. Désormais, faites connaissance. fit le miroir en montrant rapidement la déesse mère.

Cette déesse était la plus vieille des déesse et qu'elle réunisse une équipe de méchant pour qu'ils se vengent n'était pas commun, il devait y avoir plus que cela. Quelque chose que le miroir ne pouvait dire ou ne voulait dire.

Tous se relevèrent, en même temps. Ils échangèrent des regards de droites à gauche.

- Des présentations s'imposent, il me semble, commença un homme, celui qui était habillé en religieux, ayant des rides lui plissant le visage, je me nomme Frollo. Claude Frollo.

Ils se présentèrent tous à leur tour. La femme aux cornes se nommait Maléfique, celle qui possédait le manoir se faisait nommer la méchante reine, la Lady qui écoutait ses deux filles chanter d'une façon si désagréable se nommait Lady Tremaine, tandis que ses deux filles se nommaient Anastasia et Javotte, la femme habillée de rouge et de noire se faisait appeler La reine de cœur et celle portant un manteau de fourrure se nommait Cruella.

Parmis les hommes, il y avait Jafar, l'homme portant un turban, Capitaine Crochet, celui qui avait un crochet à la place de sa main, une autre homme que Maud et Gothel n'avaient pu voir se nommant Facilier et enfin il y avait Gaston.

Gaston était celui qui avait des muscles, celui qui portait une tunique rouge faisant ressortir son torse.

Gaston ? Ce prénom disait quelque chose à Maud. C'était le prénom du cousin d'Arold. Le prénom de ce monstre. Et Maud n'était pas très heureuse de le voir. Si Arold était aussi monstrueux lorsque Maud l'avait vu, Gaston devait aussi l'être.

- Attends ? Tu t'appelle vraiment Gaston ? demanda alors Gothel, parlant alors aux noms de Maud, voulant savoir si c'était le même Gaston dont Arold avait parlé.

Il hocha la tête avant de dire :

《Pourquoi ? T'en connais un ? Il est aussi beau que moi ? 》

Lorsqu'il avait dit cela, il avait dorloter ses pectoraux tandis que les deux filles de Lady Tremaine poussaient désormais des soupires, des soupires d'amour, elles étaient tombée amoureuses de ce Gaston, et se disputeraient bientôt pour savoir qui pourra l'avoir.

- Oh pour rien. Je trouve simplement que c'est un très beaux prénom pour un aussi beau jeune homme. fit Gothel, une expression qui semblait enjoleuse aux visages, alors que Maud lui lançait un regard noir.

Maud ne voyait donc pas ce que Gothel était entrain de faire ? Elle ne comprenait donc pas ? Peut-être que Gothel n'aurait pas dû demander s'il s'appelait vraiment Gaston, celui-ci semblait suspicieu.

Et elle se rattrapait simplement en offrant une remarque alléchante à un homme musclé qui aurait certainement pu lui faire du mal si il savait toute la vérité.

Gaston ricana en bombant son torse, en montrant ses muscles. Il était heureux qu'une autre gonzesse le trouve attirant, qu'une gonzesse de plus sachant qu'il trouvait Gothel ravissante.

- Je te retourne le compliments, Gothel. fit-il au bout d'un moment.

C'est à ce moment là que Maud voulu péter une crise et même devant tous le monde, personne n'avait le droit de draguer Gothel.

Personne à part elle bien sûr, elles étaient ensembles depuis des millénaires et cela n'allait pas changer. Elle fit un regard noire à Gaston puis à Gothel. Gothel avait peut-être une raison de faire cela mais à l'heure qu'il était, Maud n'en voyait pas.

- Eh, la rouquine ? Pourquoi tu m'fixe comme cela ? T'es jalouse ? Bah je vais te dire...Toi aussi, tu es belle, magnifique même. fit Gaston en voyant que Maud l'avait mal regardé, pensant que c'était parce que Maud était jalouse du compliments qu'il venait de faire.

La rouquine mit sa main sur sa tête d'une façon désespérée. Quel idiots ! Ce sort qui réunissait tout les méchants était pour elle un méchant sort, un mauvais sort. Elle ne comprenait même pas ce qu'ils allaient faire exactement, oui, se venger de personne, des héros de leurs histoires respectives ensembles, mais c'était bien flou pour Maud, qui elle, ne voyait pas ce qu'elle faisait ici, à part tenir compagnie à la femme avec qui elle était toujours resté

- C'est pas pour ça, triple buse. siffle-t-elle alors en prenant Gothel par le bras et en l'emmenant aux loin pour avoir une discussion en privé.

Ça allait barder pour Gothel si elle n'avait pas une explication que Maud trouverais bonne, ça, c'était sûr.