chapitre xv. it's the end

Un bébé naquit dans un petit village nommé Corona, elle se nommait Agnès et était la fille de Gothel et de Maud, deux femmes.

Ses deux femmes étaient tenues par un horrible remords. L'une avait envie de garder l'enfant l'autre avait secrètement le besoin que cet enfant parte loin. Loin jusqu'en Écosse là où Agnès pourra connaître sa grand-mère.

Seulement Gothel aimait l'enfant, c'était une toute petite chose aux cheveux châtains qui souriait d'un sourire si merveilleux.

Malheureusement Gothel n'avait pas le choix : il fallait qu'elle le fasse, il fallait qu'elle sauve sa femme au lieu de garder le bébé.

- bébé, viens avec moi...On va se promener. déclara Gothel en souriant tranquillement à sa petite et en la prenant dans ses bras.

Le cœur aux anges, elle prévenus Maud qu'Agnès et elle allaient se promener, Maud n'y avait vu aucun inconvénients, s'apprêtant même à venir avec sa femme et sa seconde fille tandis que Viola apprenait à écrire en ville, dans une classe, avec d'autres élèves du même âge qu'elle.

D'ailleurs dans la classe de Viola, il y avait une jeune fille se nommant Marilyn, c'était la fille de la reine.

Elle maîtrisait gentillesse et humour dans le plus grand des bonheur, se faisant beaucoup apprécié par ses camarades.

- Amour, je préfère que tu reste à la maison pour cette fois, je vais me promener avec notre fille, si ça te dérange pas. dit Gothel alors que soudainement, quelque chose parut horrible, Maud fit une crise.

Gothel, sous le coup de la pression, emmena Maud et seulement Maud, dans la forêt où il y avait les Raiponces.

Première Raiponce ?

Disparue.

Seconde Raiponce ?

Disparue.

Troisième Raiponce ?

Disparue.

Quatrième Raiponce ?

Disparue.

Cinquième Raiponce ?

Disparue.

C'était cela jusqu'à au moins dix, voir bien plus. Gothel était totalement effrayée. Que pouvait-elle faire pour sauver Maud si les Raiponces venaient à disparaître ?

Gothel, toujours Maud en mains, sauta de plate-forme en plate-forme jusqu'à trouver une dernière Raiponce, elle était en hauteur et semblait là juste pour être utilisée.

- Maud...Maud...Chante s'il te plaît, chante. demanda Gothel.

Ordonna Gothel serait plus approprié mais rien n'y faisait. Rien ne sortait de la bouche de Maud.

- Mère si tu m'entends : j'avais l'intention de te donner l'enfant, tu peux le prendre. Fais le. Prends Agnès et redonne la vie à Maud. dit Gothel.

Un éclair blanc fit surface, fit place et puis plus rien. Gothel regarda Maud dans les yeux avant d'essayer d'entendre le souffle de Maud pour voir si elle allait bien, si sa mère avait tenue sa parole.

Soudainement les yeux de Maud s'ouvrit, ils étaient beaux, qu'ils étaient magnifiques ces beaux yeux. Les yeux de la personne dont Gothel était tombée amoureuse.

- Fleur aux pétales d'or, répands ta magie. Inverse le temps, rend moi ce qu'il m'a pris.
Guéris les blessures, éloigne la pluie.
Ce destin impur. Rend moi ce qu'il m'a pris.
Ce qu'il m'a pris...fit Maud en souriant à Gothel.

Les deux femmes paraissaient heureuses de se revoir.

- Tu as failli mourir, Maud. Maud...Je t'aime tellement. dit Gothel.

Les deux femmes se prirent dans les bras avant de partir vers la maison perdue dans le bois, enfin cette maison abandonnée qu'elles avaient trouvées au début de Corona.

Maud courut pour aller voir leurs enfants. Viola était indemne, là, rentrée de l'école tandis qu'Agnès avait disparue. La maison était désormais sans dessus dessous.

- Agnès ? Que...C'est toi ? C'est ta faute ? Qu'est-ce que tu as fait ? Gothel, c'est toi qui a fait ça ? Gothel ? Tu as vendue l'âme d'Agnès contre la mienne ? demanda Maud d'un regard sévère.

Gothel paraissait extrêmement triste, la disparition de sa deuxième fille lui faisait beaucoup de mal mais elle ne pouvait s'empêcher d'être heureuse que la malédiction de Maud soit terminée.

- Je n'ai rien fait. Ce n'est pas moi. Quelqu'un a du la kidnapper...J'aurais pas du vouloir l'emmener faire un tour dehors. dit Gothel en courant se réfugier dans les bras de sa Maud.

Maud accepta le câlin et les deux femmes s'embrassèrent, larmes aux yeux...

Elles étaient bouleversées, les deux l'étaient et le seraient toujours certainement. Enfin peut-être moins au fil des années.

- Je t'aime. Je t'aime tellement. dit Maud en embrassant une seconde fois.

Gothel plaça ses mains sur la taille de Maud, l'enlaçant tendrement. Ensuite, ses mains se placèrent alors sur les fesses de la rousse, sur les fesses de sa rousse.

- Moi aussi. fit Gothel, malaxant le corps de Maud avec sensualité et amour.

Maud gémit légèrement, cela était si agréable, si bon. Gothel fit s'allonger Maud par terre. Maud commença alors elle aussi à faire des caresses à sa femme, à cette merveille qu'elle aimerait toujours, à cette femme qui avait un corps magnifique et un caractère des plus agréables pour Maud.

- J'aurais juste beaucoup aimé que...Qu'Agnès reste. Que personne ne nous l'a vole. fit Maud, des larmes qu'elle ne pouvait contenir dans ses yeux.

Gothel hocha la tête d'un sourire triste. Viola arriva et fit un énorme câlin à ses deux mères, un câlin qui était censé leur faire du bien.

Deux heures après, elles étaient allées sur le lit, avaient bordé celui de Viola avant d'aller dormir, elles aussi.

- Bonne nuit, ma fleur. fit Gothel en posant délicatement ses lèvres sur celles de Maud.

Maud lui souria en retour avant de répondre au baiser passionné partagé entre passion et fougue qu'avait commencé Gothel.

La rousse espérait simplement que sa nuit n'allait pas être longue. Qu'elle ne referait pas de cauchemar et que tout irait bien, pour le meilleur du monde.

Pour le meilleur qu'on puisse faire lorsqu'on avait perdue un être chère. Un être qui avait vu la vie dans la propre chaire de Maud.

- Bonne nuit, chérie. fit alors Maud au bout d'un moment alors que Gothel était déjà entrain de dormir.

Maud n'arrivais pas à trouver le sommeil, ses yeux ne voulait pas se fermer. Elle avait tout essayé, les moutons, les techniques de grands-mères, ect...

Elle partie alors dans le salon et alluma les lumières, cherchant quelque chose à faire ou à dire. Elle éteint la lumière, faites à bases de lampes que Gothel avait vu pour le théâtre en intract ou même en scène.

Elle décida ensuite d'aller voir dans la chambre de sa jeune fille Viola et découvrit la petite Viola toute endormie, sourire aux lèvres, visage rayonnant.

Maud se rendit ensuite dans sa chambre où elle trouva enfin le sommeil, soulagée que tous le monde allait bien.

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