chapitre viii. i'm com back
S'échappant de sa ville natale où les habitants venaient de se réveiller alarmé par le silence qui n'était pas habituel aux châteaux.
Maud ne voulait pas qu'ils la remarquent, c'était mieux comme cela, elle serait de nouveau la princesse disparu. La princesse que tous aimaient.
Sans y penser elle courait vers la tour où vivait Gothel. Sans même réfléchir elle y étais allée.
Peut être que Maena n'avait pas tort lorsqu'elle disait que Maud et Gothel étaient bien plus que de simples amies.
Maena...Cette peste de sœur ne pouvait avoir raison. En attendant, Maud avait quand même tuer toutes les personnes vivant dans le château, elle était alors une meurtrières...
Oui mais une gentille femme, elle n'avait pas fait cela par plaisir puis de quoi devrait-on se mêler, d'elle ou bien du château ?
Bref, c'était n'importe quoi dans la tête de Maud, elle s'en voulait, elle ne s'en voulait plus, elle voulait faire pire, elle voulait faire mieux, elle voulait fuir, elle voulait revenir. C'était impossible.
Au final elle décida de partir, d'aller dans la tour de Gothel et d'y rester ou d'y partir avec Gothel.
Arrivant à la tour, elle pris l'escalier et arriva dans la salle où elle n'avait passé que quelques minutes, Gothel était là, seulement elle était en pleure.
Sa mère derrière elle l'avait enchaîner, Maud était choqué bien qu'elle ne connaissait pas la mère de Gothel elle s'attendait à tout sauf à cela.
- Oh...Gothel, c'est elle ta chère amie, Maud ? Humm...Donc j'avais raison tu m'avais mentie. Si tu m'écoutais plus on en serait pas là ! Tu va la voir souffrir et tu restera avec moi jusqu'à la mort, ma fille. vociféra la mère.
L'horrible mère de Gothel s'approcha de celle-ci planta un poignard dans le ventre de Maud, celle-ci respirait difficilement et s'écroulait aux sols.
Des larmes commencèrent à pleuvoir des yeux de Gothel, elle se débattait pour sortir de ses chaînes si solides et si horrible, si étrange et si...morbides.
Finalement, Gothel réussit à s'en sortir et se précipita sur Maud pour pleurer la personne qu'elle aimait le plus et qui était peut-être entrain de mourir.
- A-ha ! Ma fille, je t'avais dit de ne jamais te faire des amies car c'est en t'en faisait que la tristesse arrive. Pleure bien, sale idiote. Pleure bien si tu en as envie. ricana la mère en se mettant contre la fenêtre.
Gothel pleurait le corps de Maud et Maud essayait de rester en vie, elle rassemblait ses forces qu'elle avait utilisé il n'y a pas longtemps pour tuer le paysage aristocratique du château, du pays.
Soudainement comme elle s'y attendait, Maud pu rouvrir les yeux et fut en état de se remettre debout, elle était vivante.
La mère de Gothel, qui ne s'y attendait pas sursauta et Maud décida d'utiliser le peu de magie qu'il lui restait pour envoyer dans un autre endroit, de ce que se souvenait Maud cet endroit se nommait l'écosse.
Maud s'évanouit, ayant forcé sur les pouvoirs qu'elle ne savait même pas qu'elle avait quelques minutes avant.
- D'où te vient ces choses, ces pouvoirs ? C'est censé être moi, la sorcière ! Enfin bref...Je suis désolée qu'elle t'es fait ça...Je...Tout est de ma faute. dit Gothel en regardant Maud dans les yeux.
Maud ne put toujours pas répondre, étant toujours évanouie ce qui inquiéta Gothel, elle embrassa alors Maud sur les lèvres et celle-ci se réveilla.
- Ré-embrasse moi. Tout. De. Suite. Je t'aime, Gothel. Je t'aime, je t'ai toujours aimé. déclara la rouquine en fixant Gothel de ses yeux verts-bleus luisant à travers la pièce.
La brune ricana avant de s'exécuter avec passion et fougue, elle ne pouvait s'empêcher d'embrasser tes lèvres.
La brune ré-embrasse une fois encore Maud avec passion, fougue, désir et j'en passe la jeune brune ne pouvait plus se passer des lèvres de la jolie rousse.
- Maintenant tu va me dire ce qu'il se passe. exigea Gothel de Maud après l'avoir encore une fois embrassé et avoir eu envie de faire beaucoup plus que cela avec Gothel.
Maud acquisa, suffisait de réfléchir à comment tout lui avouer. À tout lui dire sans oublier un détail.
- Tout commence lorsque je découvre que ma sœur avait raison, les parents sont mourants et je n'ai pas envie de dire ça mais ça n'avait pas l'air d'être sa faute. Ensuite une ou deux heures après leurs morts elle vient me voir et me dit que je vais être mariée à un homme et que j'aurais le droit jusqu'à mon mariage de venir là où je veux tant que je rentre à 23 heures...
- Oh donc t'aurais pu venir me voir, chérie. coupa Gothel alors qu'elle était censée écouter au lieu de cela elle avait décidé de parler...et de jouer avec une mèche de cheveux de Maud.
Maud apprécie la caresse capillaire mais fait un signe à sa chère Gothel pour pouvoir parler sans interruption.
- Alors après elle organise un bal pour le prétendants, c'est Arold...La fête commence on discute, il m'énerve, je pette un câble, les autres prétendants partent, il reste, il me drague puis veut me violer...Il...Il m'emmène dans une chambre et commence son travail, je ne peux bouger comme toutes femmes violées. À un moment il me dit...il me dit...
Gothel regarde Maud, attristé. Elle ne veut pas intervenir, Maud lui a assuré qu'il ne fallait pas qu'elle l'interrompe.
- Il me dit ça juste avant d'éjaculer en moi : " Roooh ! J'vais te faire cuire moi. Arrête de résister et succombe aux plaisirs. Un jour je devrais t'emmener dans un royaume en France, tu rencontrera Gaston, un type légèrement comme moi, c'est mon cousin, tu verras, il fait fondre toutes les filles de son village, pourquoi pas toi ? On pourrait faire un plan à quatre, je malaxerais les seins de ta Gothel tandis que Gaston te malaxerais les tiens, c'est une bonne idée, n'est-ce pas ? " fit Maud, les nerfs à crans se rappelant de toutes la réplique de Arold.
La rouquine laissa un silence de plomb. Elle était triste plus triste que jamais. Cela lui faisait tellement de mal de devoir dire cette phrase.
- Je...Quoi ? Je veux dire. Je connais personne, pas de Arold...Je connais que toi ici. Tu es la seule avec qui je traîne. Tu es la seule qui compte. Comment il peut me connaître ? demanda Gothel.
Maud la regarda deux secondes avant de la serrer dans ses bras. C'était la question que Maud voulait régler.
- Je ne sais pas c'était ce que je voulais comprendre vis-à-vis de cela. fit Maud en pleurant.
Gothel la prit dans ses bras et l'embrassa pour la réconforter.
- Et...Et sous la colère j'ai tué tous ceux qui vivaient dans le château. Le royaume n'est plus. Il n'y a plus d'hériter, il faut partir avant qu'ils pensent que c'est ma faute. expliqua la rousse à sa compagne.
Sur cela les deux filles se regardèrent, tristes mais heureuses d'être enfin réunies. Elles s'aimaient et l'amour ne pouvait qu'être bénéfique pour deux cœurs amoché.
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