chapitre vii. hey, bad boy
Plus Arold et Maud continuaient à parler, à se regarder, à s'imaginer en couple, ce qui était impossible pour eux deux, la foule de prétendants se décourageaient et partaient petit à petit.
- Je ne comprends pas. Vous êtes vraiment obligé de prendre un époux, et dans ce cas...ce sera moi ? questionne le jeune prince cinquième de sa lignée.
Maud ricana, elle trouvait cela vachement osé venue de lui, c'était quand même le complice de Maena alors pourquoi remettait-il en cause ce mariage ?
- Hum...J'imagine que ça ne vous dérangera pas trop, vous êtes le complice de ma sœur dans sa petite messe basse. dit Maud.
Il fit un petit sourire étonnant, que Maud n'avait jamais vu mais comparé aux sourires de Gothel, qu'elle n'avait pas souvent vu, ce sourire n'avait pas l'air joyeux ni gentil.
- Alors, comme cela tu es au courant de tout ? Humm...Quelle intelligence, ma reine. Eh bien plus besoin de jouer mon rôle, tu seras ma femme et je serais ton rois, on le sait ça. Plus besoin de jouer mon rôle de petit prince parfait. Humm...Quelle plaisir. Eh bien si tu n'y vois pas d'inconvénient, passons en haut. dit Arold.
Passer en haut signifiait souvent faire l'amour, il voulait donc engrosser Maud ou alors peut-être la violer.
Dans la salle il ne restait plus que Maena, qui discutait avec un homme d'affaire important, certainement un homme qu'elle aimerait pour un coup d'un soir.
Maena détestait la fidélité, elle préférait l'esprit frivole d'un corps dans un autre, certainement qu'elle irait passer en haut avec cet homme à la carure impressionnantes.
Maud ne voulait pas, elle n'avait que seize ans, pour elle, c'était bien trop jeune pour faire l'amour.
Puis faire l'amour, elle aurait préféré le faire avec une femme, cela est bien plus délicat et sensuel.
Un homme va principalement essayer de faire mal sans aucune sensualité, sans aucun amour, c'est une sorte de brute.
Alors qu'une femme, elle sait quoi faire pour donner du plaisir sans faire mal, elle est posée, fait attention à ses gestes.
Bien sûre, cela doit être faux, ce n'est que les pensées de Maud lorsqu'elle pense aux relations amoureuses avec des hommes et avec des femmes.
- Pas avant le mariage. déclara Maud alors que Maena et son nouvel homme arrivait vers Maud et Arold.
Maena avait tout entendu, pas avant le mariage ? Quelle phrase ridicule, selon Maena, il fallait directement foncer vers l'île au plaisir, le ciel au plaisir...
Il ne fallait pas attendre un seul moment religieux avant de se donner du plaisir. Puis simplement pour énerver sa sœur, elle n'était pas d'accord avec elle.
- Enfin Maud ! Pas avant le mariage ? Mais le mariage est déjà prévu et on pourrait bien dire que vous êtes déjà maris et femmes. Monte avec lui, ma chère sœur, donne toi du plaisir. répliqua Maena, souhaitant que Maud cède pour qu'elle tombe vite enceinte et qu'elle ne puisse plus sortir comme elle l'aurait voulu.
Arold pris donc Maud par le bras, la rouquine semblait réfléchir au fait qu'il était un prince.
Pour elle un homme comme ça ne pouvait en être un, il devait venir du village et être un sal bouseux.
Ne résistant pas à la force d'Arold, elle le suivie tandis qu'elle vit sa sœur partir dans une autre pièce suivie par l'homme.
En soit, Maud se sentait triste pour cet homme, lui aussi semblait y aller sans le vouloir.
Maud s'allongea sur son lit alors qu'Arold commençait à lui enlever sa belle robe verte qu'elle aimait tant.
- Alors comme ça tu es une petite prude. Je vais te faire devenir une salle cochonne. dit l'homme avec qui elle devait coucher, l'homme avec qui elle allait se marier.
Elle eut une pensée pour Gothel, cette jeune fille extraordinaire, comment aurait-elle réagis à cela, qu'aurait-elle fait ?
Arold retira son beau costume et laissa apercevoir un torse remplie de poils, un torse bombé, avec des abdos.
Il retira ensuite son pantalon de couleur beige avant de sauter sur le lit, touchant chaque parcelle de corps de Maud, les touchant de ses doigts brutaux.
Il l'a caressait tandis qu'elle essayait de l'oublier, elle essayait d'imaginer tout autre chose que ce qui était entrain de se passer.
Soudainement, elle sentie un point s'abattre à côté du lit, c'était certainement Arold qui voulait s'exprimer.
Deux secondes après, il pénétra en Maud, ce fut extrêmement douloureux pour Maud sachant qu'elle n'en avait pas envie.
Elle avait envie de lui dire d'arrêter, de se débattre, de tout faire pour sortir de cette situation mais aucun geste ni aucun son ne sortait.
Des gémissement de plaisir se fit entendre dans une autre chambre, ce devait être Maena...
- Gémis saleté, gémis. laissa sortir Arold en continuant de la salir de ce geste impur.
Maud ne pouvait pas gémir et elle n'en avait aucune envie, en ce moment elle avais plus envie de se débattre et de s'enfuir de la prise masculine de cet homme qui serais son mari.
Il accéléra le mouvement, celui-ci devenant de plus en plus fort et de plus en plus brutal.
- Roooh ! J'vais te faire cuire moi. Arrête de résister et succombe aux plaisirs. Un jour je devrais t'emmener dans un royaume en France, tu rencontrera Gaston, un type légèrement comme moi, c'est mon cousin, tu verras, il fait fondre toutes les filles de son village, pourquoi pas toi ? On pourrait faire un plan à quatre, je malaxerais les seins de ta Gothel tandis que Gaston te malaxerais les tiens, c'est une bonne idée, n'est-ce pas ? proposa Arold en faisant un regard sadique très prononcé.
C'est à ce moment qu'Arold éjacula en Maud, elle fut choqué et très énervé, il l'avait souillé et il racontait ce genre de chose. Maud fut mise à nerfs, il connaissait Gothel ?
Il voulait l'avoir ? Il voulait l'aimer ? Il voulait lui faire du mal ? Comment la connaissait-il ? Il fallait qu'elle fasse quelque chose.
Sous la colère de Maud, un éclair se déclencha et toucha Arold en pleins torses, il venait de mourir par la faute de la colère de Maud.
Cette colère étrange, cette colère fatidique qui s'en prenait au méchant.
- Hey, mauvais garçon. J'espère que tu crèvera bien en enfer. Bonne mort. Ah non...J'ai oublié, tu ne la mérite même pas. fit-elle en marchant sur le cadavre de son futur mari.
Lorsqu'elle sortit de la salle, elle découvrit qu'elle n'avait pas tué que lui, elle avait aussi tué tout le reste du personnel du château et même sa sœur et cet homme qui était entrain de faire jouir cette dernière, ainsi Maena n'aurait jamais le trône et Maud ne pourrait pas l'avoir c'était elle la fautive.
Le royaume était détruit, il n'y avait plus d'hériter et personne ne prendrais la relève, ce royaume était perdue, il n'y aurait plus aucun rois ni aucunes reines.
C'était la fin du royaume de Maricap, royaume très éloigner d'un autre royaume se nommant Corona.
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