De plus cette journée étrange se terminait par de la pluie ; une pluie torrentielle venant d'un ciel étrangement noir.

Je rentrais en courant chez moi, j'habitais à 5 mn du collège, Dans une rue proche des anciennes arènes dont il ne restait plus que la première rangée d'arches. Au milieu il y avait un complexe sportif de remise en forme ou ma mère travaillait. Ma maison était donc proche de son travail. Une fois arrivée je m'attendais à ce que Casey mon chien, que je surnomme Depardieu compte tenu de son poids bien trop élevé même pour un saint-bernard (il pesait dans les 100kilos ce qui rendait folle ma mère). La véto nous avais dis que c'était normal mais on ne renonçait pas à lui faire perdre du poids. Tout les soirs quand je rentrais, ce ventre sur patte me sautais dessus pour que je lui donne a manger. Mais Casey n'était pas venu...j'avais beau l'appeler il ne venait pas. Supposant qu'il dormais j'avais décider de rentrer sans lui. J'essayais d'ouvrir la porte mais ma clé ne rentrais plus dans la serrure. J'essayais plusieurs fois mais ma clé fini par se tordre. En regardant bien je vis que la serrure n'avait plus la forme de ma clé ! Mes parents avaient peut-être changé la serrure ?

J'avais décidé de les attendre sous le proche de la porte d'entrée lorsque tout à coup, un éclair blanc m'aveugla pendant que je m'asseyais sous le porche. Ma tête me lança et mes jambes se dérobèrent. Mes paupières se fermèrent et devant mes yeux se repassaient les secondes où j'observais les étranges poussières grises. Ce moment s'accélérait de plus en plus pendant que mon esprit s'alourdissait et que je plongeais dans une espèce de semi-conscience brumeuse. Mes paupières s'ouvrirent d'un coup et je poussai un cri...
Devant moi un tas informe et gris avec des yeux me fixait. Je tremblai comme une feuille et plus aucun son ne sortait de ma bouche. Qui est-il ? Que me veut-il ? Que signifie ce lourd sommeil qui me prenait ? Ces images qui, en passant très vite, se sont imprimées dans ma tête signifient-elles quelque chose ? L'étrange être dit des mots en une langue inconnue. Son discours résonnait longtemps dans ma tête comme une comptine pour enfants qui reste en tête pendant des jours et des jours. J'étouffai un cri lorsque la chose grise s'approcha de moi et déposa sa main (si on peut appeler ça une main) sur mon front et ma tête se mit à me brûler. Quand je vis la créature s'approcher de plus en plus de moi comme pour prendre possession de mon corps, je hurlai « stop ! ». Alors, il recula, poussa un immense cri et disparut dans l'air.
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Voilà! un chapitre ou il se passe (enfin) quelque chose...