EPILOGUE

Et voilà la fin de cette histoire. Merci pour vos nombreux votes et commentaires..

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Le portail du manoir, était orné de roses blanches et rouges qui formaient une double harche qui s'élevait joliment. Au dessus,  était posé, .la pointe d'un  cœur fleuris.
Les barrières blanches étaient recouvertes  de fleurs exotiques aux couleurs chatoyantes. Après la grille, un tapis rouge conduisait au porche..
Sur la première marche de marbre blanc, deux arbustes fleuris étaient posés. Et des suspensions pendaient sous le porche.
La pelouse étaient tondue à ras, et des buissons fleuris posaient au milieu des fontaines et des statues.

Dans la maison, régnait une agitation inhabituelle. Des gens allaient et venaient vêtus de leur plus beaux atours. Des enfants surexcités couraient dans tous les sens. Il régnait une atmosphère de fête.

Mais dans le grand salon, la dispute battait son plein. Cela durait depuis près d'une demi heure.

James Potter passa devant la pièce, et se hâta de prendre les escaliers, sans, se faire remarquer. La dernière chose qu'il souhaitait, c'était être pris à parti par les deux furies qui se hurlaient dessus.
Il avait beau adorer Lily, il redoutait ses colères et préférait affronter Voldemort plutôt que son épouse, quand à Andromeda... Il avait toujours eu peur d'elle. Cette dispute lui faisait penser à deux dragonnes se disputant un os. Effrayant !

Au milieu de l'escalier il fut interpellé.
- James, Franck voudrait que tu ailles voir la cuisine.
- Mais j'en viens.
- Et bein retournes y.
- Bon sang Alice. Il m'attend à l'étage.
- Et bien il t'attendra encore.
- J'en ai marre de ce cirque.

Il redescendit en râlant.
- James ! Appela Remus. Il faut accueillir les invités.
- Mais Franck m'attends dans les cuisines..
- Vas y alors, je me charge des invités.

Du haut des escaliers, la voix au ton passablement  énervée d'Alice résonna soudain.
- LILY, SI TU NE RAMÈNES PAS TES FESSES LA HAUT, JE TE PRÉVIENS, JE TE RAMÈNE PAR LA PEAU DES FESSES.
Du salon, la voix de Lily gronda.
- J'ARRIVE !

La rouquine passa en trombe devant eux. Elle s'arrêta devant James..
Les cheveux en bataille, le visage crispé de colère, les poings serrés, elle tremblait de rage.
- Un de ces jour, dit elle...
James sourit..
- C'est un grand jour, Lily, laisse tomber.
Elle lui adressa un regard chargé de colère, et soupira.
- Merlin, tu es raison, je suis ridicule.
Il prit son visage en coupe et inclina la tête vers elle.
-Tu n'es jamais ridicule.
Elle lui sourit, se hissa sur la pointe des pieds et l'embrassa.
- Est ce que je t'ai dit que je t'aimais récemment ?
- Nnnon, pas dernièrement.
- LILY ! Hurla Alice.
La rouquine soupira.
- Il vaut mieux que j'y aille.
Il la regarda monter les marches, sa robe voletant autour d'elle.

James soupira, et soulagé d'avoir changé l'humeur de sa femme entra dans la cuisine.
- James ? Demanda Franck, tu as oublié quelque chose ?
- Non, mais il paraît que tu as besoin de moi.
- Non, ici tout va bien..
Il jeta un regard aux nombreux plats tous plus savoureux les uns que les autres. qui s'aglutinaient sur les longues tables,
Il aperçut les bouteilles de vins, et celles de champagne, dans les sceaux en argent remplis de glaçons.
- Ta femme va me rendre dingue. Dit il.
- La tienne aussi. Et je ne te parle même pas d'Andromeda.
- Les bonnes femmes ! Rala James en volant une gougères.
- À qui le dis tu..

James sortit des cuisines. Dans le hall, il fut bousculé par une bande d' enfants l'un d'eux s'étala de tout son long à ses pieds..
James  l'aida à se relever.
- Ça va Neville ? Tu ne t'es pas fait mal ?
- Non, monsieur Potter.
- Tant mieux.
- Harry, Ron, allez y doucement et allez jouer dehors.
- Oui papa.

À l'extérieur, un autre tapis rouge courait le long d' une allée fleurie. De chaque côté, des rangées de chaises drapées de satin crème, étaient disposées.. Devant, sur une estrade elle aussi agrémentée de fleurs exotiques, étaient installées, deux chaises de part et d'autres d'un pupitre.

Sur le côté, un immense chapiteau blanc avait été dressé, de longues tables étaient chargées de victuailles.
Et de boissons
Des petites tables étaient disposées ça et là, devant une autre, plus longue, et joliment décorée.

James monta l'escalier et disparut dans une chambre.

Les premiers invités, arrivaient. Remus les accueillaient, impeccable, dans son costume trois pièces. Un sourire plaqué sur ses  lèvres.
Franc et Ted Tonks le rejoignit, et ils les  guidèrent vers le parc.
Bientôt, une foule compact s'aglutina devant l'allée.

Lily apparut alors. Sa robe longue, au décolleté pongeant cintré à la taille. Et évasée en tulle crème, épousait  ses formes. Ses cheveux roux étaient noués en un chignon lâche.
Elle se dirigea vers les invités, un sourire enjoué sur les lèvres.
Elle les salua et les  guida vers  leur place, secondée par Alice et Andromeda, enfin calmee.

Sur une estrade, sur le côté, de l'allée, un orchestre attendait que tout le monde soit installé, pour entonner une marche nuptiale.
Harry, Ron Wesleay, et Neville Londubat impeccables dans leurs costumes trois pièces, portaient des paniers en osier, remplis de pétales de roses, qu'ils disperçaient le long du tapis.

Toutes les têtes se tournèrent vers eux, un sourire ému aux lèvres.
Maugrey arriva alors,
L'Auror tenait le bras de la mariée.
Elle était magnifique. Sa longue robe en tulle blanche flattait sa taille fine. Une longue traîne flottait derrière elle. Ses longs cheveux noirs, étaient noués en boucles compliquées, sous un voile blanc.
Maugrey l' accompagna de sa démarche claudiquante jusqu'à l'autel.

Et il apparut. Son smocking noir soulignait son extrême minceur, il était encore très pâle, et sa démarche peu assurée. Mais il était debout, le cœur battant la chamade, nerveux comme à un premier rendez vous.
Ses cheveux noirs lui tombaient sur les épaules. 
Il avait refusé de prendre la canne, sur laquelle il s'appuyait d'habitude.  Il irait devant l'autel sur ses deux jambes. Il tentait de se redresser, fièrement, le bras d' Andromeda enroulé autour du sien. Il marcha de sa démarche chancelante, crispé par la douleur, guidé par la sorcière.
Il arriva à son tour près de l'autel, et se placa devant, près de James.

Un petit homme chauve, dans sa robe de sorcier, se tenait sur l'estrade, devant eux.
Il reclama le silence.
- Bien, tout d'abord, merci à vous tous d'être venus si nombreux, pour assister aux noces de Meredith Lestrange, Et Sirius Black.

Sirius sourit et se tourna vers Meredith. Elle aussi. était pâle. Elle lui rendit son sourire.
- Avant tout, vous allez échanger vos vœux..
Meredith, à vous.

La jeune femme se tourna vers Sirius.
- Mon amour. J'ai bien cru que cette journée, n'arriverait jamais. Il y a eu tant d'obstacles sur notre route. J'ai cru t'avoir perdu, si souvent, mais nous sommes là, devant tous nos amis, aussi incroyable que ça puisse paraître. Je t'aime depuis la nuit des temps, et rien jamais ne pourra changer ça. Aujourd'hui je t'épouse, et puisque nous avons connu le pire, j'espère que ce sera pour le meilleur, cette fois. De toutes façon, quoisqu'il arrive, je serais là. Parce que je t'aime plus que tout.

Il rougit.
- À vous. L'encouragea le maître de cérémonie.
Sirius déglutit et se racla la gorge.
-  Je vais essayer de faire aussi bien, ça va être dur. Tout le sait que je suis plus doué pour me battre que pour faire des discours.

Des rires fusèrent.
- Alors, avant tout. Je tiens à vous remercier d'être tous venu me voir me mettre à la corde au cou, même si je suis persuadé que certains sont juste la, pour vérifier si la rumeur de ma résurrection est reelle. Désolé de vous décevoir, mais.. Oui, c'est bien moi. Je ne suis pas un mirage. Et navré pour ceux qui ont parié le contraire. Je rembourse pas les mises.

Les rires fusèrent de nouveau.
- Mery, tu es là plus belle chose qui pouvait m'arriver. Tu es brillante, magnifique, et je ne te mérite absolument pas. Je t'aime depuis toujours, et si nos routes se sont parfois écartées l'une de l'autre, le destin s'acharne à nous reunir. Alors, je crois qu'on a plus le choix, et puis je crois que Lily, Alice et Andro nous  assassineraient si on le faisait pas.
Elles se sont données beaucoup de mal, pour organiser tout ça, et je redoute plus leur colère que toute la magie noire du monde.

De nouveaux des rires fusèrent.

Je t'aime Mery, je crois que je t'aimais deja dans le ventre de Walburga, même si j'ai toujours du mal à imaginer cette femme donner la vie. Il a bien fallu que je sorte de quelque part. et je t'aimerais jusqu'à mon dernier souffle. Même lorsque je dérive entre la vie et la mort, tu es le phare qui me guide vers la sécurité de tes bras. Il n'y a que là, que je me sente à ma place. C'est là où je veux être jusqu'à la fin de ma vie, et c'est là que je serais. Je veux être ton ami, ton  confident, ton amant, en un mot, ton mari. Je te jure de t'être fidel, ce qui ne sera pas un problème, car aussi jolies  soient elles, moi je ne vois que toi. Tu seras toujours la plus belle à mes yeux, même lorsque tu seras ridée, et que tes cheveux auront blanchis. Je veux viellir à tes côtés.
Merci d'accepter de devenir ma femme.

Un tonnerre d'applaudissements accueillit ces déclarations.
- Merci, Sirius et Méredith, pour ces belles déclarations. au tour des temoins, de dire quelque mots.
James et lily s'avancèrent.

- Meredith, commença Lily, tu es là sœur que j'aurais aimé avoir. Courageuse, digne en toute occasion, brillante, j'admire ta force, ton calme à toute épreuve. Tu es incontestablement celle qu'il fallait à Sirius. Tu sais l'apaiser, lui tenir tête, et je n'ai jamais vu qui que ce soit capable de calmer ses colères, en dehors de toi. Tu es une amie loyale, et tu feras une merveilleuse épouse.
On attendait ce mariage avec impatience. On commencait à désespérer qu'il ait lieu. Votre vie de couple chaotique, semée d'embûches et de drames, a surmonté bien des épreuves, je suis sûre que  ce mariage sera un Havre de paix, après ça.  Sirius, je te connais depuis longtemps, que j'ai l'impression de t'avoir toujours  connu. Que de chemin parcouru depuis Poudlard. Merlin  sait que les Maraudeur et moi, ne faisions pas bon ménage, et pourtant, j'en ai épouse un, et les deux autres sont devenus mes meilleurs amis.
Tu m'as sauvé la vie, une nouvelle fois, tu as n'as pas hésité à te sacrifier pour moi. Et je ne sais toujours pas comment te remercier. Comment peut on remercier quelqu'un, qui choisi de faire un tel sacrifice ?
Sirius secoua la tête.
- Inutile PEC, J'ai pas réfléchi, avec le recul peut être que. '. Nan. Je suis heureux de l' avoir fait. Même si j'espère ne jamais avoir à le refaire.

- Voilà, c'est ça Sirius. Certains vous diront qu'il a beaucoup de défauts, moi, je ne lui trouve que des qualités. Plus  qu'un ami, un frère. Celui sur qui nous pouvons tous compter.
Je te le confies Meredith. Prends soin de lui. Parce que dans le cas contraire. Tu me trouveras sur ton chemin..
Je vous souhaite tout le bonheur du monde. S'il y a bien un  couple qui le merite, c' est bien vous. Je vous aime.

Des applaudissements retentirent.
- Merci, madame Potter. C'était très émouvant..
James se racla la gorge.
- Meredith, je te connais depuis Poudlard, mais je ne reviendrais pas sur ces années, parce que à cette époque,  nous ne nous appréciions guère. Je t'ai surtout connu dans L'Ordre du Phoenix et à ma grande surprise, j'ai découvert la femme que tu es sous le masque de froideur que tu abordais à Poudlard.. Une jeune femme brillante, courageuse, enjouée, et pleine de vie. Vos chamailleries avec Sirius étaient légendaires, et vos reconciliations bruyantes. Mais vous mettiez de la vie.
Et puis, le drame vous a frappé. Je  n'imagine  pas l' horreur de ce que vous avez traversé.
Vous vous êtes éloigné, et il à fallu un autre drame, pour vous rapprocher. Si je croyais pas au destin, avant, aujourd'hui, grâce à vous, j'y crois.. C'est un enfant qui vous a éloigné, c'en est un autre qui vous a rapproché. Mais vous êtes fait l'un pour l'autre. C'est une évidence, quand on vous voit ensemble. Meredith, sois la bienvenue dans la famille. Aimer l'un d'entre nous, c'est devoir supporter tous les autres, alors bon courage. Les Maraudeurs restent unis et soudés, et c'est pas toujours facile de vivre avec une  telle bande de farceurs. Mais. tu es l'une des nôtres, maintenant. Et honnêtement, j'ignore  si tu dois t'en réjouir ou prendre peur.
- "Les deux. Répondit elle en riant..

- Sirius. Depuis le temps que je te connais, je ne t'ai jamais vu aussi heureux que depuis que tu fréquentes Meredith.. Dès que tu as posé les yeux sur elle, dans l'ordre, j'ai su qu'elle n''était pas comme les autres.
Je t' ai vu sourire, rire et pleurer pour elle. Je t'ai dis cette fille est faite pour toi, ne la laisse pas filer. Et aujourd'hui nous sommes réunis, parce que tu m'as écouté.. Pour une fois. Les épreuves se sont succédées, et vous êtes toujours là.
Sirius, je te l'ai dit souvent. Tu es le frère que je n'ai jamais eu la chance d'avoir. Mon ami, mon complice. Celui qui surveille mes arrières, qui est toujours là pour moi. Tu m'as sauvé la vie, un nombre incalculable de fois, et dernièrement on a bien failli te  perdre pour avoir voulu, une fois de plus sauver la vie de Lily.. Et pour ça, Je suis à jamais ton débiteur.
J'aurais tellement voulu que Leo soit présent, aujourd'hui. J'ai une pensée pour ce petit bonhomme, parti trop tôt dans d'horribles circonstances.

Il y eut une minutes de silence.
- Et maintenant que j'ai bien plombé l'ambiance, je veux juste te dire Meredith, que je suis heureux, que vous vous soyez enfin retrouvés, je vous souhaite d'être très heureux  ensemble. Les Maraudeurs sont une famille, alors bienvenue  petite sœur. Et si jamais tu lui fais du mal, la terre ne sera pas assez vaste. Pour que tu puisses t'y cacher.

- Merci monsieur Potter.
Et maintenant les alliances.

Il y eut une vague de murmurs émus, tandis qu'une fillette brune, aux cheveux mi long, de presque deux ans, marchait le long de l'allée dans sa robe blanche. Elle portait un coussin couvert de soie  blanche sur lequel brillaient deux anneaux.
Meredith se pencha sur Aria, l'air sérieuse et lui prit les anneaux. Elle embrassa la fillette sur la joue, et celle ci se tourna brusquement vers Sirius.
- Papa.
Ému Sirius souleva la fillette. Et l'embrassa.
- Je t'aime Aria. Dit il. Mais, je ne suis pas ton papa.
- Papa répéta t'' elle.
-  Bon, dit Sirius en se tournant vers les invités.  Je crois qu' elle a hérité de l'obstination des Black.

Les rires fusèrent, et Lily lui prit la fillette. Il avait pâli, et légèrement flanché.

Apres la remise des alliances, des colombes furent lâchées, les baguettes se levèrent au dessus des têtes des jeunes mariés et des lueur multicolores en jaillirent, illuminant le ciel au dessus  d'eux, tandis qu'ils s'embrassaient.

La fête battaient son plein, le champagne coulait à flot, les couples évoluaient gracieusement sur la piste. James et Lily avaient ouvert le bal. Sirius était encore trop faible pour danser. Peu habituer à rester debout aussi longtemps, il avait été contraint de s'asseoir sitôt après la ceremonie. Cela  faisait à peine cinq mois qu'il était sorti du comas, et sa convalescence était longue.

Assis seul à une table, il songeait aux efforts qui lui restait à faire.
James le rejoignit et s'assit près de lui, il lui tendit une coupe de champagne..
- Alors, le jeune marié ? Tu as une mine épouvantable.
Sirius sourit.
- Tu as, toujours été le meilleur pour trouver les mots réconfortants.
- Tu préférais que je te mente ?
- Non..
- Sirius.. Ce que tu as fait pour Lily.. Je ne l'oublierais jamais..
- Roh, c'est. Bon, je t'ai dis qu'on ne devait plus en parler.

Au même moment Remus les rejoignit.
- Ça va Sirius ? Demanda t'il
- Pourquoi est ce que tout le monde me demande ça ?
- Parce que tu as mauvaise mine.
- C'est ce que je lui ai dis. Dit James..
- Fichez moi la paix.
- Au fait tu as eu mon petit cadeau ? Demanda James..
- Tu veux dire la cage avec le gros  rat gris ? Oui, je l'ai reçu.
- Quoi, Peter ? Demanda Remus.
- Oui. Dit James. Il a tenté de se métamorphoser, alors, je me  suis dit que là, au moins il ne nuirait à personne.
- Et s'il s'échappe ? Demanda Remus.
- Impossible la cage est enchantée, il ne peut pas pratiquer de magie, à l' Intérieur.
- Ça se fête. Dit Sirius.. CHAMPAGNE.
Ils trinquerent.
- Aux MARAUDEURS. Dit Sirius.
- AUX MARAUDEURS.. Reprirent James et Remus en cœur.
Sirius soupira.-
- Tout de même , il aurait pu venir. Dit Sirius.
- Il nous en veut toujours. Dit James. C'était plus affirmation qu'une question..
Soudain, Remus sourit.
- Il est venu, en fin de compte. Dit il.

Une grande silhouette sombre approchait. Vêtu d'un smoking, il hésita.. James et Remus se levèrent. Avant de s'éloigner, James glissa à l'oreille se Sirius
- "Et surtout reste calme.

L'homme s'approcha.
- Salut Sirius.
- Reg, je commencais à croire que tu ne viendrais plus.
- Bein tu me connais.. Moi les cérémonies guimauves et compagnie, c'est pas trop mon truc..
- Tu as tort. On y fait des rencontres intéressantes, parfois..
Un sourire étira les lèvres de Régulus..
- Comment tu te sens ? Lui demanda t'il.
- Heureux. Répondit Sirius
Régulus sourit.
- Alors tant mieux.
Ils s'échangent un regard qui se passaient de mot. Un long regard, à travers lequel ils se disaient  tout ce que leur pudeur ne permettait pas d' exprimer autrement.

Il venait de partir, lorsque Meredith le rejoignit, et s'installa sur ses genoux. Elle l'embrassa avec passion..

- Je t'aime, monsieur Black
- Je t'aime madame Black

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