- Bonjour, me réveilla une voix douce.

- Oh ! Yuri, je suis désolé je ne me suis pas réveiller, m'excusai-je  coupable en posant mon regard sur mon petit-ami.

- Ce n'est pas grave. C'est vrai que tu n'allais pas très bien hier même Makkachin s'en est rendu compte, elle a passer la nuit à tes côtés, me répondit-il.

- Merci, répondi-je simplement tout en souriant.

- Et aujourd'hui, comment te sens-tu ?

- Oh ça va, lui répondis-je en commençant à me lever.

- Victor ! entendis-je Yuri crier alors qu'un nouveau vertige me prenais.

- Se n'est rien, ça va j'ai dû vouloir me lever trop vite et mon genou n'a pas supporter, le rassurai-je.

- Oui..., me répondit-il sans avoir l'air de me croire.

- Qu'allons faire aujourd'hui ?

- Toi tu devrais aller voir Olivia, Victor, me dit Yuri avec sérieux.

- Ça ne va pas, papa ? me demanda Lia inquiète.

- Non ne t'inquiètes pas, la rassurai-je.

- Victor, tu peux venir une minute ? me demanda Yuri qui était descendu chercher le courrier entre temps.

- Oui mon amour, qu'est-ce qu'il y a ?

- Tu as une lettre d'Olivia justement. Pourquoi tu ne m'as pas dis que tu étais aller à son cabinet récemment ?

- Je ne sais pas, je ne m'en suis pas rappeler. Je suis désolé Yuri, répondi-je en baissant les yeux.

- Victor s'il te plaît, ne me ments pas ! haussa le ton mon petit-ami. 

- Yuri ! Comment oserais-je te mentir à toi ? Je t'assure je ne m'en suis pas rappeler du tout, lui assurai-je.

- Alors ouvres cette enveloppe parce que je t'assure tu m'inquiètes Victor, me dit Yuri  d'un ton ferme auquel je n'étais toujours pas habitué.

- Bien mais ne t'énerves pas mon amour, lui dis-je en caressant sa joue.

- Excuse moi Victor mais on a tellement eu d'ennuis avec ta santé et je ne te reproche absolument rien. C'est juste que je m'attends un peu au pire cette fois ci, m'expliqua-t-il gêné.

- Non ne t'inquiètes pas. Elle m'informe seulement qu'elle souhaite que je passe un IRM, lui expliquai-je.

- J'espère que je n'ai pas à m'inquiéter, me dit-il en s'asseyant sur le canapé.

- Non c'est peut être juste un contrôle.

- Tu n'en sais rien, Victor ! me répondit-il les yeux noyés de larmes.

- Oh non Yuri, je t'en supplie ne pleures pas et encore moins à cause de moi. Tu sais très bien que je perds tout mes moyens dans ce genre de situation, lui rappelai-je en m'agenouillant devant lui.

- Je sais mais... commença-t-il.

- Chut. Ne dis plus rien s'il te plaît, lui dis-je en souriant.

- Que fait on ?

- Ce qu'on sait le mieux faire.

- Patiner ?

- Tu as tout compris. Après tout,  s'il doit m'arriver quelque chose je préfère avoir eu le temps de patiner une dernière fois et avec toi, Yuri.

- Non je t'en prie Victor s'il te plaît ne dis pas ça, me défendit-il en posant un doigt sur mes lèvres.

- Tu as raison. Profitons juste, approuvai-je.