Chapitre 5
Parfaitement indifférents à la foule qui s'agite autour d'eux au rythme de la musique, Chat Noir et Marinette n'ont désormais plus d'yeux que l'un pour l'autre.
Entre les paumes du héros qui reposent à présent en bas du dos de sa cavalière et les doigts de cette dernière qui s'attardent autour de la nuque de son coéquipier, les deux jeunes gens sont désormais si proches qu'il suffirait d'un rien pour que leurs corps ne se pressent l'un contre l'autre.
Cette proximité met les nerfs de Marinette à vif, au point que la jeune femme se sent maintenant presque nauséeuse.
Sa gorge est sèche, la tête lui tourne, tandis que ses jambes semblent prêtes à se dérober sous elle à tout instant. A son grand désespoir, Marinette a beau être une héroïne débordante de confiance en soi, elle ne cesse pourtant de perdre ses moyens quand elle approche un garçon qui lui plait. Elle doit se rappeler comment respirer, comment réfléchir, comment contrôler sa nervosité croissante.
Et ce soir, elle doit surtout essayer de faire en sorte que ce rapprochement avec son coéquipier ne se termine pas en un véritable désastre.
Car quelque chose est en train de se passer entre Chat Noir et elle, c'est certain. Les regards qu'ils échangent sont trop longs, leur promiscuité bien trop importante pour laisser planer le moindre doute. Mais au vu de la façon dont ses nerfs la torturent et comment son cœur s'affole dans sa poitrine, Marinette risque un arrêt cardiaque avant que l'un d'entre eux ne tente quoi que ce soit.
Il faut impérativement qu'elle réussisse à retrouver son calme.
- « Tu danses plutôt bien », lance la jeune femme avec un petit rire fébrile.
Marinette ignore si le moment est idéal pour se lancer dans une conversation badine, mais elle ressent un besoin presque vital de relâcher un peu la tension qui lui noue à présent l'estomac.
La musique est étourdissante, mais la proximité physique entre son coéquipier et elle est maintenant telle que Chat Noir n'a aucun mal à entendre la remarque de sa partenaire.
- « Merci, Princesse », réplique le héros avec un sourire crispé qui trahit sa nervosité. « C'est si surprenant que ça ? »
- « Un petit peu », rétorque immédiatement Marinette. « Tu avoueras que bondir de toit en toit et avoir le sens du rythme, ce n'est pas tout à fait la même chose... »
- « Je te l'accorde », admet Chat Noir en riant. « Mais il ne faut pas me sous-estimer ! », poursuit-il avec une volontaire grandiloquence. « En toute modestie, j'estime que je suis un danseur tout à fait honorable. Je pense même qu'on peut dire que je suis très bon. Et bien sûr, tout ça sans compter le fait que mon héroïque sens de l'équilibre peut aussi me sauver la mise ici aussi. »
Marinette éclate de rire devant les éternelles facéties de son coéquipier, alors que le poids qui lui semblait peser sur son estomac s'allège enfin. Elle se sent toujours tendue, mais ce n'est plus en raison de cette sournoise appréhension qui avait manqué de la paralyser un instant plus tôt.
Non, si son cœur s'emballe à présent, c'est à nouveau d'excitation.
- « Je trouve que tu as la langue bien pendue ce soir, chaton », le taquine Marinette en lui donnant une affectueuse tape sur le bout du nez, avant de reposer sa main sur l'épaule du jeune homme.
Une étrange lueur traverse le regard de Chat Noir, et durant un bref instant, le héros hésite.
Une réplique lui brûle les lèvres, mais s'il la prononce, il sait avec certitude qu'il franchira l'invisible ligne sur laquelle Marinette et lui dansent depuis de bien trop longues minutes.
Une fraction de secondes plus tard, sa décision est prise.
L'occasion est trop belle et cette fille trop envoûtante pour qu'il ne se lance pas. S'il n'agit pas maintenant, Chat Noir sait avec la plus profonde des certitudes qu'il le regrettera éternellement.
- « Je serais toi, je ne me moquerais pas de ma langue, Princesse », chuchote le jeune homme d'une voix séductrice, tout en se penchant vers sa cavalière. « Si tu savais tout ce que je sais faire avec... »
Les immenses yeux céruléens de Marinette s'écarquillent de surprise, tandis que son cœur effectue des acrobaties dignes de véritables montagnes russes.
La réplique de Chat Noir vient de faire définitivement sortir leur petite conversation du domaine de l'amical, tout en court-circuitant au passage les dernières pensées cohérentes qui pouvaient encore s'attarder dans le cerveau de Marinette.
La jeune femme n'est plus dirigée que par ses hormones impérieuses, par les torrents d'adrénaline que son vif rythme cardiaque propulse dans ses veines et par des bouffées d'euphorie tellement étourdissantes que Marinette en a la tête qui tourne.
Le regard rivé à celui de son coéquipier, la jeune femme se rapproche ostensiblement. Entre Chat Noir et elle, l'atmosphère est à présent chargée d'une électricité si vibrante que Marinette s'étonne de ne pas la sentir crépiter dans l'air.
- « C'est une promesse ? », lui demande-t-elle le souffle court.
- « Seulement si tu es d'accord », réplique le héros d'un ton soudain sérieux.
Les prunelles de Chat Noir étincellent tellement qu'elles semblent émettre leur propre lumière, et sous ce regard intense, le cœur de Marinette se met à bondir avec tant de force que la jeune femme en a du mal à respirer. C'est presque injuste de voir à quel point un seul coup d'œil de la part de ce garçon peut lui faire perdre tous ses moyens, réalise-t-elle avec une certaine résignation.
- « Alors je pense qu'on devrait pouvoir s'arranger », rétorque-t-elle d'une voix qu'elle espère langoureuse, tout en passant lentement un doigt sur les lèvres de Chat Noir.
Marinette ne peut retenir un sourire de satisfaction en sentant le jeune homme frissonner sous l'effet de cette légère caresse. C'est à la fois grisant et rassurant de voir qu'il semble être aussi troublé par sa présence qu'elle l'est par la sienne. Les réactions son coéquipier l'enivrent plus vite que ne l'aurait fait le plus puissant des alcools, les regards chargés d'admiration et de désirs qu'il lui lance sont pour elle comme autant de challenges supplémentaires pour repousser les limites.
Marinette se sent belle, puissante, envoûtante. Comme si elle pouvait conquérir le monde en un battement de cils.
A commencer par Chat Noir.
Alors que Marinette laisse retomber sa main avec une lenteur délibérée, son coéquipier sort brièvement la langue et la passe là où se sont attardés les doigts de sa cavalière un instant auparavant. La jeune femme laisse échapper malgré elle un soupir d'envie à cette vision.
Jamais, au grand jamais elle n'a autant eu envie d'embrasser Chat Noir.
- « Tes désirs sont des ordres », répond doucement le jeune héros, tout en inclinant galamment la tête vers elle. « Je suis entièrement à ton service. »
- « Voilà qui est parfait, chaton », réplique malicieusement Marinette. « J'ai toujours préféré prendre les choses en main. »
L'insistance avec laquelle elle a prononcé ces derniers mots est lourde de sous-entendu et au vu de la lueur espiègle qui traverse les yeux de son partenaire, le double sens qui s'y cache n'est pas passé inaperçu pour lui.
- « 'Prendre les choses en main' ? Je serais curieux de voir ça », ronronne-t-il avec un sourire complice.
Alors qu'il prononce ces paroles, les doigts du jeune héros glissent machinalement sur les hanches de sa cavalière, traçant de paresseux cercles sur le doux tissu sa robe. Marinette sent aussitôt une nouvelle et implacable bouffée de chaleur croitre entre ses cuisses, et retient à grand-peine un gémissement de frustration à l'idée que les mains de Chat Noir ne pourront poursuivre plus loin leurs explorations tant qu'ils seront tous deux en public.
- « J'espère juste que ça ne sera pas trop dur pour toi... », réussi-t-elle néanmoins à articuler, avant de se mordiller la lèvre inférieure d'un geste parfaitement suggestif.
- « Oh, je t'assure que tu n'as vraiment, vraiment pas besoin de t'inquiéter pour ça... », laisse échapper son coéquipier d'une voix rauque.
Chat Noir détache l'une de ses mains de la chute de reins de Marinette pour la poser délicatement sur le coude de la jeune femme. Les doigts du héros descendent ensuite son avant-bras avec une lenteur parfaitement – diaboliquement – calculée. Avançant méthodiquement, centimètre par centimètre. Effleurant l'épiderme de Marinette avec autant de légèreté que le toucher d'une plume.
C'est une longue et délicieuse torture, qui fait frissonner Marinette de plaisir autant qu'elle lui donne envie de hurler de frustration.
Elle ne veut pas qu'il la frôle.
Elle veut qu'il la touche.
Qu'il la serre de toutes ses forces dans ses bras. Qu'il l'embrasse jusqu'à lui en couper le souffle. N'importe quoi plutôt que de la tourmenter comme il semble tant s'amuser à le faire.
Enfin, après ce qui parait être une éternité aux yeux de la jeune femme, Chat Noir s'empare de sa main pour la porter à son propre visage.
Pendant un instant, Marinette pense qu'il va y déposer l'un de ces aériens baisemains dont il est coutumier. Mais au lieu de cela, Chat Noir tourne soudainement sa paume vers le plafond, avant de déposer un profond et langoureux baiser au creux de son poignet.
La bouche du héros est chaude, humide.
Ce contact est plus intime que tout ce que Ladybug n'a jamais pu échanger avec son partenaire, et cette sensation inattendue fait frissonner Marinette de tout son être. Elle laisse échapper un petit hoquet de surprise mélangé à un soupir de plaisir, tandis qu'une nouvelle vague de chaleur croit de nouveau au creux de son bas ventre.
Oh, ce Chat...
Le pouls de la jeune femme atteint un rythme affolant, ce qui n'échappe pas un instant à Chat Noir, dont les lèvres sont toujours fermement pressées contre l'articulation de Marinette. Il n'a pas non plus manqué de remarquer à quel point ses pupilles se sont dilatées et comment la partie visible de son visage s'est empourpré.
Marinette n'est pas insensible à son charme, c'est l'évidence même, et la voir réagir ainsi à ses avances ne fait qu'accroitre le propre désir de Chat Noir.
Il veut pousser sa chance plus loin, encore et encore, autant qu'elle le lui permettra.
Chat Noir relâche le poignet de Marinette avec lenteur et délicatesse, avant de nouer ses mains dans le dos de la jeune femme.
Avec une infinie précaution, il incline le buste vers elle, tandis que Marinette resserre instinctivement sa prise autour du col de sa chemise. Alors que lèvres des deux jeunes gens poursuivent leur lente progression les unes vers les autres, leurs respirations se font quant à elles de plus en plus rapides.
Chat Noir est à présent si proche que Marinette peut sentir distinctement le parfum de son eau de toilette.
Le héros se penche un peu plus, jusqu'à déposer un léger baiser le long de la mâchoire de sa cavalière. Instinctivement, la jeune femme frisonne, comme si une incontrôlable décharge électrique venait de la traverser de part en part.
Les pupilles de Marinette sont à présent tellement dilatées d'excitation et de plaisir que le bleu de ses iris est à peine visible. A cet instant, la jeune femme est persuadée que son corps tout entier l'abandonne, emporté par cette fièvre qui l'étourdit autant qu'elle la consume.
Sa peau la brûle, ses genoux menacent de céder sous elle et respirer n'a jamais été aussi difficile.
- « Chat... », murmure-t-elle d'une voix haletante.
Le souffle ardent qui s'échappe des lèvres de la jeune femme caresse voluptueusement le cou du héros, le faisant trembler à son tour.
Cet incontrôlable spasme porte l'estocade finale aux dernières barrières qui retenaient encore les deux jeunes gens.
En une fraction de seconde à peine, les doigts de Marinette se resserrent autour du col de Chat Noir, les mains du héros se pressent de chaque côté de l'échine de la jeune femme pour attirer cette dernière vers lui, et leurs bouches s'écrasent brutalement l'une contre l'autre.
Enfin, enfin, enfin.
Mais loin d'être une délivrance pour les deux jeunes gens, ce brusque contact n'est que le prélude à une nouvelle déferlante d'ardentes sensations.
Marinette en veut plus. Encore plus.
La langue de la jeune femme se lance à l'assaut des lèvres de Chat Noir, le suppliant de la laisser entrer. Le héros répond avec enthousiasme à cette muette requête, écartant ses dents et inclinant légèrement la tête sur le côté pour donner à Marinette un meilleur accès.
Ce baiser a un goût de sucre et d'alcool, et embrase aussitôt tous les sens des deux jeunes gens.
Les doigts de Marinette abandonnent la nuque de Chat Noir pour venir se perdre dans les mèches blondes du jeune homme, tandis que ce dernier presse l'une de ses paumes derrière la tête de sa cavalière pour intensifier leur étreinte.
Il peut sentir la douceur de ses lèvres contre les siennes, le parfum enivrant de sa peau.
Mais c'est toujours trop peu.
Alors que Marinette poursuit ses fiévreuses explorations, Chat Noir enroule à son tour sa langue autour de la sienne. La jeune femme laisse aussitôt échapper un doux gémissement, qui résonne comme la plus sensuelle des musiques aux oreilles du héros.
- « Marinette... », souffle Chat Noir contre les lèvres de la jeune femme, avant de se remettre à l'embrasser passionnément.
Encore, encore, encore, semblent l'encourager chacun de ses violents battements de cœur.
Cette fille est en train de lui faire perdre l'esprit.
Marinette ignore combien de temps Chat Noir et elle restent ainsi à échanger de torrides baisers.
Le temps n'a plus de sens, l'espace se réduit au cercle que forment les bras du héros autour d'elle.
Jamais Marinette n'a connu une telle sensation de vertige, et jamais elle n'a eu aussi chaud.
Ce n'est plus de l'adrénaline qui se rue dans ses veines, mais la plus incandescente des laves, qui calcine la moindre parcelle de son corps. Sa peau est en feu, ses doigts la brûlent, tandis que son bas-ventre s'embrase et se tord délicieusement.
Marinette embrasse Chat Noir avec ferveur, cherchant à arracher à son tour de tendres soupirs de la bouche de son coéquipier. Alors que ses dents mordillent langoureusement la chair rosée des lèvres du jeune homme, elle est récompensée par une exclamation de plaisir étouffée.
Instinctivement, Chat Noir serre sa cavalière un peu plus fort contre lui, au point qu'il ne reste à présent plus le moindre espace libre entre eux.
La poitrine de Marinette se presse contre la sienne, tandis que ses courbes harmonieuses épousent leurs deux corps.
Chat Noir a la sensation qu'il est sur le point de se consumer de l'intérieur, mais cette sensation n'est rien en comparaison du violent brasier qui couve à présent entre ses jambes. Ecrasée contre son coéquipier comme elle l'est à présent, Marinette ne peut manquer de noter la présence d'un renflement au niveau de l'aine du jeune homme.
Sans le moindre doute, sa présence et ses attentions sont... appréciées.
Chat Noir peut sentir Marinette sourire sous ses lèvres, avant que sa cavalière ne se mette à rouler malicieusement des hanches contre lui.
Le jeune homme sent aussitôt une décharge de chaleur le traverser de part en part, consumant le moindre de ses nerfs sur son passage. Ses doigts se crispent sur le tissu soyeux de la robe de sa cavalière, tandis que la tension qu'il ressent à présent au bas de son ventre devient presque impossible à supporter.
- « P-Princesse... », halète-t-il d'une voix rauque.
- « Chaton... », murmure langoureusement Marinette, avant de réitérer son geste.
Suffisamment discrètement pour qu'il passe inaperçu vu de l'extérieur, suffisamment fort pour que son compagnon n'en rate rien.
Chat Noir se mord violement l'intérieur de la joue, avant de saisir la tête de la jeune femme pour l'embrasser avec une ardeur qui tient à présent presque du désespoir.
Cette délicieuse friction que lui inflige Marinette va le rendre fou.
Lorsqu'il relâche enfin sa cavalière, Chat Noir doit prendre un instant pour retrouver son souffle. La respiration du héros est lourde, laborieuse, et le regard que braque Marinette sur lui est si intense que les genoux du jeune homme se liquéfient sous lui.
Chat Noir peut sentir distinctement chacune des pulsations cardiaques de Marinette résonner dans sa propre poitrine, son souffle chaud caresser ses lèvres, ses courbes parfaitement proportionnées se presser contre son corps.
Et ce n'est toujours pas assez.
Il veut être proche d'elle. Plus proche encore.
Mais l'étreinte qu'il échange avec Marinette est en train d'atteindre des niveaux d'intensité qui ne peuvent décemment rester publics. Pour aussi appréciables que soient les baisers passionnés de sa cavalière, Chat Noir sait pertinemment qu'ils ne manqueront pas d'être tous deux rappelés à l'ordre par le personnel de la boite de nuit s'ils continuent ainsi.
Chat Noir hésite.
Il ne peut clairement pas inviter sa ravissante compagne chez lui sans risquer de compromettre son identité secrète et l'idée de lui proposer de finir leur soirée dans une chambre d'hôtel ne l'enchante guère.
- « T-Tu... Tu veux venir chez moi ? » souffle soudain Marinette d'une voix pantelante, comme si elle partageait les pensées de son coéquipier.
La jeune femme esquisse un sourire embarrassé, qui s'élargit brusquement devant l'expression radieuse qui éclaire à présent les traits de Chat Noir.
- « Tu n'imagines pas à quel point », réplique-t-il en passant une main tremblante le long de la mâchoire de sa cavalière.
Le cœur battant à tout rompre, les jeunes gens restent un instant sans mot dire, se contenant de se dévorer des yeux comme s'ils n'étaient plus que les deux derniers êtres humains au monde. Au bout d'un instant, Marinette décide finalement de briser le silence, tout en jetant un regard nerveux sur le côté de la piste.
- « Il faut... Il faut juste que j'aille prévenir mon amie... Alya... », lance-t-elle d'une voix hésitante, répugnant manifestement à ne pas quitter immédiatement les lieux en compagnie de son coéquipier. « Elle va s'inquiéter si je pars sans rien dire. »
Chat Noir sursaute en entendant ces paroles, tandis qu'une glaçante vague de panique vient aussitôt tempérer ses ardeurs.
Marinette l'a reconnu en tant que Chat Noir, mais il suffirait qu'Alya l'appelle Adrien pour que cette très prometteuse soirée ne tourne au fiasco total et que son identité secrète ne soit dévoilée au grand jour.
Hors de question de courir un pareil risque.
- « I-Il vaudrait peut-être mieux seulement lui téléphoner ? Ou lui envoyer un message ? », balbutie-t-il précipitamment. « Je suis Chat Noir », poursuit-il alors que sa compagne lui jette un regard interrogateur. « Et elle tient le Ladyblog. La dernière chose dont j'ai envie, c'est de rester coincé ici à répondre à ses questions. »
Les yeux de Marinette s'écarquillent légèrement avant que la jeune femme ne hoche finalement la tête de haut en bas. Elle aime sa meilleure amie de tout son cœur, mais force est de reconnaitre Chat Noir a raison de redouter l'opiniâtreté d'Alya.
- « Ok, on fait comme ça », murmure-t-elle enfin. « Alors, en route ? »
- « En route », approuve chaleureusement Chat Noir.
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Note :
Un grand merci à @MonsieurlOurs pour la relecture de ce chapitre, pour les corrections et pour avoir supporté toutes mes jérémiades quand je ne trouvais pas de tournures de phrase qui me plaisaient :D !
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