Le jour où le gouvernement a annoncé les nouvelles mesures, à savoir la puce, la population était partagée entre la peur, la colère et l'incompréhension.

Bien sur, nous savions que la délinquance battait tous les records depuis une dizaine d'années mais nous étions loin d'imaginer de pareilles solutions...

Malgré les manifestations nombreuses et toutes les menaces contre notre président, les nouvelles lois ont étés votées.

Maintenant, les adultes font de moins en moins d'enfants de peur que eux aussi portent ces foutues puces.
Mais nous, adolescents, nous devons accepter accepter notre sort tout comme nos parents et aînés.

Il y a aussi eu une vague de suicides, en plus de la natalité en baisse. Le président se félicite. Selon lui, tous ces gens ne pouvaient pas vivre sans être bons alors c'est "un fardeau en moins". Mais personne ne peux vivre sans pensées négatives. C'est impossible.

Et bizarrement, lui et ses ministres ne sont pas sous l'emprise de la puce. Comme par hasard.

Mais ils ne se rendent pas compte que si les suicides continuent et que la population n'est plus renouvelée, la ville et plus globalement Pomius court à sa perte.