Je prend la trousse noire située sous ma lampe de bureau et l'ouvre afin d'en sortir un crayon à papier. Réfléchissant à ce que je pourrais dessiner, je gribouille une esquisse rapide sur ma feuille, et laisse mon imaginaire m'emporter ...

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Un petit brouillon d'un Charmillon fait son apparition sur ma feuille de dessin, laissant seulement apparaître les courbes de ses ailes, de ses antennes et de sa tête. Les motifs légers et aériens du petit pokémon insecte sont magnifiques, formant un arc en ciel de couleurs entouré du gris de mon crayon. Je m'applique à colorier l'esquisse de la deuxième aile quand quelqu'un rentre dans la chambre. Je relève lentement la tête après avoir soulevé le crayon de la feuille, puis aperçois Absol ainsi que sa cousine.

- Qu'est ce que tu fais ? Me demande cette dernière.

C'est vrai que je suis partie rapidement, sans même leur dire pourquoi. En fait, il n'y avait aucune raison, j'avais juste envie de retourner dans la chambre. Charmillon s'approche lentement de moi tandis qu'Absol fais je ne sait quoi dans les tiroirs de son bureau ce qui a pour but de déranger ce qu'il y a dessus, il doit sûrement chercher quelque chose.

Charmillon se pose sur sur mon lit aussi gracieusement qu'un papillon puis vient, enfin essaie, de se placer à côté de moi. Étant mise dans la longueur du lit, les jambes ballantes de chaque côté de ce dernier et calée sur l'oreiller, je la regarde se placer. Je vais éviter de la faire galérer encore plus... Je prend donc mon élan, car oui il m'en faut, et me redresse vaillamment sur le lit, la main sur le front, droite et penchée légèrement, telle une soldat !

Charmillon m'ayant vu faire, m'imite et nous nous engageons dans un fou rire. Absol ne comprenant pas vraiment, se relève d'un coup et se retourne vers nous, le regard plein d'incompréhension.

- Vous m'expliquez ?

À sa question, mon fou rire qui avait diminué se remit à faire apparition de plus belle, et pour en rajouter une couche, Charmillon se remet à imiter le soldat qui s'avoue être très mal fait sous le coup du rire :

- Oui mon commandant ! Dit Charmillon avant de sombrer dans la folie avec moi.

- Mais vous faites n'importe quoi, affirme gentillement Absol en échappant un léger rire.

Après que notre rigolade fut terminée, je descend du lit, effaçant une petite larme à l'oeil. Je commence à ranger mes affaires sur le bureau puis prends rapidement mon carnet sur le lit, ainsi que ma trousse à dessin. Charmillon, qui doit sûrement avoir vu mon brouillon, affiche maintenant un large sourire de satisfaction sur son visage.

- C'est moi ça ? Demande-t-elle.

- Heu... bas oui.

- Mais c'est trop beau ! S'exclame-t-elle, non sans lâcher son sourire.

Personnellement je ne le trouve pas magnifique, mais je n'ai jamais aimé ce que je fais, je cherche toujours la perfection, ce qui me vaut d'ailleurs de ne pas savoir apprécier quand je réussi un dessin, seulement parce que je n'ai pas bien réussi telle ou telle chose. Pourtant, ce dessin, je le trouve bien fait, mais pas aussi beau que le dit mon amie, il n'est pas parfait.

- De toute manière, une fois terminé, je comptais le jeter. Je te le passerais si tu veux, dis-je en haussant les épaules.

- C'est vrai ?

- Bien sûr, que veux-tu que j'en fasse ?

- Merci ! Crie-t-elle avant de me sauter au cou.

Je suis contente que cela lui fasse plaisir. Derrière elle, Absol me regarde, avec un air agréable collé sur le visage.

- Qu'est ce qu'il y a ? Demandais-je, perplexe.

- Rien, tu devrais ranger tes affaires parce qu'il va bientôt être l'heure de manger.

Je me demande quelle heure il est, le soleil est pourtant toujours présent dehors ! Je prends brusquement mon téléphone, manquant de peu de le faire tomber, puis appuie rapidement sur le bouton de démarrage pour voir s'afficher : 18h47. Si je me rappelle bien, le repas est à dix-neuf heures, ce qui nous laisse largement le temps d'atteindre le self.

- Tu veux tout le temps arriver en avance, ripostais-je.

- Oui, mais ça nous évite de faire la queue.

Il n'a pas tort sur ce coup là, je déteste être toute serrée dans le couloir.

- D'accord, attendez moi trente secondes, dis-je alors qu'ils sont déjà devant la porte.

En même temps ils sont arrivés dans la chambre prêts et n'ont pas enlevé leur veste. Je prend donc rapidement la veste posée sur ma chaise, prend mon portable en manquant une seconde fois de le faire tomber et le range dans la poche interieure de cette dernière.

Enfilant mes chaussures et remettant rapidement en état ce qui me sert de cheveux, nous nous dirigeons ensuite vers le self alors que mon ventre gargouille. Toujours à l'heure celui là !

Obligés de passer par dehors, je m'attarde à regarder une sorte de mini-serre que je n'avais pas remarqué avant. Malheureusement pour moi, je n'ai même pas le temps d'essayer de voir ce qu'il y a à l'intérieur que Absol me tire de mes pensées observatrice :

- C'est pour aujourd'hui ou pour demain ?

- Je sais pas, tu as faim maintenant ? Demandais-je amusée.

- Maintenant, viens s'il te plaît.

Charmillon, ne ressemble vraiment pas à son cousin physiquement, mais ils sont comme deux gouttes d'eau au niveau caractère ! Calmes et posés mais savent rigoler et s'amuser.

Je me reprend et prenant mon air le plus normal possible, je rejoins les deux cousins un peu déçue. J'irais sûrement voir ce qu'il y a dans cette serre plus tard, pour l'instant, l'important est de rejoindre les autres. Nous traversons les couloirs clairs du self qui laissent transparaître la lumière du soleil, venant des vitres lavées depuis peu. Les murs, fraichements repeints de ce week end, donnent des couleurs vives et chatoyantes. Quelques gouttes de peintures parsèment ça et là le sol de marbre clair, que les agents vont sûrement changer bientôt.

Je prends un des plateaux gris empilés dans un coin et prend avec envie mon repas. Ce que nous mangeons aujourd'hui a l'air délicieux ! Redoutant le moment fatidique où je devrais chercher la table de mes amis, et où Raichu m'appellera sûrement assez fort pour que les autres me remarque, je prend mon plateau qui était posé sur les barres permettant de choisir son repas et me retourne vers le self.

Détaillant tout ce qu'il se passe autour de moi, je remarque avec plaisir que la pokémon feu que je déteste mange du côté opposé à la table des mes amis. Mes oreilles se tournent brusquement vers une voix que je ne connais que trop bien :

- Évolia !

Je me dirige d'un pas décidé vers mes amis qui n'ont pas l'air de remarquer les regards étranges des autres sur moi. Ma timidité qui avait pris possession de moi jusqu'à maintenant s'est échappée, je marche donc rapidement, sans baisser la tête, vers la chaise qui va me servir de place.

- Vous étiez où ? Demande Pikachu avec des pâtes plein la bouche.

Aucune personne présente sur cette table n'a l'air de se poser de question sur le pourquoi je suis parti, ils ont l'air de s'en ficher... tant mieux ! Ils veulent juste savoir où nous étions, c'est tout.

- Dans la chambre, dis-je un sourire de satisfaction au lèvres.

- Tu as l'air heureuse ! S'exclame Dracaufeu.

Sans blague, il n'imagine pas à quel point cela me fait du bien que l'on me fasse confiance ! Je prend délicatement ma fourchette dans ma main droite, et prend une bouchée de ce qui me sert de repas.

Vers ce qui doit être la fin du repas, en tout cas pour feunard, cette dernière doit passer devant nous pour débarrasser son plateau, malheureusement, ce qui devait arriver arriva : histoire de venir nous embêter, chose qu'elle n'avait pas fait du repas, elle fait tomber le reste de son plateau sur moi !

- PUTAIN ! Tu pourrais faire gaffe, non !? M'enervais-je.

- Oups, pardon, dit-elle en se mettant une main sur la bouche, sûrement pour cacher le sourire sur son visage, satisfaite de sa connerie...

Zen, respire, calme toi... putain de co... Je suis calme, c'est bon, j'ai juste envie de l'étranger. Elle se retourne en rigolant, suivie de ses pimbeches et de... Malosse. Ce dernier me lance un regard désolé avant de suivre le pokémon renard. Comment peut-on être aussi beau et gentil mais suivre quelqu'un comme ça ?

- Ça va ? Me demande d'une voix inquiète Charmillon.

- Oui, lui repondis-je encore dans mes pensées. Je vais débarrasser et aller me changer, à tout à l'heure !

- Attend, je viens avec toi ! S'exclame Raichu au dernier moment.

- Très bien les filles ! Rejoignez nous dehors ! Nous lance Pikachu.

Je n'ai pas le temps de répondre que Raichu me tire brutalement par le bras droit, m'entraînant brusquement dans le couloir pour debarrasser, manquant par la même occasion de me faire tomber moi et mon plateau.
Je me remet droite, arrange mon plateau et regarde Raichu, confuse. Ce qu'elle peut avoir un comportement bizarre parfois ! Mais attendez... et si ?

Puis, jetant rapidement un coup d'oeil dans le self, je peux remarquer en y prêtant attention que Dracaufeu est tout rouge ! Je le savais ! Je tourne doucement ma tête vers Raichu, esquissant un léger sourire sur mes lèvres, elle est comme son ami, rougie. Devrais-je dire ami ?

- Quoi ? Me demande-elle, perplexe en essayant de dissimuler son malaise.

- Rien, rien... prononcais-je en souriant toujours de sa discrétion.

Tout le monde dans le groupe est courant qu'ils s'aiment à part eux deux, ou alors ils le savent mais n'osent pas se le dire... pourtant, ils serait bien ensemble ! Je vais devoir user de ruse.

Nous allons donc dans la chambre et je chope quelques vêtements dans mon armoire afin de me changer. J'entre avec le tout sur mon bras dans la salle de bain et enlève mon T-shirt ainsi que mon pantalon afin d'essayer d'enlever les tâches. Heuresement Feunard n'avais pas de sauce dans son assiette !

Quand j'ai finis toutes mes affaires, je sort de la salle de bain changée et vois Raichu couchée sur son lit, un sourire dessiné sur son visage.

- Tu pense à quoi ? Lui demandais-je en rangeant mes affaires.

J'ai sûrement dû la surprendre, car elle se redresse brutalement sur son lit, manquant de tomber mais elle se rattrape rapidement à sa couette.

- À rien, ce n'est pas grave. Tu es prête ? Me demande-elle.

- Oui, on rejoins les autres, je pense qu'ils doivent nous attendre ! M'exclamais-je en prenant ma veste.

Elle me répond un "oui" assez bas, que j'ai du mal à entendre. Je sais qu'elle est mal, mais qu'est ce qu'elle peut avoir pour être dans cet état ? Prenant mon air le plus décontracté possible sachant que mon amie n'est pas bien, je la prend doucement par l'avant bras et la traîne dehors.

Le groupe est tranquillement assis sous le chêne habituel, ses feuilles vertes faisant de l'ombre à un sol jauni par le soleil. Ce dernier, assez bas dans le ciel, donne maintenant aux nuages une teinte orangée parsemée de tâches rosées ça et là. Je foule l'herbe encore fraîche de mes pieds puis vais m'asseoir, heureuse entre Absol et Pikachu, attendant patiemment leur petit grognement de mécontentement qui ne se fait pas attendre.

Nous discutons toute la soirée de tout et de rien puis rentrons dans nos chambre au couvre-feu, nous installant chacun sur notre lit afin de discuter tout en étant à l'aise. Venue l'heure de nous coucher, chacun de nous se roule dans son drap et essaie de dormir.

Pourtant, j'ai beau essayer je n'y arrive pas, trop de pensées occupent mon esprit, demain est un grand jour, pour moi, car pour certain ce n'est qu'un cours comme un autre, mais pour moi les combats seront une sorte de... je ne sais pas comment le dire... liberté ? Découverte de mes pouvoirs ? Une raison de m'accepter comme je suis à présent ? Tellement de choses me tracassent l'esprit, et à force d'y penser, je me fatigue peu à peu et finis par m'endormir...

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- Quoi ! Qu'est ce qu'il se passe !?

Me réveillant brusquement, je vois Raichu qui me claque les doigts devant le visage, comme pour me sortir d'une hypnose.

- C'est juste ton réveil qui a sonné, banane ! S'exclame-t-elle en rigolant. Allez, lève toi avant d'être en retard.

Je suis déjà assise sur mon lit, donc me réveiller ne va pas être trop dur. Pourtant, le moelleux de mon matelas m'appelle, il semble me demander de le rejoindre. Ma couette, encore en boule sur mes genoux, est chaude de cette nuit et j'aimerais tellement me recoucher... Évolia ressaisis-toi !

Je me met une claque si bruillante que mes amis se retournent vers moi, étonnés. Si ça continue, ils vont vraiment se poser des questions sur moi ! Je prends donc appui de mes deux mains sur le lit, puis après un effort surhumain je réussi à me lever de mon paradis.

- Merci... tu m'as arraché à l'homme de ma vie... dis-je d'une voix rêveuse à Raichu.

- Tu es en couple !? Me demande-t-elle avec de grands yeux ronds.

- Oui, mon lit... dis-je en esquissant un léger sourire.

Allez, c'est parti pour une journée bien remplie ! Comment ne pas être heureuse ? Savoir le programme de la journée me donne de l'énergie, me permettant d'ailleurs d'être prête avant tout le monde !

- Tu as été rapide ! S'exclame Dracaufeu.

- Heu... Ha ouais !

Raichu, ayant remarqué que Dracaufeu me parlait se met à rougir, elle est cramée ! Certaines personnes peuvent trouver cela bizarre d'être déjà autant amie avec des gens que l'on ne connais que depuis un peu plus d'une semaine, mais quand on dort tous ensemble dans la même chambre, qu'on est dans la même classe, qu'on mange ensemble... on devient ami très rapidement, voir même inséparables !

Je suis tellement pressée que le temps que finissent les autres, je prépare leur sac pour qu'on ne soit pas en retard, je suis plutôt stressée. Et si je n'arrivais pas à faire une simple attaque ? Je n'ai pas envie d'être moquée ! Puis, Feunard ne manquera pas de me le rappeler ! Pourquoi je pense à elle ? Ralala ! Je suis tellement stressée que toutes les questions et scénarios possible, ou pas, se font une place dans ma tête.

- Ça va ? Me demande Pikachu.

- Bas oui pourquoi ? Lui demandais-je en préparant le sac de sa soeur.

- Bas, tu a l'air stressée et puis, tu t'es levée très rapidement par rapport à d'habitude, surtout... tu fais nos sac quand même ! Me dit-il d'un air inquiet mais à la fois hironique.

- C'est rien, laisse tomber.

- D'accord, mais calmes-toi s'il te plaît, je n'aime pas te voir stressée, prononce-il en se retournant.

L'heure a tourné, et c'est maintenant le moment d'aller en cours. J'avance difficilement dans les couloirs, bordant les murs afin d'essayer de cacher mon anxiété. Le peu d'efforts que je fais se résume à marcher, tourner, regarder autour de moi si personne ne m'observe, me retourner, suivre mes amis. Je deviens une paranoïaque quand je suis stressée, j'ai l'impression que tout le monde m'observe et s'apprête à se moquer de moi. Oui, je suis parano.

Nous avançons peu à peu, nous rapprochant trop rapidement à mon goût du gymnase, pourtant assez loin des dortoirs. Prenant un virage à gauche dans le couloir du bâtiment C, nous nous retrouvons tout les sept dehors, sur un chemin de graviers menant tout droit au gymnase. Deux portes opaques et grises se dressent à présent devant nous, arrivés devant le grand bâtiment imposant.

Absol enclenche la poignée, révélant une grande salle de sport et un "waw" de la bouche de chacun de nous : les murs gigantesques semblent soulever un plafond blanc à l'allure imposante. La salle est très haute, comme les gymnases habituel, mais cette fois-ci, il est propre. Plusieurs portes se situent sur un pan du mur, donnant sûrement accès aux vestiaires et toilettes. Une sorte de géante estrade se situe tout à gauche du gymnase, et sur la droite, tout le matériel est rangé. Un mur d'escalade se situe sur le mur derrière moi et sur le sol est dessiné une multitude de lignes multicolores, indiquant les terrains pour chaque sports comme le basket ou le handball.

- C'est juste géant ! Commente impressionnée Charmillon en se soulevant légèrement du sol.

- Ouais, c'est tout simplement géant, on ne va pas se mentir, affirme son cousin.

- Je savais que certains gymnases étaient grands mais pas à ce point ! M'exclamais-je.

Je m'approche toujours aussi impressionnée des vestiaires féminins et pose à la rache mon sac sur un banc, puis sort de la pièce afin de rejoindre mes amis. Quelques personnes sont déjà arrivées, et le reste ne devrait pas tarder. J'observe rapidement l'estrade qui me paraît bien grande pour seulement faire des annonces.

- Il y a quoi sur l'estrade ? Demandais-je aux autres.

- Et bien, en fait j'en sais rien, me répond Dracaufeu embarrassé.

Tout le monde me regarde faisant un non de la tête ou en haussant les épaules.

- Vous êtes la depuis plus d'un mois et vous ne le savez pas ! M'exclamais-je ahurie.

- Bas, commence Raichu, en fait c'est que le gymnase n'était pas ouvert depuis que nous sommes là, on faisait sport dehors je te rappelle.

Cherchant au plus profond de mon esprit... non je rigole, juste en me rappelant de la semaine dernière, je me souviens que nous faisions Demi-fond, le sport que je déteste le plus.

- Et bas ? Venez ! Dis-je à mes amis en me dirigeant vers l'estrade.

Je gravis une à une le peu de marche me séparant de la révélation. Puis, regardant les lignes au sol, je peux voir que c'est un ... terrain ? Un terrain de combat pokémon ! J'en avais vu un en photo dans le manuel d'IPPC.

- Votre attention s'il vous plaît, dit une voix forte mais féminine dans mon dos.

Je me retourne et vois deux pokémon, un homme et une femme côte à côte. La première possède de raides et grandes oreilles rouge et porte sur ses avant bras une sorte d'armure de la même couleur. Deux grandes ailes d'avion à réaction se situent dans son dos et l'homme à sa gauche a les même caractéristiques qu'elle mais en bleu.

Je descend rapidement de l'estrade et vais rejoindre le groupe qui s'est formé autour des deux personnes. Je me fraye un chemin afin d'être avec mes amis et remarque que les deux personnes qui nous ont interpelé sont en fait des adultes.

- Bonjour tout le monde, nous sommes Latias et Latios, vos professeurs de combats pokémon !

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Alors, tout d'abord, j'aimerais dire à Joy360205 que je la ferais apparaître dans le prochain chapitre ! Comme ça tu le sait.

Ensuite, pour ceux qui veulent un passage, dites moi le pokémon que vous voulez et je vous trouve une place ! Parce que mon histoire ne se forme qu'au fil des chapitres, je ne sais même pas comment elle va terminer x)

Voulez-vous le point de vue d'une autre personne le temps d'un chapitre ou moins ? (Ou plus, qui sait ?)

Prochain chapitre samedi 23 ou avant !

Qu'avez vous pensé de ce chapitre ? Des suggestions ? Des idées ? N'hésitez pas à commenter et voter, ça me ferait vachement plaisir !

Morgane