suicide


Au creux de mon être, une douleur persiste,

 Comme une ombre familière, une compagne triste. 

Malgré les soins prodigués, elle demeure, 

Un écho silencieux, une pluie intérieure.

Les cicatrices parlent d'une nuit sombre, 

Où mon âme a frôlé l'abîme dans l'ombre. 

Les poèmes guérisseurs, tels des baumes, 

Chantent une mélodie aux douleurs qui résonnent.

Entre les lignes de ma vie, des vers écorchés, 

Des pétales tombés d'une fleur abîmée. 

Les larmes tissent une toile de solitude, 

Mais dans ce silence, germe une certitude.

Regardez-moi, dans l'aube d'une renaissance,

 Une lueur émerge, une danse d'espérance. 

La douleur persiste, mais dans la lumière,

Je me reconnecte peu à peu à la Terre.

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