Ma vieillesse à moi

Les épaules voûtées par les tristes années. Portant à bout de bras ces énormes trépas. A travers les nuages, voguant vers l'océan. Comme les yeux de l'enfant de la mer et du vent. Tellement de souvenir abandonnés au vent. Le corps léger mais l'âme en peine. Sombrant peu à peu dans l'oubli éternel

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