Essais de rupture
Nouvel air
Durant une belle journée d'été
Au sommet d'une montagne enneigée
Cherchant quelques notes du grand amour,
Ma quête s'arrête au pied d'une tour
Fort tour de magie, tu as disparu
Dans quelle sorte d'endroit trônes-tu ?
Tout en haut de ce pilier ?
Dommage, je ne suis qu'homme...
Monstre
Soixante
Un poids sur le cœur
Soixante
Un poids dans la tête
Soixante et un
Un poids sur le dos
Cinquante neuf
Un poison nerveux
L'aiguille bouge et je panique
Vais-je devoir me priver
Ou enfin me faire plaisir ?
Malbouffe sur gâteaux
C'est pas de la tarte t'as tout pris
Sans en laisser une miette
Comment peux-tu t'appeler humain ?
Comment pouvoir faire semblant ?
Déraisonnable faim
Ce n'est pourtant pas l'heure
De me mettre à table
Faim, la faim est là
La fin est proche
Je craque.
Je veux te parler
Je veux te parler
Entendre ta voix
Douce et familière
Pleine d'amour
Je veux te parler
Toucher tes doigts
Ces choses que tu sais faire
Pleines d'amour
Je veux te parler
Sous le même toit
Un moment éphémère
Peu m'importe,
Si ce n'est qu'amour
Chaines
Les larmes me viennent
Quand mon cœur se déchaîne
Quand je compte jusqu'à mille
Quand je marche sur un fil
Sors moi de cet au-delà
Quand toute cette eau me recouvre
Quand les souvenirs me trouvent
Je vais mourir dans ce fracas
Je ne sais plus où je suis
Je veux être dans un puits,
Je ne mérite plus rien,
Je ne ressens plus rien !
Sous un tas de chaines,
Menotté et bâillonné,
Ne plus avoir de peine
Ne plus avoir à penser,
Opposé
Tiraillé entre deux mondes
La paix et la solitude
La guerre et l'amour
Un sentiment de plénitude
Des émotions qui font la ronde
Quand mon monde ne tourne plus rond
Mes pensées et mes souvenirs fuient
Pour sauver la raison de celui que je suis
Colère
J'avais la flamme à la main,
Dans mon cœur et mes yeux,
Prêt à mettre le feu
Mais j'y songeais en vain...
Pourquoi faire souffrir quelqu'un,
Que j'ai tant aimé hier,
Qui a supporté mes misères,
En faisant part de son larcin
Je ne vais pas brûler tes ailes
Je ne te connais pas si faible
Si l'envie te vient d'en découdre,
Sache que je me sens comme la foudre
Cataclysme dans mon crâne
Quand tu chantes ces mots profanes
Je veux
Je veux que mon texte gronde
Sonde le monde,
Je veux qu'il résonne, sonne et tonne encore et forme un chœur
Qu'on puisse l'entendre sans tendre l'oreille
Je veux écrire une musique forte,
Qui passe à travers les lourdes portes
Que tu la reçoives jusqu'à sous ton toit,
Qu'elle reste imprégnée en toi.
-------------
Je commençais à avoir trop de poèmes non finis (ils datent d'il y a quelques mois, pendant ma période d'inactivité), mais ça me faisait de la peine de les supprimer, du coup je les publie ici, en une seule publication puisque se sont juste des fragments de poème que je ne me sens pas de continuer.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top