À peine une larme versé
Que le sang commence à couler
Je suis même plus étonné
De voir se liquide rouge se disperser

À chaque coup monté
Mon stresse ne fait que grimper
Et ça ne fais que réveiller
Une vieille bête égorgé

Le sang coulant sur mes bras
Toute ces marques gravé sur moi
Ne font que me rappeler tout ça
Et que finalement je ne suis rien

Je m'invente un sourire
J'essaie de me montrer normal
Mais qu'est-ce que rire
Dans ce monde sans morale?
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Petite parenthèse :
Ce poème est inspiré d'une connaissance et non de moi. Je ne me suis jamais faite du mal car cela me terrifie que l'une de mes amies le fasse. Elle a réussi à arrêter de mutiler sa peau mais avec des difficultés. C'est un sujet très sensible avec lequel on ne plaisante pas, ça peut être très obsessionnel. Pour toute les personnes qui ont pensés à ça, vous enlevez cette idée de votre tête sinon c'est moi qui vais le faire en vous l'arrachant! Pour toutes les personnes qui le font, je suis toujours ouverte et à l'écoute de tout problèmes..j'espère que vous arriverez à vaincre cette pensée si horrible..vous avez tout mon soutien!