Qu'ils soient pensés en cours de français, sur le chemin de la maison ou même en envoyant des messages, ces poèmes ont tous été imaginés en moins d'une minute Chronos, comprendra qui pourra.

/!\ N'hésitez pas à revenir sur ce chapitre après votre lecture, il sera souvent mis à jour /!\

Gai je ne suis pas,
Assoifé de bonnes nouvelles, le
Barouf seul de mes pas
Résonne dans le vide.
Invariable ambiance
Empathie traîtresse
La fin est proche.

Kamui, créature puissante
Aux jambes indétrônables.
Moyennant quelques divertissements, de
Un à dix
Il compte.

Mariée de force à l'abandon,
Au détriment de son bonheur
Elle ne veut plus que la liberté, plus de patron
La mort ne viendra pas, ce n'est pas encore son heure.
Yeux tristes cachés par un maudit voile
N'oublieront jamais de se tourner vers les étoiles.

L'amour est futile
Obstruant toute réflexion
Vorace d'attention
Été comme hiver, des cœurs il en brise.

L'important, c'est d'être encore là
Une vie à ne pas penser à l'arrêter
Mais la passer à rêver, profiter, aimer.
Idéaliser ton existence la gâchera,
Existe sans te mettre la pression.
Rien ne sert d'éviter à tout prix les punitions,
Enterre tes peurs, et plantes-y une graine de passion.

Sans être parti, je reconnais la mort
On n'oublie pas combien sont au-delà
Mais la vraie noirceur est ici-bas.
Battre l'autre, et pas que le corps
Recommencera toujours, partout
Éternel cycle faussement doux

Partir n'est pas la fin du chemin
Le cycle continue, l'eau finit par remonter
Une goutte voyage dans le monde entier
Il n'y a pas personne qui en connaisse la fin
Et personne pour narrer plus d'une étape.

Nous sommes ceux qui ont atteint les étoiles,
Une espèce qui a percé les nuages, la stratosphère.
Attention à ne pas se croire Dieu, maître de la toile.
Guérir l'ego humain amorcerait une nouvelle ère.
Elle les rendrait, peut-être, aussi libre que les nuages

Si je devais partir demain,
Où ? Peu importe.
La vie s'est offerte à moi,
En totalité, dans le meilleur et le pire.
Il est constamment l'heure.
L'autre est déjà mort, je suis prêt.

Grandir, ce n'est pas mourir.
A la place, il faut se découvrir.
Bon vent à tous ceux qui prennent le large.
Rien ne fait plus sens, mais il est beau,
Il est magnifique, le monde, même sur une barge.
Et puis, j'ai des choses à faire avant de monter en haut.
Le sens n'est pas là, il faut en créer un.

Tant de remords,
En une nuit, le tour de ma vie
N'y a-t-il rien d'autre que la mort
De certain, qui échappe aux avis.
Rien ne sert d'en avoir peur
Et même si demain sonnait l'heure
*
Moi n'existera plus quand elle sera là
Oui, tous, on lui échappera
Ressasons nos craintes des dangers passés
Tout compte fait, elles étaient plus grandes que les faits

By Ganubish, comme toujours.

Si mes acrostiches vous plaisent, n'hésitez pas à m'en demander des personnalisées en message privé. Si j'ai beaucoup de demandes, j'y consacrerai un livre.

***

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