Poème 9: Peur
Perdu dans un monde,
Où l'oubli règne en maître.
Il ne faut pas laisser paraître,
Nos mains tremblantes de terreur.
Quoi de pire que la peur,
Qui nous noues les entrailles.
Nous ne sommes jamais de taille,
Face à notre propre tombe.
Mains moites mains froides,
Nous supplions le ciel,
De nous donner des ailes,
Et faire face à la réalité.
Lorsqu'on se sent tomber,
Dans un gouffre profond,
On n'oublie ce qui est bon,
Et tout devient gris et fade.
Le coeur brisé,
En proie à la folie,
Toujours entouré d'ennemis.
La voix coincée et étouffée,
Ignorant ce qui s'est passé,
Durant les froids moment,
Où on était perdant,
Et d'où on soufrait du mal-aimé.
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