Vous volez le peuple et leurs souvenirs,
Comme s'il s'agissait de pièces d'or,
C'est pour construire votre monde, votre empire,
Que vous bâtissez sur des vivants, sur des morts.
L'extravagance de vos choix, de vos loisirs,
Exploite chaque muscles, chaque corps,
De tous ceux qui méritent de sourire,
Sans que vous dictez leur sort.
Vos mains serrées contre leur gorge fragile,
Vos griffes tranchantes contre leur peau mince,
C'est gens là sont plus de mille,
À être souillé par vos manies cruels de prince.
Les enfants ne jouent même plus aux billes,
Sans que vos longs doigts les évincent,
Et les petits gâteaux aux myrtilles,
Sont complètement exclue de votre province.
Vous tuez d'un simple geste,
Vous châtiez comme vous respirez,
Les vivants ne tombent pas de la peste,
Car c'est vous qui les envoyez s'enterrer.
Debout, dans le vent, il y a que vous et votre veste,
À genoux, sur terre, les autres se font piétiner,
Vous dites que c'est seulement un petit test,
Pour ceux qui ont osé vous regardez.
Vous êtes un extrémiste qui se croit honorable,
Vous êtes un richard qui croit beaucoup offrir,
Vous pensez que vous n'avez pas de semblable,
Et ignorez que tout autour de vous, c'est en train de pourrir.
Vous vantez que ce que vous faites est mémorable,
Alors qu'à la moindre occasion, vous n'ésitez pas à trahir,
Vous dites que votre vie est une magnifique fable,
Alors que votre peuple ne fait que souffrir.
C'est entouré de bijoux que votre vie se termine,
Dans un château vieux comme le monde,
Le peuple espère ne plus vivre dans la guerre et la famine,
Mais leur souffrance n'a pas terminé sa ronde,
Car vos trois fils ont copié votre mine,
Comme si les gènes continuaient une vague d'onde,
Les deux plus fous auront des idées grandissantes tel des vignes,
Et le dernier attendra que les coeurs glacés fondent.
Pour régner comme un roi bon, mais impassible, devrait régner.
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