L'oiseau qui chante et que l'on n'entend pas
L'oiseau qui chante et que l'on n'entend pas,
L'eau de la pluie qui nous mouille les bras.
La vallée tantôt dans l'ombre tantôt
Dans le soleil qui gomme les défauts.
Morsure du froid sur la peau, brûlante,
Qui atteint mon cœur et le désenchante.
Pensées qui s'envolent, vers le ciel des rêves,
Qui l'adoucissent, dans une joie trop brève.
Temps qui passe, trop vite ou trop lentement,
Temps qui passe, à l'insu des vieux enfants,
Temps qui passe, salvateur ou destructeur,
Temps qui passe, fait battre ensemble nos cœurs.
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