Si mes vers avaient du Zéphyr
Inné ; tout serait psalmodié;
En  A capella et en douceur
Si mes vers avaient du Zéphyr.

Dans vos âmes, j'allais mourir
Près de vous,près de vos pieds ;
Si mes vers avaient du Zéphyr
Inné ; tout serait  psalmpdié.

S'ils avaient du Zéphyr inné
J'irai souffler dans vos cœurs
J'irai aimé, j'irai donné ma lueur
Ô ! S'ils étaient du Zéphyr inné.

Tout serait doux , et psalmopdié
Aux mélancolies  des lecteurs.
Ô ! S'ils étaient du Zéphyr ailé
J'irai rafraîchir vos doux cœurs.

Si mes vers étaient du Zéphyr,
Du  vent doux,la brise  des marées
Seront enrôlés en vos faveurs ;
Si mes vers étaient du Zéphyr.

Ils voleraient au cimetière,
Des âmes sensibles inhumées
Elles verront une marrée lueur
Ô ! Du  vent doux,la brise des marées.

06/Avril/2029( à wandifa)
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Les amis de la poésie. Ça c'est une forme de triolet, une poésie créée par Théodore de Banville... j'ai juste suivis la forme , mes je n'ai pas respecté la règle tout au long du poème... voilà. Bonne lecture..
Seulement les deux premiers quatrains qui ont respecté la règle du triolet...des vers octosylabiques(v1&v4&v7 sont identiques, puis le vers2&V8 sont aussi identiques)....