Nature..

C'est en elle que je me suis façonné ;
C'est en elle que je me décor
Dans son état sublime multicolores,
Dont je me baigne en effet ;

Et que j'aime en toutes saisons.
Les jalons d'eaux font leurs parcours,
La nature porte ces raisons
Ces traces en tout lieux et pour toujours..

Rien n'y perd, tout se transforme
En elle donc je me suis faite.
L'homme, dans sa pénible quête,
Purifie et sali son âme.

Et la nature garde sa flamme
Mais l'homme en sa flemme
Veut détruire cette beauté vivante
Que je veux voir bien pérsistente.

Son parfum dans ma muse
Embaume mes nuits
Qui me portent refuges
Et qui conspirent à la vie.

Donc nature berce moi;
Berce moi, dans ton émois
Emmène mon cœur dans tes peines
Ouvre tes bras ta chaire et tes veines ;
Là,je peux voir ma maison
Rempli d'espoir que nous visons,
Dans une verdure d'horizons
Où j'espère recevoir mes oraisons

Funèbres ; Que son doux Zéphyr
Baigne mon lambeau fourure ;
Oh! Que son aire soit corps du Christ ;
Et que sa terre soit faite du vin du fils,
De l'homme l'éternel soupir
Qui existe déjà dans mon avenir;
Infini, qui fut et qui était hier
Une vie de grâce et de lumière..

Au fond d'elle , tout y est
Elle accepte tout comme innée;
Et son jardin verdoyant
Porte Accessoires aux vivants.

Et je vins et je m'assois tout le temps,
Sur cet bois géant couché
Où j'aperçus soleil couchant
Au fond des Ors perchés,
Dans son loge bleue fidèle
Avec mon regard solennel.

Ses lieux aux arbres touffus
Me servait douces ombres
Seul, dans son pénombre
Je regarde le moineau revenu

De son voyage hivernale,
J'entends le lion rugit à la grégaire;
Les chants nocturnes de la cigale
Faisait dansait l'héritage salutaire.

Puis je sentis,et j'écoutais
Une famille qui s'aimait
Au fond de son enceinte
Une autre en sa trompette.

Et puis une autre en fauvette
L'autre au bout de sa sauvette
Faisait une belle cachette.
O des âmes dans une tempête
Des hommes dans une adversité
Et la nature engendre
Des âmes sensibles et tendre
Dans une belle solidarité..

O douce nature, solidaire,
C'est toi donc l'homme sectaire ??
Mais pourquoi sommes-nous sanguinaire ??
Pourquoi te défaire ? O toi nature salubre.
Résistez! résidez ! Perdurez et rendez moi libre,
Aussi libre qu'une colombe au flot du ciel
Aussi libre,libre qu' au sens universel.

O berce moi poète laminaire
Occupe toi de l'agneau solitaire.
Toi mère de la saga folklore,
Verdoie toujours dans mon petit KOUBAFOR.

Allez! Donc verdoie pour toujours
Épouse le charme de la nuit et du jour.
Épouse tout ceux qui se sentent faner;
Vivez,vivez ! Toi mère des orchidées,
Allez donc et perdure
Ne laisse jamais choir ta verdure,
En été tout comme au printemps
L'automne ou l'hiver vivifiant
Occupe toi dès êtres vivants.

18,Avril,2019 a Thiès ( Sénégal)
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Et voilà je crois que c'est le poème le plus long avec 482(mots)..pour d'écrire la nature que j'aime tant surtout e. Hivernage... j'espère que cela vous a plu..???








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