La vie
Le poète laminaire
Le ciel est calme, mais luit par inquiétude
Je m'écris, je vie et meurs dans la solitude
Puis, je me languis seul dans le noir
On dirait, l'éclipse de la lune moire
Dans mon âme, je sens l'amère silence
Vertigineux des nuits privées de clémences
Sous un temps râpeux dont je m'égare
Sinueusement telle une allure
D'étoile détachée de sa vive clarté
Pour s'engouffrer dans l'obscurité ;
La vie n'est pas une lumière éternelle
Qui toujours béni ma case maternelle.
Tantôt oasis sèche dans le désert perdu
Tantôt le poète en des jours ternes et inconnus
Vit en reclus en cherchant une paisible nature
Qu'il désire embrasser de toute envergure.
Avril,2020
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