Enfance vs Jeunesse
C'est une vie du passé. Et comme tout un chacun l'enfance est morte; Quoique l'on puisse vivre encore. Elle est définitivement enterrée dans le royaume des enfants. Voilà qu'elle me manque toujours...et ma plume pour s'y plaindre..
Enfant, j'étais le petit moineau des marécages
D'hiver. J'étais au soleil du bonheur,
À la sainte lune éternelle lumière.
Et fière, étais-je au cœur des rivages.
Soleil m'acceuillait en sa douce lueur
Matinale.Et la nature en ses couleurs ;
D'hiver tiède,me berçait tel un ange,
Dans ses doux lambaux blancs en langes.
J'étais l'enfant des amours fous,
Une amitié au cœur doux,
Vient de me quitter hier
Dans une relation spectaculaire.
Ô enfance !ô enfance ! Ô enfance !
Mais pourquoi n'a tu pas de lisière,?
Pourquoi toujours, c'est toi qui tolère ;
Misérable jeunesse aux carences?
je ne suis plus moi-même.
Je m'écris dans un dilemme
Que je vois toujours parallèle
Et qui m'est toujours rivales.
Ô enfance!Ô enfance!Ô enfance !
Pourquoi m'as tu laissé,
Dans cette misère, alliance
D'une jeunesse ?N'as tu Pas assez,
D'armes,et d'argnes,Pour fouler
Jeunesse,avec un coup de fouet??
Ô enfance, au cœur fragile !
Amie de la maison d'argile.
Je me fie à la jeunesse morte
D'allégeance que je ne supporte.
Ô comme enfant,, j'étais heureux !
Et rêvais,
D'être un grand guerrier.
Et aujourd'hui mon égo inquièt
Je rêve de devenir poète
Des âmes sensibles muettes.
J'étais enfant du soldat.
Je chantais la vie.Ah !tout vivat!
Du côté heureux,au côté preux
J'avais le cœur digne au cieux.
Maintenant, l'enfance est morte,
Et jeunesse est à la morgue
Elle s'enivre dans la drogue
Je dirais même condamné Socrate
À boire cette cigüe
Je suis comme inhumé
Et pourtant, mon cœur bat ici bas,
Et mon esprit s'égare dans l'au-delà.
Regardez, cette risque à courir
Regardez le royaume où l'on peut
Perire,
Où moins de chance tu dors
Péniblement au royaume des morts.
La jeunesse d'une vingtaine
N'est pas celle d'une huitaine.
La première est migraine
La seconde est douce et sublime.
Ô enfance, dans les terrains de tournois,
Le football a déjà fait nos joies
Mais la jeunesse nous larmoie
Aveugle,on y glisse et surnois.
Dans cette vie, on est tous proie
De cette mer d'ange où l'on se noie
Voilà jeunesse comme elle charme,
Voilà comme elle est calme,
Telle cette eau douce
Qui tue dans le silence.
Enfance,nous avons plus d'chance
On était sous protection de la violence.
Nos mères étaient comme des miyelines
Pour éviter toutes délinquances
Juvéniles.
Dans jeunesse tout est aveugle
Dans enfance on est pas seul.
On est secouru dans le mal
Comme ces veaux qui meuglent.
À présent jeunesse a tout abîmé
L'enfance n'a pu demeurer.
Se rendre au royaume festival
N'est pas sortir du banal
Jeunesse.je veux m'y rendre
Et revoir si tout est tendre encore.
Recevoir son beau soleil d'or
Mais je ne peux réveiller l'arbre qui dort.
J'ai reçu un message au nord,
Hier jeunesse annonça sa mort
J'ai pleurer,Enfance,son deuil,
Hélas ! j'ai pas vécu ses funérailles.
Et quoique l'on puisse faire
Jeunesse est à l'envers
Quoique l'on puisse vivre encore
Enfance s'est vêtue du percale et dort.
18/02/2019 Thiès (Sénégal).
Une enfance joviale et digne que je ne verrai plus . Une enfance qui me manque toujours. Et voilà jeunesse qui prend place et qui me torture en toute silence.... Voilà ce que j'ai voulu expliquer tout au long du poème... Merci !! J'attendais vos commentaires et votes.. et c'est dédié a tout ceux là que l'enfance leur manque et que jeunesse culpabilise dans leur propre égo...
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