Pivot



Le coq craint les tempêtes et les revirements, 

Redoutant la capture et un peu d'amertume, 

Porté par la brise, il va là où va le vent.

Du grand honneur, le coq n'est que l'enfant posthume. 


Pas de ressentiments, je suis désabusé. 

La pluie noircit le coq qui survit sous la nue, 

J'ai quitté les pivots pour découvrir les blés,

Prêts à cacher de même mon corps étendu.


Cel.

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