«𝑇𝑢 𝑣𝑎𝑠 𝑡'𝑒𝑛𝑑𝑜𝑟𝑚𝑖𝑟 ?»
_ Vieux con.
Enfin, quand il ne reste plus que le silence dans la pièce, pour accompagner le souffle à peine audible de leurs respirations synchronisées, le calme se réinstalle doucement, comme une vague tranquille effleurant leurs peaux et enveloppant leurs corps.
Tout autour d'eux, la bulle ainsi créée semble flotter, à fleur de leur étreinte, éloignant le reste du monde et du décor.
Izuku se questionne encore quelque peu, bien que la bouche fermée, la poitrine apaisée et les muscles détendus.
Finalement, plus il avance plus il lui semble ne pas savoir où il va, mais s'il est sûr d'une chose, c'est qu'il y va.
Parce que surtout, plus il avance plus il s'aperçoit qu'il ne veut pas faire demi-tour.
Pour rien au monde il ne ferait machine arrière, non, même pour tout l'or de l'univers, même contre les secrets du ciel, ni en échange de tous les pouvoirs de l'espace.
Quand il se voit ici, maintenant, dans les bras de Katsuki, et quand il sent cette chaleur griser son âme, il sait que rien ne pourrait valoir cet instant, ce moment, cet amour.
Les mains de son amant parcourent sa peau, la pulpe de ses doigts cherchent, un à un, chacun de ses points sensibles.
Les caresses de Katsuki, calmement lové contre son torse, explorent ce nouveau terrain de bonheur et de plaisir.
Le long de ses flancs, sur les reliefs de son ventre tendre et la ligne centrale de son abdomen, il fait apparaître les frissons.
Ses mains sont chaudes, et chaque caresse semble déposer un filet de protection sur le corps d'Izuku.
Et Izuku s'interroge encore.
Quand a-t-il ressenti, pour la dernière fois, ces sentiments de sérénité, de sécurité, et cette implosion cardiaque qui fait bouillir sa poitrine ?
Il remonte en arrière en fermant les yeux, ses souvenirs se dévoilent en même temps qu'il se laisse bercer par ces doigts sur son corps, qui l'invitent ouvertement à se calmer, à s'apaiser.
Il passe en revue les premières années de sa vie, celles dont il peut encore se souvenir, et en dépit de tout l'amour qu'il vouait à sa mère, la sécurité et la sérénité ne faisaient pas partie de sa vie.
Il se rappelle de ces nuits d'anxiété, le ventre presque vide, la faim tiraillant son estomac, à se demander quelles horreurs il devra affronter le lendemain à l'école.
Sur une chaise à côté de son lit, une petite pile de vêtements, les seuls qu'il possédait.
Il observait ce tas de tissu, envieux des belles tenues de ses camarades, et en même temps si reconnaissant envers sa mère de veiller à ce qu'il soit toujours couvert, même quand cela lui coûtait trois repas en moins.
Et puis, il rejoue la scène de ce jour où, vidé de tout amour pour cette vie, baigné d'insécurité et d'angoisse, il a préféré secouer le drapeau blanc et cesser de se battre.
Il la revoit très nettement, cette voiture noire.
Sur le bord de la départementale, il la suivait du regard alors qu'il devinait sa vitesse suffisamment élevée pour ne lui laisser presque aucune chance.
Son cœur battait fort, animé par un simple réflexe reptilien, et l'adrénaline envahissait ses veines.
Son instinct de survie crevait déjà de peur, mais lui .. lui ..
Ce qui lui faisait peur plus que tout le reste, c'était cette vie, ce monde, et cet avenir sans lumière que lui promettait son quotidien actuel.
Alors, même si le petit enfant au fond de lui tentait de le faire reculer, il n'a plus réfléchi.
Trois pas en avant lui ont suffi pour s'installer sans violence sur le trajet de cette voiture, et il a presque eu le temps de lire la panique dans les yeux de son conducteur.
Un crissement de frein violent et strident a perforé ses tympans, son cœur battait si fort, si vite.
L'impact n'a duré qu'une seconde avant qu'il n'en perde la suite des souvenirs.
La douleur n'a même pas eu le temps de l'atteindre, il se souvient simplement du contact brutal du métal heurtant ses côtes, juste avant d'entendre ses os se déboiter.
Puis le silence.
Enfin ...
Il faisait noir, il faisait nuit, une nuit sans étoile, sans lune et sans bruit.
La sérénité, enfin.
Son cœur ne résonnait plus nulle part, mais dans tout cet apaisement, aucun amour n'est né.
Même pas celui de cette supposée mort, non, son âme était bien trop vide pour aimer quoi que ce soit.
Ni la douleur, ni la sécurité,
Ni la vie, ni la mort,
Ni le vide, ni la foule.
Et puis sa mère est partie, la mort s'est esquivée avec elle, le jour est revenu.
Et avec la lumière, le soutien de monsieur Iida s'est installé dans son existence.
Pour la première fois, il découvrait la sécurité, l'impression d'être guidé, orienté, accompagné.
Cet homme lui a fait découvrir ce sentiment là, celui de ne plus avoir peur du jour suivant.
Mais où était l'amour ?
Et la sérénité ?
Pouvait-elle faire partie de son quotidien après le départ de sa mère ?
Son corps se réparait au fil des séances de rééducation, mais son âme, elle ..
Un jour, un après-midi comme ça, comme un autre, comme n'importe lequel, Hanta s'est pointé tel une fleur.
Avec sa belle gueule, ses cheveux longs et son sourire sans frontière.
Avec ses bras chauds, sa posture de confiance et son corps délicat.
Ah, l'amour il l'a découvert ici, avec lui.
Celui avec un A majuscule, avec les papillons dans le ventre, avec le feu sur la peau et le désir dans la gorge.
Dans l'appartement de ce garçon à la voix envoûtante, ils ont fait l'amour dans tous les coins possibles.
Il jure que tout le mobilier y est passé, même la table basse et le meuble télé.
La rampe d'escalier, l'évier et le vaisselier.
Mais aussi longtemps qu'à duré cet amour, avant de se délaver progressivement, Izuku n'a jamais su apprendre à cohabiter avec le départ de sa mère et ses traumatismes d'insécurité.
Il se contentait de les pousser sous le tapis, dissimulant la poussière en priant pour que personne ne vienne la remuer.
Alors tout en veillant sur ces moutons de saleté, il se privait de sa propre sérénité, n'autorisant personne à s'approcher de sa petite zone de secrets pourris.
Et Katsuki est arrivé.
Il a débarqué en bousculant ses principes, et surtout, il est venu sans vergogne mettre un coup de pied dans son foutu tapis.
Pour sûr qu'il a remué la poussière, il l'a secouée, bien éparpillée et étalée devant lui. Puis l'a obligé à la regarder, à accepter sa présence dans sa vie pour apprendre à exister avec elle.
Izuku a pleuré, il a pleuré et il a tremblé, mais à chaque fois qu'il a essayé de rassembler les miettes et de remettre le tapis dessus, Katsuki ne l'a simplement pas laissé faire.
Et c'est drôle comme, après avoir déclenché tant de larmes et de peur, il a su faire de ce chantier un véritable nouveau départ.
Apprend à vivre avec les éclats et les fissures de toi-même et, au lieu d'avoir à les cacher minutieusement chaque jour, tu sauras qu'ils font partie du tableau, de l'oeuvre, et qu'ils la rendent plus belle dès lors que tu cesses de vouloir les faire disparaitre.
Et soudain, voilà que tout est là.
La sécurité de sa vie, celle qu'il a su rebâtir sur les ruines de l'ancienne, l'amour qu'il porte à cette existence et à ce garçon qui fait frissonner son dos, et la sérénité de son esprit maintenant qu'il sait conjuguer son passé et son présent.
Qui aurait pu prévoir que le bonheur arriverait avec un étudiant de dix huit ans, au hasard d'un soir comme un autre, alors qu'il ne l'attendait même pas ?
_ Tu vas t'endormir ? murmure la voix de Katsuki dans son oreille.
_ Non.
Non, mais il le pourrait volontiers, et alors que Katsuki dépose un baiser aussi sauvage que discret sur la courbe de son épaule, un soupir d'aise traverse ses lèvres presque closes.
Izuku se questionne encore, il se questionne toujours, mais aucune appréhension ne saurait être plus puissante que cette relation nouvelle.
Et comme pour se le prouver encore davantage, il ouvre les yeux pour poser son regard sur le visage de ce magnifique amoureux.
_ Viens par là. relance t-il en l'invitant à prendre place sur son bassin.
Obéissant, Katsuki n'en attend pas plus pour s'asseoir sur ses hanches.
Le dos légèrement courbé en avant pour ne rien perdre des nuances de ses iris, il profite de cette hauteur pour admirer son torse, ses épaules et le tressaillements des muscles discrets de sa gorge.
_ Tu dois rentrer pour quelle heure ?
_ Vingt deux heures.
Un calcul rapide dans sa tête suffit à Izuku pour estimer le temps qu'il leur reste ce soir et, en même temps que l'explosion de ses envies secoue son ventre, il place ses deux mains sur les cuisses de Katsuki.
Ils ont encore du temps devant eux.
Alors la caresse de ses paumes remonte le dessin de ses hanches toujours nues, effleure le creux de ses reins, puis s'invite juste sous son diaphragme.
Du bout des doigts, il parcoure la forme de ses muscles, bien plus marqués que les siens, épouse les reliefs de sa peau autour de son nombril.
Enfin, sans quitter des yeux l'océan de lave de ses iris, s'accrochant de toute ses forces à ses pupilles imprégnés de feu, le chemin de ses mains se poursuit aux abords de son pelvis, frôlant en silence les courbes de ses fosses iliaques.
Lentement et sous l'effet de ses caresses, Katsuki ralentit le rythme de sa respiration à mesure qu'une nouvelle érection naît, aussi incontrôlable que délicieuse, à l'approche de ces doigts qui menacent fiévreusement de venir la toucher.
Il n'attend même que ça, mais Izuku semble décidé à étirer son désir jusqu'à son point de rupture, continuant de jouer avec la peau de ses cuisses et de son ventre en ignorant volontairement son sexe de plus en plus dur et demandant.
Aussi, entre ses jambes et juste en dessous de ses fesses, Katsuki sent l'excitation de son amant grossir et se presser contre lui, et le contact quasi direct de cette verge entre ses cuisses affole davantage ses sens.
Il voit, dans les yeux d'Izuku, que celui-ci prend beaucoup de plaisir à le regarder se languir, et comme si le moindre tressautement de son visage excité le rendait encore plus fou de lui, il scrute chacune de ses réactions à chaque passage de ses mains à proximité de sa verge gonflée.
Tout à coup, il fait très chaud dans sa bouche, dans sa gorge et sa poitrine.
La température dépasse les limites de ce que son corps devrait pouvoir supporter, et ses côtes se mettent à vibrer.
Il pince ses lèvres, mord sa propre bouche, puis baisse enfin les yeux sur les caresses qui lui font perdre la tête.
Tout en bas de son ventre, là où se dresse une érection impatiente, les mains d'Izuku se baladent éhontément autour d'elle sans daigner lui accorder un contact, et désormais, partout où il passe, sa peau s'embrase.
Il tremble, il brûle, et même sa propre respiration irite ses cordes vocales.
_ Touche moi. supplie t-il comme on réciterait une prière.
_ Je te touche. nargue Izuku, jouant sur le sens de ses mots.
_ S'il te plaît ..
À son tour, Izuku dirige un instant son regard vers ce sexe qui n'en peut plus d'attendre, et un prisme d'excitation encadre ses pupilles.
Et puis, peut être parce que sa propre patience atteint aussi ses limites, il relève les yeux vers le visage de Katsuki, capturant ses iris fiévreux, en même temps qu'il effleure enfin le sommet de sa verge prête à exploser.
Les paupières de Katsuki se ferment d'elles mêmes quand un soupir de libération déchire son souffle, tandis qu'Izuku lui offre désormais les caresses qu'il espérait.
La paume chaude se referme doucement autour de son gland, descend jusqu'à la base de son pénis pour mieux remonter ensuite, et Katsuki lève le nez au plafond quand le mouvement devient de plus en plus régulier.
Le plaisir hurle sous sa peau, et la sensation grisante se répand, comme une traînée de poudre, à travers son abdomen entier.
Une minuscule étincelle suffirait à le faire s'embraser d'un seul coup, et la menace délicieuse d'un orgasme puissant le rend soudainement si fragile et fébrile.
De son autre main, Izuku l'attaque amoureusement en ciblant son torse, approchant un doigt humide et provocateur de son téton.
Jouant avec pour le faire durcir lui aussi, il gémirait presque du plaisir de voir Katsuki en prendre.
Un moment, son index taquine la pointe rose de ce mamelon désormais cerné de frissons, avant qu'un nouvel élan ne l'incite à changer de méthode pour faire tourner la tête de son amant.
Subitement mais pas brutalement, il redresse le haut de son corps, poussant celui de Katsuki en arrière, lui intimant d'échanger leur position pour un nouvel assaut.
Couchant l'étudiant sur le dos, puis passant entre ses jambes qu'il ouvre pour s'y inviter, il s'emploie fiévreusement à embrasser son torse, la frontière de son diaphragme, et la ligne descendante en dessous de son nombril.
Les bras écartés, la gorge en fusion et la bouche ouverte sur ses propres soupirs, Katsuki ouvre les yeux sur le plafond blanc quand les lèvres d'Izuku épousent soudainement la forme de son gland.
La caresse buccale s'élargit quand il fait entrer sa verge presque entière dans sa bouche, et sa langue se mêle au jeu pour lécher ouvertement les zones les plus sensibles de son érection. Sa salive s'étale le long de son sexe droit, et plus Izuku s'attarde sur cette fellation plus chaude que le fond des enfers, plus Katsuki voit l'étincelle se former dans son ventre.
Et soudain, un désir supplémentaire s'ajoute au futur brasier de son corps.
Il prend tellement de plaisir, il pourrait presque en crever sur place, mais ce qui l'excite encore plus maintenant, c'est l'idée d'entendre, lui aussi, les gémissements inondés d'envie d'Izuku.
Alors, avec tous les efforts que ça lui demande, il se redresse lentement, captant pleinement le regard aguicheur de son amant, dont la bouche suce encore son gland.
Détacher ses yeux de cette image lui demande réellement beaucoup de courage mais, avec de la détermination, il invite Izuku à s'éloigner un peu pour lui proposer un nouveau jeu.
Sans parler, parce qu'il lui semble étrangement que les mots risqueraient de briser l'harmonie de leurs corps, il l'attire d'abord à sa hauteur pour embrasser sa bouche encore humide.
Ses lèvres bougeant contre les siennes, il lui transmet silencieusement tout l'amour et toute la passion qu'il fait éclater dans sa poitrine.
Naturellement, Izuku s'agrippe à sa nuque, s'abandonnant réellement pour la première fois à leur communion, tandis que Katsuki glisse ses deux mains dans ses cheveux, s'accrochant à lui comme on le ferait à une balise de détresse.
La poitrine de Katsuki s'agite de milliers de Je t'aime qu'il ne prononce pas, mais qui cognent son cœur et pulsent dans son sang.
Des centaines de milliers de mots d'amour sillonnent ses veines, juste sous sa peau, hurlant des sentiments pour lesquelles il n'existe même pas d'expression orale.
Et il ne réalise encore qu'à moitié que ses mains caressent cet homme qu'il a tant fantasmé, désiré, et qui a fait naître en lui des sensations jamais imaginées.
Alors, quand les baisers ne suffisent plus, ses doigts s'immiscent sous le boxer d'Izuku, tirant dessus pour le faire descendre, et amenant ainsi son propriétaire à s'allonger à son tour.
Puis, dès lors qu'il peut de nouveau le voir nu, il s'attarde un instant sur l'ampleur de son érection jusque là restée cachée.
Et s'il n'en disait rien, se contentant de satisfaire Katsuki, les perles humides qui mouillent déjà sa verge témoignent de son infernale excitation.
Heureusement pour lui, il ne va pas le laisser comme ça.
Tendrement, Katsuki caresse son abdomen du plat de sa main, s'assurant de son confort dans sa position étendue sur le dos, avant de prendre place à son tour.
S'installant à côté de lui dans le sens inversé, tourné sur son flanc et le visage à hauteur de son bassin, il s'étire rapidement au dessus de ses hanches pour faire entrer ce sexe dans sa bouche.
Placé dans ce soixante neuf légèrement revisité, il joue à son tour avec sa langue, sa salive et le rythme de ses mouvements.
Enfin, il ferme les yeux pour se concentrer sur les gémissements de son amoureux.
Soupirant d'un plaisir trop longtemps repoussé, Izuku tourne la tête pour faire face à l'érection toujours présente de Katsuki, qu'il prend dans sa main avant d'en lécher l'extrémité.
Sa respiration brûlante se mêle à sa salive et à sa langue sur les veines marquées de l'intimité de l'étudiant, qui s'applique lui aussi à lui faire prendre du plaisir entre ses lèvres et son palais.
À deux, les gémissements prennent plus d'ampleur, ils s'élèvent dans la pièce, viennent se coller au plafond, et plus rien ne saurait freiner leurs désirs.
La maison pourrait bien s'effondrer, prendre feu, exploser ou se disloquer, la terre pourrait trembler et le ciel pourrait bien tomber .. ils ne pourraient assurément pas s'arrêter de se faire du bien, parce que l'étincelle s'est changé en flamme, et dans leurs ventres, la poudre incandescente les consume de l'intérieur.
Plus rien d'autre que les vibrations de leurs cordes vocales ne les atteint quand l'extase se présente subitement.
Bien qu'à quelques dizaines de secondes d'intervalle, ils jouissent l'un contre l'autre, agrippés et transpirants, le souffle court, le corps étrangement plus léger qu'une goutte d'eau.
Enfin, affalé et l'esprit dans le brouillard, Izuku essuie brièvement sa bouche en fixant vaguement le plafond, la vision trouble sans s'affoler de l'état de ses draps qu'il va devoir changer.
Katsuki, dans le même état, fait toutefois à peu près l'effort de se retourner pour se remettre dans le même sens que lui, les bras écartés en étoile et les lèvres à moitié ouvertes.
_ J'ai chaud. geint Izuku, sentant la sueur investir son front.
_ T'es trop vieux pour ces conneries ? se moque gentiment Katsuki, avant de tourner la tête pour éviter le revers de main qui lui tombe subitement dessus.
Un rire sincère les secoue doucement avant un nouvel instant de calme, qu'Izuku finit par briser en cherchant le regard de son amant.
_ Douche ?
_ Douche !
Les heures passant, Katsuki sait qu'il sera bientôt le moment pour lui de rentrer.
Alors, avant que cette soirée hors du monde ne prenne officiellement fin, il compte bien ne pas en louper la moindre seconde.
Il ne lui reste plus qu'une poignée de minutes, mais finalement ..
Il sait aussi désormais que toutes les journées à venir seront aussi incroyables qu'aujourd'hui, et ce qu'importe les étapes et les obstacles qu'ils devront encore traverser.
Oui, il reste encore des obstacles.
Ce n'est pas pour autant qu'il les craint.
Encore moins maintenant ...
_________
Hellooo
Comment allez vous ?
Alors, c'était pas du tout prévu qu'un deuxième lemon apparaisse aussi vite après le précédent, mais il s'est pointé tout seul sur mon clavier et j'ai perdu le contrôle 😂
J'espère que vous avez apprécié quand même ce chapitre malgré tout important dans le développement d'Izuku, et je vous envoie plein plein de bisous d'amour ❤️
Prenez soin de vous ❤️🦩
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