‹‹𝑇'𝑎𝑟𝑟𝑒̂𝑡𝑒 𝑝𝑎𝑠 ! ››

Ses paupières s'agitent machinalement quand son front se plisse légèrement, en même temps que, à l'intérieur de lui, la sensation de pénétration, si fine soit elle, bouscule ses sens et ses réactions.

En premier, l'inconfort le plus total qui le fait souffler et grimacer.
Ses genoux se crispent par automatisme, et la peur de la déception s'empare de lui.
En entrouvrant ses yeux, il cherche à se rassurer, espérant que ce malaise physique ne soit que temporaire, et qu'il n'ait pas à ce point brûlé d'impatience pour une expérience qu'il n'apprécie finalement pas.

En deuxième, le picotement relativement désagréable que font courir les phalanges de l'index d'Izuku quand elles s'enfoncent lentement.
Quelque part à mi-chemin entre la brûlure et la démangeaison, la gêne se propage jusqu'au centre de son ventre, et une seconde grimace s'invite sur ses lèvres.

Izuku, attentif et méticuleux, a laissé de côté le sexe tendu de son amoureux pour se concentrer exclusivement à sa préparation.
Ainsi, en se rehaussant légèrement pour mieux observer son visage, il adapte la cadence de ses gestes aux rictus qu'il constate.

_ Ça va ? interroge t-il, devinant Katsuki complètement déboussolé.

_ C'est... Bizarre.

_ C'est normal.

Légèrement rassuré, Katsuki fait confiance à sa parole pour tenter de se décontracter autant que faire se peut.
Acceptant l'inconfort du moment, il prend une large inspiration en détendant les articulations de ses jambes crispées.

_ Mais on peut arrêter si tu le sens pas. ajoute Izuku après une seconde.

_ Nan.

Il lui fait confiance, comme depuis le début, et il se persuade que le meilleur est à venir.
Il doit simplement, même s'il n'est pas très doué pour ça, se montrer patient et accepter qu'il ne peut pas obtenir tout tout de suite.
Le plaisir viendra.
Il viendra.

Il viendra forcément puisqu'il s'accompagne d'Izuku.
Non ?

En attendant, ce dernier ne bouge plus à l'intérieur de lui, laissant le temps à son corps et à ses muscles de se faire à sa présence.
Aussi, pour adoucir le silence et le flottement incertain qui alourdit l'atmosphère, il s'incline à nouveau pour déposer un baiser sur le torse de Katsuki.
Aussi, et pour l'aider à se défroisser et lui permettre de mieux supporter l'inconnu, il s'amuse à solliciter les zones sensibles de ses tétons.

Promenant sa langue dessus, refermant ses lèvres autour de leurs pointes pour les sucer lentement, il se félicite en constatant l'efficacité de son petit jeu quand la respiration de Katsuki se saccade à nouveau.
Quelques soupirs de satisfaction et d'excitation quittent fiévreusement sa gorge, accompagnés d'un ou deux gémissements pas franchement refoulés, et autour de ses phalanges emprisonnées, il sent les muscles internes se desserrer progressivement.
Alors pour ne pas perdre le rythme, il continue de lécher sa poitrine jusqu'à la sentir se soulever de la surcharge de plaisir qu'il lui donne.

Sur les draps, Katsuki serre les dents tant la sensation qu'Izuku impose à ses tétons durcis le fait bouillir à nouveau.
Sa langue chaude et humide qui se couche dessus et tourne autour, ses lèvres qui se referment et se frottent, et son souffle frais qui fait apparaître les frissons mettent tout son corps en émoi.
Sans avoir à y penser ou à faire d'efforts, il s'abandonne naturellement à la bouche et aux mains de son petit ami, et il ne sursaute presque pas quand, en lui, l'index se remet à bouger.

Ainsi, trouvant une position qui se veut la plus confortable possible, Izuku continue de faire aller et venir ses phalanges entre ses jambes tout en absorbant la distance qui sépare son corps de celui de Katsuki.
Puis, logeant son visage dans le creux de son cou, il fait résonner sa respiration contre sa gorge.
Aussi, et pour accueillir son souffle et ses baisers près de sa carotide, Katsuki lève la tête en plongeant sa main dans les cheveux bouclés de son amant.
Les yeux tout juste ouverts, il se découvre enfin un nouveau plaisir, et tandis qu'Izuku s'applique à le lui donner, il peut désormais sentir son ventre se mettre à vibrer.

La sensation ne ressemble à aucune autre et, s'il ne saurait pas la nommer, il peut dire qu'elle diffuse en lui une immense vague d'euphorie qui trouble sa vue et fait saliver sa bouche.
De plus en plus précisément, il parvient à sentir les mouvements qui, à l'intérieur de lui, l'électrisent à chaque fois que la main d'Izuku butte entre ses jambes.
Du reste, le rythme de la pénétration s'accélère progressivement, suscitant toujours plus de soupirs dans sa gorge.
Instinctivement alors, il s'agrippe plus fort à Izuku, verrouillant ses bras autour de ses omoplates comme s'il craignait de le sentir disparaître d'une seconde à l'autre.

_ Ça va ? sollicite ce dernier une nouvelle fois.

_ T'arrête pas !

Sans le voir, il l'entend sourire dans son cou, puis s'agiter légèrement comme pour rectifier sa position.
Puis, venant amoureusement embrasser sa joue, Izuku invite son majeur à rejoindre les phalanges de son index.
Désormais à deux doigts, il promène encore les caresses de ses doigts à l'intérieur de son amant, qui s'apprête sans le savoir à découvrir -encore- un nouveau palier de plaisir.

Orientant légèrement l'angle de ses gestes vers le haut, Izuku cherche la présence discrète de sa prostate pour la stimuler, faisant ainsi naître en Katsuki un gargantuesque déferlement d'exaltation.
Jouant méticuleusement avec le petit organe érogène, il l'excite et l'aguiche jusqu'à sentir, soudainement, son petit ami se cambrer en dessous de lui et planter ses ongles dans la peau de ses épaules.

Un grésillement gutural franchit en même temps ses lèvres ouvertes, faisant trembler ses paupières et interrompant sa respiration.

Katsuki, les jambes écartées, perd subitement la tête, noyé par l'effervescence des sensations qui se multiplient dans son ventre et sa poitrine, se répandant sans limite à l'image d'un troupeau de bêtes sauvages.

Il gémit.
Et plus il gémit, plus Izuku renchérit, et plus il renchérit, plus Katsuki se laisse submerger par la boule de feu qui remonte sa gorge, brûle son palais et assèche sa langue pour le forcer à faire brutalement et bruyamment jaillir sa voix.
Soudain, la tête lui tourne, le vertige le saisit et tout son décor semble flotter autour de lui.

Ses jambes tremblent et s'agitent sans qu'il ne les contrôle, comme secouées par une interminable décharge électrique qui foudroie son corps sans répit.
Il respire fort, ses poumons grésillent, ses bronches sifflent, ses lèvres brûlent et ses yeux piquent.
D'un mouvement après l'autre, Izuku fait rugir son ventre et sa gorge, il soulève des vagues entières d'effervescence, qui a leur tour déversent en lui d'immenses flots d'extase.

Il ne sait plus ni parler ni compter.
D'ailleurs, impossible pour lui de déterminer le nombre de doigts qu'Izuku balance entre ses jambes.
Toujours deux ? Ou bien trois ?
Peut être plus ?

Il fait si chaud sur sa peau qu'il se sent fondre, s'effriter, s'émietter, comme le temps qui se désagrège.
Et tandis qu'il perd la tête, il s'accroche maladroitement aux draps sur lesquels il se trouve, serrant ses poings sur le tissu alors que, subitement, une étrange sensation vient se répandre sur le bas de son abdomen.

Il inspire.
Cligne des yeux.

Il vient d'éjaculer ?

Même dans cet état quasi second, perdant conscience d'une grande partie de son corps, il demeure certain qu'Izuku ne touche plus son sexe depuis plusieurs minutes au minimum. 
Pourtant, il aura réussi à provoquer cette réaction à laquelle il ne s'attendait pas, et qui soudain le rend vaseux, à moitié éteint et à moitié euphorique. 
Son ventre qui colle le ramène partiellement sur Terre, et comme pour s'assurer qu'il ne rêve pas, il gigotte discrètement en fronçant les sourcils. 
En même temps, il sent les caresses d'Izuku s'interrompre, puis ses doigts sortir entièrement de lui pour se redresser et l'observer, le souffle raccourci par l'excitation qui, quoi qu'il en soit, ne cesse de grandir.

_ Ça va ? l'interroge Izuku en analysant l'expression de son visage.

En dépit de cette étrange sensation, qui lui donne l'impression que son corps vient de se transformer en gelée, Katsuki se sent assurément bien.
Formidablement bien.
Extraordinairement trop bien.
Pour cause cette gargantuesque vague d'extase qui emplit chaque vaisseau de son être, qui s'invite jusque dans les plus petites capillaires de son organisme, et qui fait monter jusqu'au sommet de son crâne une infinité de frissons de plaisir.

Aussi, à la manière d'un tremblement de terre qui brouille toute son âme, il voit ses émotions se mélanger, interférant les unes avec les autres pour ne plus ressembler qu'à un tas de réactions aussi aléatoires qu'inexplicables.
L'envie de rire aux éclats et de pleurer des litres d'eau s'entrechoquent, la sensation de chaud et de froid se disputent sa peau, tandis qu'il suffoque tout en ayant l'impression de n'avoir jamais aussi bien respiré de sa vie.

_ Oui. Ça va. articule t-il difficilement.

En tournant la tête, la sensation d'humidité dans son cou lui fait réaliser la présence abondante de transpiration contre sa nuque.
Il tremble d'être à la fois gelé et brûlant, et comme s'il n'était pas déjà pleinement conscient de l'orgasme qui vient de traverser sa poitrine, son corps le lui rappelle une dernière fois au travers d'une ultime décharge électrique qui s'en vient mordre son ventre.

_ Hum .. bredouille t-il, perdu et sonné à en oublier son nom de famille. Désolé.

_ Désolé pour quoi ? sourit vaguement Izuku, le devinant totalement à l'ouest.

_ Je sais pas ?

Plus tendrement que jamais, Izuku n'insiste pas sur l'incohérence de ses réflexions, se contentant d'embrasser doucement son front transpirant.
Puis, veillant à ne pas l'écraser sous ses gestes en se redressant davantage, il chercher pleinement son regard pour capter toute son attention.

_ Tu veux continuer ? s'assure t-il une fois de plus.

_ Prend moi maintenant. enchaîne Katsuki pour ne laisser planer aucun doute sur ses envies.

Soudain, Izuku aussi se mets à trembler.
Peut-être parce que, après tout ce temps passé à le préparer et à lui donner tant de plaisir, lui même n'en peut plus d'attendre.
Et même sans avoir à observer l'érection folle qui perle en son sommet, les spasmes dans ses doigts et son thorax permettent de révéler l'excitation qui le traverse au point de le rendre fébrile.

Aussi, et alors que Katsuki fournit un effort surhumain pour se déplacer mollement dans le lit, remontant son corps pour gagner davantage de confort, Izuku s'applique à se protéger d'un préservatif.
Puis, sans économie ni modération, il lubrifie son sexe sans regarder ce qu'il fait, ignorant bien volontiers le fait qu'il en fout absolument partout.
Tant pis pour les draps qu'il faudra changer, tant pis pour le flacon exagérément consumé, et tant pis pour tout le reste.

Enfin, prenant place, assis en seiza entre les jambes de l'étudiant qui n'en peut plus, il prend le temps de vider ses poumons d'un long soupir.
Ses mains s'agrippent ensuite à ces cuisses ouvertes pour les attirer vers lui, et se préparer à le pénétrer pour de bon.
Glissant ses bras sous les genoux de Katsuki pour les soulever, il se penche ensuite en avant pour ajuster sa position.

Ainsi, aidé par les doigts de son amant qui le guide comme il peut, lui même le dos courbé et les chevilles remontées sur les épaules d'Izuku, il s'insère en lui en retenant son souffle.
Sans oublier de prendre son temps et de ne pas brusquer cette première fois, il ne cesse de surveiller chaque mimique de son visage pour s'assurer qu'il ne lui fait pas mal.

Du reste, les pupilles de Katsuki qui s'envolent jusqu'à disparaître sous ses paupières partiellement ouvertes semblent lui donner un bon indice quant aux sensations qui le remplissent.
Alors, seulement après s'être entièrement enfoncé sans brusquerie, puis avoir laissé couler quelques secondes par mesure de sûreté, il se permet enfin de se mouvoir en lui.

Et le spectacle reprend.

Prenant appui sur le matelas, relevant toujours plus le bassin de Katsuki, Izuku se permet enfin son propre plaisir.
Le front plissé pour mieux encaisser les sensations, quand bien même rien ne semble ralentir la course folle de l'onde qui frappe ses côtes, il accélère progressivement au rythme du souffle de Katsuki qui parvient jusqu'à lui.
Le poids de sa tête pesant trop sur sa nuque, il la laisse simplement tomber en avant, et tout son être s'embrase un peu plus à chaque nouvelle impulsion de son bassin.

Levant un bras maladroit, Katsuki cherche à attraper sa nuque et, échouant, il se contente finalement de ses cheveux, qu'il presse entre ses doigts.
Outre les frottements du sexe d'Izuku à l'intérieur de lui, un infini sentiment d'accomplissement et de satisfaction lui donne tout à coup l'impression d'être, pour la première fois de sa vie, plein et entier.
Sa gorge est sèche et sa respiration s'y coince, gresillante comme au beau milieu d'une crise d'asthme.
Pourtant, il se sent parfaitement bien.

Il se sent vivant, aimé et amoureux.
Libre et à la fois possédé, comme si tout prenait enfin sens dans la confusion de son esprit.
En tirant doucement sur les pointes de ses boucles, toujours emprisonnées entre ses phalanges, il le supplie sans parler d'accélérer encore.
De s'enfoncer toujours plus loin en lui, de taper toujours plus profond, oubliant un instant les limites de son propre corps.

_ Je vais te faire mal. refuse calmement Izuku après avoir difficilement avalé sa salive.

Puis, peut-être pour ne pas le frustrer complètement, ce dernier décide alors de le faire changer de position.
Se retirant lentement, laissant un affreux vide derrière lui, Izuku le fait basculer sur le côté jusqu'à le retourner totalement sur le ventre.
Puis, l'invitant par ses gestes à se mettre à quatre pattes, il se mord furieusement la lèvre inférieure en saisissant ses flancs.

À genoux derrière lui, le front trempé de sueur, Izuku cligne béatement des yeux en scrutant ce dos cambré qui lui est tout offert.
Les paumes dans les creux de ses reins, le regard vissé à ses épaules en pentes, il ne retient pas le gémissement de plaisir qui fait vibrer ses cordes vocales quand il le pénètre à nouveau dans cette position.

Puis, prenant plus sûrement appui sur une de ses omoplates, il se permet de plus larges mouvements à l'intérieur de lui.
Bousculé par les sensations trop fortes, Katsuki s'effondre sur ses coudes, aplatissant ses clavicules sur le matelas, forçant Izuku à se pencher davantage pour suivre sa chute.

Par réflexe, les dents de l'étudiant se plantent dans un coussin malchanceux tandis qu'il peine de plus en plus à retenir sa voix qui, elle, ne demande qu'à jaillir pour s'exprimer.
Contre sa hanche, seule la main toujours agrippée d'Izuku l'empêche de s'affaisser entièrement dans le lit, et les coups que ce dernier continue de donner contre sa prostate lui feront bientôt perdre absolument la tête.

Puis, sentant un second orgasme menacer son ventre, il perçoit en même temps le torse de son amant qui s'écroule de plus en plus contre sa colonne vertébrale.
Les levres d'Izuku se promènent sur son omoplates, son souffle brûlant sur sa peau l'appelle à céder une deuxième fois à l'euphorie, et enfin, une nouvelle explosion lui comprime le ventre.

Dans la taie d'oreiller, il étouffe à peine le chant de sa voix, les ongles plantés dans les draps et les cheveux collés au front.
Et dans son dos, la pulpe des doigts d'Izuku se presse si fort à ses os qu'il peut les sentir brutaliser ses côtes.
À son tour, il jouit en lui en retenant son souffle, le corps tout tordu de s'être laissé glisser ensemble.

La pression des paumes sur son corps s'atténue progressivement, l'autorisant seulement maintenant à reprendre sa respiration là où il l'avait laissé.
Aussi, désormais privé du maintien de son amoureux, son bassin et ses genoux se détendent à leur tour, l'allongeant complètement sur le ventre et emportant Izuku avec lui dans la chute lente et moyennement contrôlée de son corps.

Il avale péniblement sa salive à trois reprises, tentant de réguler son rythme cardiaque en pagaille, avant de fermer entièrement les yeux.
Comme s'il ne pouvait pas reprendre conscience de la réalité sans transition, il ressent cet irrépressible besoin d'enfouir son visage entier contre l'oreiller quelques minutes avant de parler à nouveau.

Sans l'en empêcher, lui donnant tout le temps qu'il lui faut pour s'en remettre, Izuku s'applique calmement à se redresser, se retirant sans brutalité avant de se débarrasser discrètement de son préservatif.
Il s'en voudrait presque de devoir obliger Katsuki à se lever pour changer les draps saccagés quand il le voit ainsi, écrasé par le poids de la fatigue et de l'excès de sensation.

Alors, avant de le déranger cruellement, il revient près de lui pour embrasser son épaule encore chaude.
Puis, caressant son épine dorsale du bout des doigts, il se penche pour murmurer à son oreille.

_ Ça va ?

_ J'ai ... Faim.

_ Faim ? s'étonne t-il seulement à moitié.

Songeant lui aussi à son estomac un peu vide après avoir donné tant d'énergie, Izuku se dit qu'en effet il se taperait volontiers le paquet de chips le plus gras possible disponible dans sa cuisine.
Et puisque ce soir ils n'ont pas de limite de temps, il se promet d'aller en chercher un juste après avoir refait le lit et prit une douche qui s'impose.

Enfin, à peu près remit de ses émotions après plusieurs minutes dans le flou, Katsuki se retourne bien difficilement pour se remettre sur le dos, faisant de nouveau face au visage de son amoureux souriant.

_ Faut que j'me lève, c'est ça ? grimace t-il en soupirant.

_ Oui .. À moins que tu veuilles dormir dans des draps dégueulasses.

La nuit leur laisse encore du temps avant que le soleil ne se lève à nouveau.
Malgré ça, Katsuki ne parierait pas sur sa capacité à rester éveillé plus de deux heures de plus à partir de maintenant ...
Pourtant, il paierait très cher pour que cette nuit ne se termine pas, et pour que les sensations dans son corps ne s'estompent plus jamais  ...

Et surtout,
Surtout,

Pour que cet amour ne se tarisse jamais.
Qu'il continue de le faire vivre aussi longtemps que le monde le lui permettra.

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Pfiou !
J'ai mis un temps infini à le sortir celui là !

Les fêtes et le début d'année m'ont pris pas mal de temps, et je me suis retrouvée avec un chapitre à moitié écrit sur les bras.
Le problème avec un lemon, c'est que c'est tout un mood, et l'écrire en deux fois m'a beaucoup perturbé, parce que j'ai eu du mal à me remettre dedans (sans mauvais jeu de mot) après plus d'une semaine.

Mais le voilà enfin ! Et j'espère qu'il vous plaira plus qu'à moi !

Je vais faire de mon mieux pour ne pas trop faire trainer la suite !

Et en attendant, des bisous 😘

Prenez soin de vous ! ❤️🦩

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