Louis

Nuit blanche. Café. Nuit blanche. Café. Tu essaies d'effacer ces cernes qui te barrent le visage.
Pourquoi tu te fais ça ? Tu sais que brûler ton corps jusqu'à la garde n'effacera pas cette culpabilité qui te noue l'estomac, fait trembler tes mains, éteint ton regard. Coquille vide que la moindre brise réduira en cendres, ruines déjà perdues, fragile ange de verre.
Et pourtant tu te tues, nuit après nuit, tasse après tasse. C'est ta faute après tout. Tu dois être puni, non ?
...
Tu me manques bordel.

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