Humain

La vie me lacère de ses bras
Car du tabou, j'en suis l'appât
Mais l'océan m'appelle en au-delà
Dans le jardin bleu qui m'accapara
Dans lequel se noie mon vin
Où je moissonne mon pain
Me ramenant à ma triste finitude
Qui s'éteint au bras de mes interludes

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