Chapitre 8
Je referme la portière de ma voiture et je sonne chez Drew. C'est son frère Andrew qui m'ouvre la porte. Je lui fais la bise en souriant, il a l'air de vouloir sortir.
Andrew : ton mec est dans sa chambre.
Moi : tu vas voir Carla ?
Andrew : peut être bien.
Je lui souris.
Andrew : faite pas trop de bruit, si ça se trouve je vais rentrer rapidement.
Moi : pff...t'es con.
Il sort et referme la porte derrière lui. Je monte les escaliers doucement et je tourne la poignée de la porte de la chambre de Drew. Il est assis à rouler un joint sur sa table de chevet, il y a de la musique assez forte dans la pièce (voir media).
Moi : hey.
Je vais derrière lui, je passe mes mains sur ses épaules et me baisse en avant pour l'embrasser sur le front. Il se retourne et me regarde.
Drew : je savais pas que tu venais bébé.
Moi : je passais par là, j'ai voulu te faire une surprise.
J'ai souris, il m'a fait un clin d'œil. Je me suis assise sur le lit et j'ai froncé les sourcils.
Moi : tu fume, encore ?
Drew : arrête bébé j'ai pas fumer de joint depuis deux jours.
Moi : je préfère encore te voir fumer de la cigarette.
Drew : j'en prend juste un, promis.
Je déteste qu'il fume ce truc, mais lui il le fait quand même. Après ça ne me surprend pas ils font tous ça dans la bande, surtout Sean. C'est lui qui fait tout ça en fait.
Pour le dissuader de fumer, je décide de m'asseoir sur ses genoux à califourchon. Je prend ses mains et lui fait poser sa feuille à rouler sur la table. Je dépose ses mains sur mes cuisses et je prend sa nuque des miennes avant de l'embrasser à pleine bouge. Je le sent gémir contre mes lèvres, je joue avec ma langue dans sa bouche tout en me laissant guider par la musique. Nos lèvres ne se quittent plus. Drew à la main poser sur ma taille et mon dos, j'ai déposer des baiser sur sa joue, puis je suis descendu vers son menton avant de suçoter tout doucement la peau de son cou. Je lui faisais des petits suçons partout, et je sentais que ça lui plaisait.
Drew : bébé....
Il a dû sentir que je voulais l'embrouiller mdr.
Moi : chut, viens.
Je me lève et je lui tend la main. Il la prend et on va se mettre sur son lit. Je retirer mes chaussures et je m'assieds à califourchon sur lui. On reprend nos caresses, je continue mes suçons pendant que lui essaye de déboutonner le chemisier beige que je portais. Quand ce fut le cas, il le jeta à même le sol et embrassa mes épaules, mon cou tout en descendant vers ma poitrine. Je rejeta la tête en arrière et quelques temps plus tard, je me suis retrouvée en dessous de lui.
Il a sourit et à retirer mon soutient gorge avant de jouer avec ma poitrine à l'aide de sa langue. Je laissais échapper des petits gémissement rauque, la tension montait vraiment et j'avais juste envie qu'on fasse l'amour.
On s'est très vite retrouver nue tous les deux. Il a continuer de m'embrasser tout en se plaçant au dessus de moi et en m'écartant les jambes. Je fus forcer de me mordre la lèvre tandis que je le sentais entrer en moi. Je m'agrippa à lui et enfonça mes ongles dans sa peau pendant qu'il faisait des vas-et-viens contre mon bassin.
Quand le plaisir fut immense, je me mords la lèvre inférieur et enfonça encore plus mes ongles dans son dos. Il poussa un léger gémissement rauque pendant que moi je tentais de calmer ma respiration après l'orgasme que je venais d'avoir, c'était juste ouah.
Après ça on est tous les deux aller prendre une douche dans sa salle de bain. L'eau chaude coulait sur ma peau pendant que lui me savonnait le corps avec ses doigts. Je frissonnais à ce contact, surtout quand il s'attardait à me passer du savon sur les seins ou les fesses en me collant à lui. Je l'ai savonné à mon tour, puis on s'est rincé et on est sortie. J'ai enfilé mes habits de tout à l'heure et je me suis attachée les cheveux parce que ceux-ci étaient mouillés.
Je me suis assise sur son lit et je le regardais coller les extrémités de son joint avec sa langue. Il n'a pas lâché l'affaire après ce qu'on vient de faire. C'est bon j'abandonne, à quoi bon lutter ? Encore heureux qu'il ne fume pas ça énormément.
Il a allumer son joint après avoir ouvert la fenêtre et il a commencé à fumer. Moi j'étais toujours dans son lit et je le fixait du coin de l'œil. A ce moment j'ai eu envi de tout lui dire, mais j'ai eu peur de tout gâcher. Je ne veux pas lui faire de mal, je préfère qu'il ne le sache pas, c'est mieux pour nous. Mais plus je lui mens, plus je me sens vraiment mal par rapport à ça et ça me saoule.
Drew s'est tourné vers moi et a sourit. J'ai froncé les sourcils.
Moi : qu'est-ce qu'il y a ?
Drew : tu es magnifique.
J'ai souris.
Moi : merci bébé.
Drew : de rien.
Mon téléphone à sonner, je l'ai pris c'était un appel de ma soeur. J'ai aussitôt répondu.
- Hey.
- Salut Naya...
- tu vas bien ma puce ?
- oui, et toi ?
- oui, tu me manque trop. Je voulais t'appeler mais j'avais une semaine d'examen alors c'était pas évident.
- t'inquiète pas babe, je comprend.
- j'ai eu papa au téléphone, je prend l'avion du week-end prochain et je reste une semaine.
- oh c'est super, je voulais trop te voir en plus, ta petite bouille me manque trop.
- ahah je sais, tu m'adore. Mais t'en fais pas, le week-end prochain je rentre à la maison.
- super. En plus c'est l'anniversaire de papa alors ça tombe bien.
- oui, ça tombais pile poil avec ma semaine de vacance. Mais tu seras en vacance aussi toi ?
- normalement.
- super alors. Hum tu fais quoi ?
- je suis avec Drew, et toi babe ?
- bah je suis dans le couloir, je vais à ma classe.
- je vois, bah je vais te laisser aller en cours et on se rappelle.
- d'accord, embrasse Drew pour moi.
- t'inquiète je vais le faire. Bisou, je t'aime.
- moi aussi.
Je raccroche.
Moi : Farah te dis bonjour.
Drew : elle va bien ?
Moi : yep, elle arrive la semaine prochaine.
Drew : tant mieux, tu vas être contente de la voir.
Oh que oui, depuis que ma soeur vit en Europe on n'est plus aussi proche qu'avant parce qu'il y a le décalage et tout ça et on ne peut pas se parler tout le temps. Mais heureusement elle vient de temps en temps.
Moi : évidemment.
Drew : bébé ?
Je lève la tête vers lui.
Moi : hum ?
Drew : il se passe quoi avec Sean ?
Mon coeur il a trembler tout seul quand j'ai entendu cette question. Pourquoi il me demande ça ? Il a tiré une autre taffe, j'ai avaler ma salive avant de répondre.
Moi : comment ça ?
Drew : c'est pratiquement mon meilleur pote mais tu le déteste alors j'aimerais savoir quel est le problème entre vous.
Je me suis senti soulager, j'ai eu si peur qu'il soit au courant, j'aurais pu faire un arrêt cardiaque sur place tellement j'étais angoissé.
Moi : je ne l'aime pas c'est tout.
Drew : mais pourquoi ? Tu sais ça me gêne un peu que vous soyez tout le temps en train de vous faire la guerre. J'aimerais tellement que vous soyez amis, ou au moins que vous cessiez de toujours vous disputer.
Moi : mais c'est lui qui est juste trop agaçant.
Drew : je sais qu'il a pas un comportement irréprochable et tout ça, mais s'il te plait ma puce essaye de faire un effort et entendez vous.
Mais il veut me tuer. Moi ? M'entendre avec Sean ? Mais c'est la mort qu'il me demande. Mais je ne peux pas lui dire non. C'est son ami, et j'avoue que moi même je n'aurais pas aimer que Drew ne s'entende pas avec mes amis à moi.
Moi : je veux bien faire un effort, mais il doit en faire un aussi.
Drew : je lui parlerais t'en fais pas.
Moi : mais si je le fais, tu vas recommencer à parler avec Daniel ?
Drew : Naya...
Moi : s'il te plaît. C'est mon meilleur ami et on s'est expliquer tous les deux, alors vous pouvez le faire aussi, je t'ai dis qu'il ne s'était rien passé entre nous.
Drew : je sais, mais...
Moi : si tu veux que je fasse des efforts avec ton pote, tu en fais aussi avec le mien.
Il a écraser le reste de son joint dans le cendrier, à refermer la porte et est venue se mettre à côté de moi avant de déposer un baisse sur mon épaule nue puisque je portais un débardeur.
Drew : je vais le faire, mais juste parce que c'est toi qui me demande.
Moi : la même.
On s'est embrassé puis on a écouter un peu de musique avant que je ne rentre chez moi.
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