Chapitre 65

A/N : apparemment le message n'est pas passer. Vous n'avez aucun ordre à me donner je vous signale. Si je n'avais pas voulu écrire dès suites, je n'aurais jamais mis en ligne mes histoires je vous signale. Je commence vraiment à en avoir marre. Je fais tout pour poster souvent, alors il ne faut pas charrier non plus. Des gens se permettent encore de m'envoyer des messages pour me demander des suites. Même si cela part d'une bon ne intention, je commence à en avoir marre. Je sais que je dois poster la suite, ce n'est pas à vous de me le dire. Je fais déjà des exploits en mettant deux-trois chapitres par jours parfois, et plus de cinq ou six chapitres par semaines la plupart du temps, alors n'abusez pas hein. Ça ne sert à rien de me dire par message de poster la suite puisque je SAIS que je dois le faire !! C'est vraiment désagréable pour moi que vous commentiez mes autres histoires ou que vous m'envoyez des messages me demandant la suite. Il y a des chroniques qui vous imposent un certains nombres de votes et de commentaire avant de poster la suite, et moi je ne le fais PAS alors ne m'emmerder pas. C'est vraiment énervant, et je vous assure que si je reçois encore un message de ce genre, ou un commentaire de ce genre, je suspend cette fiction. A bonne entendeur, salut 😫. Hum et pour tous les autres qui me lisent, qui sont patients et qui sont adorables comme tout, je vous dit merci et je vous souhaite bonne lecture mes coco ❤️❤️. J'avais prévu de poster la suite de celui-là tout de suite après, mais ils m'ont énerver. Voila voila, bisou 😋😘

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Je vous passe trois semaines.

Durant ces trois semaines, il ne s'est rien passé de particulier.
On a été en vacance, et j'ai décidé d'amener Farah avec moi prendre un peu l'air. On est allées en Grèce et c'était vraiment magnifique. Nicole et sa soeur aussi sont venues avec nous, c'était vraiment bien. J'ai pu me détendre, et tenter d'oublier mes problèmes et ça franchement, c'était géniale.

Je fais tout pour être le plus présent possible pour Farah après ce qui s'est passé. Elle ne veut pas en parler, et je la comprend parce que si j'étais à sa place, j'aurais surement fait la même chose. Mais actuellement, je veux juste la laisser faire ce qu'elle veut. J'ai juste envie qu'elle oublie et qu'elle s'épanouisse. Enfin oublier c'est un bien grand mot, parce que ce genre de choses ne s'oublie pas. Mais je veux qu'elle fasse ce qu'elle veut. Il faut qu'elle reprenne du poil de la bête.

Mon père ne parle plus beaucoup. En fait, j'ai l'impression qu'il a été affecté par cette histoire plus que ma soeur elle-même ne l'a été. Il a même eu une hausse de tension et je me suis énormément inquiétée pour lui. Il dit que tout va bien, mais je sais bien que c'est faux et cela me stresse encore plus. J'ai beau être en colère contre lui par rapport à tout ce qui s'est passé par le passé avec ma mère, je ne peux pas lui en vouloir éternellement parce que c'est mon père et que je l'aime.

Lorsque nous sommes allé à Mykonos, il est aller voir sa famille et y a passé un peu de temps. Il a dit qu'il avait besoin de réfléchir et de repos, il y est resté une semaine à peu près. La maintenant il est revenu, et il a recommencer le travail. Il rentre tard, très tard ce qui fait qu'on ne le voit presque pas.

Ces derniers temps j'ai beaucoup parlé à Lucas. On s'est assez rapproché et c'est vraiment quelqu'un de bien. Quand je suis rentrée de vacance la semaine dernière, on s'est vu deux fois, on est aller au restaurant et ensuite nous sommes allés à une exposition tous les deux. Il aime l'art, et je trouve ça mignon venant d'un garçon. J'aime bien les gars qui ont l'œil artistique.

Je ne l'ai dit à personnes, mais ces derniers temps, la douleur que j'avais au niveau de mon ventre n'a fait que de d'augmenter. J'ai beau eu prendre tous les médicaments possible, elle ne se calmait que passagèrement et renaît au bout de quelques heures. C'est vraiment insoutenable. Ça me fait peur parce que je ne comprend vraiment pas ce que j'ai. J'ai l'impression de recevoir des coups venant de l'intérieur, et j'ai aussi l'impression qu'on me tire quelque chose. C'est douloureux, extrêmement douloureux, mais je n'ai pas envie daller voir un médecin. J'ai peur qu'il me demande ce qui a causé cette douleur. Je serais complètement incapable de lui dire que l'homme que j'aime par dessus tout m'a battue. Je ne saurais lui dire utiliser m'a infliger des dizaines et des dizaines de coup violente dans le ventre.

J'ai pourtant penser, depuis le temps que ça devait se calmer. Je veux dire, je n'ai plus de cicatrice, et je n'ai plus d'hématome non plus. Alors pourquoi est-ce que cette douleur en particulier persiste ? Pourquoi est-ce que ça me fait toujours aussi mal ? Ça me stresse, j'en ai marre.

Gabriella n'a toujours pas refais surface. Pour être honnête, c'est une bonne chose pour moi parce que plus elle est loin de moi, moins j'ai de problèmes. Elle a fichu tellement de merde dans ma vie que je ne peux que me réjouir de son absence. J'espère juste qu'elle restera où elle est, parce que si jamais Sean la trouve, elle risque de souffrir, et pas qu'un peu.

En parlant de Sean, il n'a pas arrêté de m'envoyer des messages ces derniers temps. Il me disait à quel point est-ce qu'il s'en voulait et à quel point il était désolé et il regrettais. Je le crois, je sais qu'il est sincère. Je sais aussi qu'il était très en colère, et je peux comprendre au fond. Mais j'ai beaucoup de mal à accepter. Je lui ai pardonné. Intérieurement, je lui ai pardonné depuis bien longtemps. C'est juste que c'est difficile à gérer. Il est tellement à fleur de peau...je ne sais plus quoi faire ni quoi penser de lui.

Pourtant, mon coeur ne pense qu'à lui. À chaque fois que je me lève, c'est la première personne qui hante mes pensées. Lorsque je vais me coucher, c'est de lui que je rêve. J'ai beau refoulé tout ce que je ressens, mes sentiments pour lui sont toujours égales à eux même. Je l'aime, je suis amoureuse de lui, et je suis complètement folle de lui. Je l'aime à chaque instant. Même quand il me fait mal, je l'aime.

Vous n'imaginez pas comment je lutte avec moi même. Des fois quand je suis chez moi le soir et que je lis tous les messages qu'il m'envoie, j'ai juste envie de l'appeler et de lui dire que je l'aime et que je le pardonne. J'ai juste envie de lui dire que malgré tout, il était celui que mon coeur avait choisi. Qu'il était le seul que mon coeur acceptait. Mais si je fais ça, je vais trop passer pour la fille faible.

Il y a une grande différence entre pardonner quelqu'un et se remettre avec lui. Je me pose la question tous les jours, et je ne trouve pas de question. Je me dit que oui, j'ai bien envie de lui pardonner. Mon coeur veut lui pardonner. Mon être tout entier se sent incomplet sans lui a mes côtés. Mais d'un autre côté, je me demande si lui pardonner veut dire ce que je crois. Est-ce que si je lui pardonne, cela veut dire qu'on va se remettre ensemble ? Est-ce que je devrais me remettre avec lui ? Il m'a dit qu'il m'aimait. Il ne cesse d'ailleurs pas de me le répéter dans ces multiples messages auxquels je ne répond pas parce que je ne sais pas quoi répondre. Quand il m'appelle aussi, je ne répond pas parce que je ne sais pas quoi lui dire. Il y a cette petite partie de moi qui prend le dessus et qui met cette barrière entre nous.

Alors oui je me pose des questions.
Et non, je ne trouve pas de réponses et c'est frustrant.

Vous allez me prendre pour une folle, mais un soir lorsque j'ai eu ces douleurs atroces, je ne sais pas comment cela est arrivé, mais lorsque j'ai pensé à lui, elle s'est atténuée. Il a fallut que je pense à lui pour que je n'ai plus mal pendant un bon moment. J'ai cru que c'était juste une impression, mais j'avais essayer une seconde fois et cela fonctionnait.

Je crois que si ça persiste encore je vais finir par aller voir un médecin. Je trouverais bien un mensonge à dire, mais les douleurs sont insoutenables et je ne pourrais pas les supporter comme cela encore longtemps. Pour le moment j'essaye juste de ne pas faire trop d'effort physique, j'essaye de me détendre du mieux que je peux. J'espère juste que cela va fonctionner.

Bref, pour en revenir à moi, aujourd'hui je dois voir Lucas. On va aller voir un film au cinéma. Donc après les cours, je suis directement rentrée me préparer à la maison. J'ai enfilé une robe noire, et j'ai mis des chaussures plates. J'ai mis du rouges à lèvres sur mes lèvres, puis juste du mascara et du parfum. Je supportais mal l'odeur de mon parfum, il me dégoûtait presque.

Lucas est venue me chercher, alors je suis descendue le rejoindre dans sa voiture. Il m'a embrassé sur la joue, puis il a commencé à conduire en direction du cinéma. Pendant le trajet, il avait sa main posée sur ma cuisse nue puisque ma robe n'était pas très longue. J'avais trouvé étrange le fait qu'il face cela, mais je l'avais laisser faire.

Au fond de moi, j'avais cette sensation de culpabilité. C'était comme si le fait que je le laisse poser sa main sur ma cuisse était une trahison envers Sean. Je me sentais tellement lié à lui que à chaque fois que je suis avec Sean, je me sens coupable. C'est tellement agaçant d'être amoureuse. On a l'air d'une conne. On fait des choses absurdes, et on ressent des choses que personne d'autre que nous ne peut ressentir. L'amour, c'est juste tellement compliqué. C'est surement le sentiment le plus complexe de la terre.

J'ai donc gentiment retire la main de Lucas qui me regardait en fronçant les sourcils tandis que nous étions arrêter à un feu rouge. Je me suis contentée de sourire et de monter légèrement le volume de la radio. Il y avait un genre de blanc, mais il a vite été comblé lorsque nous sommes arrivés au cinéma.

Il a prit deux tickets et du popcorn et nous sommes allés nous asseoir. Le film avait vraiment bien commencé, mais j'avais très envie de faire pipi. Je me suis donc excuser auprès de Lucas et je suis aller au toilette en faisant bien attention de ne pas tomber dans le noir.

À ma sortie de toilette, je me suis lavé les mains et quand j'ai levé la tête vers le miroir en face, Lucas était derrière moi. J'ai légèrement sursauté.

Moi : putain, tu m'as fais peur.

Lucas : je...je suis désolé. Je m'inquiétais pour toi...

Moi : tu es au courant que tu es dans les toilettes des filles ?

Je m'essuyais les mains à l'aide d'une serviette en papiers.

Lucas : oui, je suis au courant mais je m'en fiche un peu.

Il s'approchait de moi tandis que je m'approchais de la porte pour qu'on sorte. Mais Lucas posait sa main sur la poignée et refermait la porte, m'empêchant de sortir. Je fronçais les sourcils ne comprennent pas sa réaction.

Moi : Lucas ? Qu'est-ce que tu fais ? On doit repartir voir le film.

Il souriait en coin.

Lucas : j'ai trouver quelque chose de mieux à regarder.

J'étais coller à la porte, et il s'approchait de plus en plus de moi, jusqu'à ce que plus aucune centimètre ne nous sépare. Je ne vous cache pas que je commençais vraiment à paniquer. Je sentais son souffle chaud contre la peau nue de mon cou alors qu'il approchais son visage de celui-ci. Je grimaçais et essayais de le repousser.

Moi : Lucas, arrête...

Lucas : détend toi ma jolie, on va juste s'amuser.

Moi : je n'ai pas envie de m'amuser avec toi, qu'est-ce qui te prend, enfin ?! Lâches moi tout de suite.

Il se mît à embrasser mon cou, tout en me tenant fortement par les poignets, m'empêchant de bouger. J'essayais du mieux que je pouvais de le repousser, mais il était bien trop fort pour moi. Il était beaucoup trop fort.

Moi : s'il te plaît, lâches moi.

Lucas : tu sais ma jolie, depuis le début...j'ai envie de faire ça.

Il suçotais et mordillais la peau de mon cou alors que je tremblais comme une feuille. Il m'a tiré vers lui pour me répliquer contre le mur avant de recommencer ses petites activités malsaines sur moi. Il tenait fermement mes poignets, et je ne pouvais donc pas bouger. J'étais complètement tétaniser alors qu'il passait ses mains sous ma robe, pour atteindre la dentelle de ma culotte. Je tremblais deux fois plus.

Lucas : Hmm...t'es pas mal tu le sais ?

Il rigolait et empoignait mes fesses d'une main. Je voulais lui mettre un coup de pied, mais il m'avait devancer en me poussant fortement à même le sol. J'ai eu mal, très mal. Je sentais mon téléphone sonner dans mon sac, mais je ne pouvais pas répondre. Ça faisait au moins trois bonnes minutes qu'il sonnait en vain.
Putain, dans quoi est-ce que je me suis fourré encore ?

Lucas : on va jouer à un jeu, tu comprend ?

Je secouais la tête, mais il sorti un couteau tranchant de sa poche, ce qui me calmait aussitôt. Je voulais fermer les yeux, mais des images me revenait. Des images que j'avais souhaiter ne plus jamais revoir de ma vie. Des images de Sean, en train d'abuser de moi.

Mon ventre à commencer à devenir douloureux. Ma respiration était de plus en plus saccadée. J'avais les larmes aux yeux tandis que Lucas m'embrassait. J'avais beau tourner la tête, il me menaçait avec son couteau afin que j'ouvre la bouche et j'étais donc obliger de le faire.

Lucas : t'es tellement bonne bébé, j'ai juste envie de te baiser tellement fort la tout de suite. J'ai envie de te prendre contre ce mur...et ensuite sur le lavabo, puis la, à même le sol.

Je pleurais, le suppliant, mais il ne m'écoutait pas.
Qu'est-ce qui s'est passer ?
Ou est passer le Lucas qui j'ai connu il y a quelques semaines ?
Qui est ce monstre devant moi ?

Il commençais à déboutonner sa chemise, me menaçant toujours avec son couteau pour que j'arrête de pleurer et pour une je me taise. Il m'écartait les chambres et se plaçait bien au dessus de moi, retirant la ceinture de son pantalon et s'apprêtant à baisser sa braguette. Au moment où il allait m'arracher ma culottes quelqu'un a défoncé la porte.

Ce quelqu'un, c'était Sean...

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