Yo !!

Je reviens quatre mois après la fin de ce two-shot, pour un petit bonus par la demande de Bloowano (j'espère que tu vas apprécier 😏)

Je publie ça aussi pendant l'attente de la publication de mes prochaines fics EraserMic (si vous ne les aviez pas lu, allez-y)

Et c'est parti ! 😄

___

PDV Shota :

Lundi matin. Je me réveille assez péniblement.

Je tournais la tête vers le côté : Hizashi n'était pas là. Je fixais l'horloge : 7h01.

Je soupirais et me levais, avant de me diriger vers la salle de bain. C'était étrange qu'Hizashi se réveille de bonne heure, lui qui, le lundi, commence vers 9h.

Après m'être lavé le visage, je me fixais dans le miroir : honnêtement, j'hésitais à me raser ou non. Mais comme le temps pressait, je ne le fis pas, et retournais dans la chambre pour me changer.

Mais au moment où je me retrouvais en boxer, prêt à enfiler ma tenue de héros, je sentis des bras entourer et palper mon torse. Cet idiot...

_ Good morning, Sho-chan ! Susurra Hizashi dans mon oreille, me provoquant des frissons.

Je bloquais lentement ces mains, et lançais :

_ Hizashi, ce n'est clairement pas le moment de faire ça. Alors, soit tu vas te recoucher, soit tu te prépares. Mais dans tous les cas, laisse-moi me...

_ Je te mets au défi de ne pas jouir durant les deux prochaines minutes, annonça-t-il dans le plus grand des calmes, dégageant mes mains pour ramener les siennes vers mes hanches. Et si tu perds, je te mets un vibro dans le cul durant toute la journée~. Bien sûr, si tu gagnes, c'est moi qui aurais un vibro dans le cul.

_ Non ! Ce n'est pas le moment pour jouer...

Et c'était vrai : plus on restait là à parler, plus le temps passait et je risquais d'être en retard. Mais sans que je ne m'y attende, Hizashi lâcha :

_ Seriously ? Je pensais pourtant que tu aurais l'audace d'accepter. Enfin, il semblerait que ce ne soit pas le cas, même si je n'aurais jamais pensé ça venant de toi, Shota. Après, je comprends tout à fait si tu ne veux pas participer parce que tu sens que tu vas perdre...

Mon égo venait d'en prendre un coup. Sans même réfléchir, je le coupais et répondis promptement :

_ J'accepte.

Hizashi me ramena devant le miroir, et prit son téléphone pour mettre le minuteur. Puis il baissa mon caleçon, activa le minuteur et se mit à me masturber en me léchant l'oreille, le cou, la nuque, l'épaule... Toute la peau qu'il trouvait sous la langue.

Il venait à peine de commencer que déjà, je sentais le plaisir prendre possession de mon corps. Je faisais du mieux que je pus pour ne pas gémir, en vain.

Je posais mes yeux sur le téléphone de mon homme : il restait trente secondes.

Je me concentrais pour ne pas jouir, me retenant pour ne pas céder. Mais Hizashi en décida autrement, et accéléra ses mouvements sur mon sexe. Et dans mon oreille, il se mit à me murmurer :

_ Anh~... Je te veux en moi, Sho-chan~... Je veux sentir ton foutre en moi~... Anh~... Oui~... Mmh~...

_ A-arrête... Anh~ ! S-stop...

J'avais de plus en plus de mal à me contenir, et ce crétin d'Hizashi sortait des obscénités sans nom, sûrement dans le but de me faire jouir.

_ Anh~... Shota~... Anh~...

_ Anh~ !! T-ta gueule... Putain...

_ Oui~ ! Shota~ !

Quatre secondes... trois... deux...

_ Shota~~~ !!! Hurla-t-il dans mon oreille, usant de son alter.

_ Connard... Anh~~ !!!

L'orgasme me prit, et tout mon sperme gicla dans sa main, sur le sol et tout le long de mes cuisses. Et une seconde après, la sonnerie de la fin de la minuterie retentit.

Je retombais dans le bras d'Hizashi, l'orgasme venant de passer. Il me posa sur le lit, et nettoya tout le sperme qui salissait le sol. Le temps que je me remette de mon ascension, mon homme vint devant moi, le même vibro qu'il a utilisé la veille dans la main.

_ Tu as perdu, Sho-chan, déclara-t-il en léchant ses doigts.

_ Tu n'es qu'un... connard, Hizashi, avouais-je en tentant de reprenant sa respiration.

_ Je sais, mon chaton.

Il inséra ses doigts en moi et fit des mouvements de ciseaux, sans se douter que le plaisir reprit en moi. Et après une minute de préliminaires, il les retira, ce qui me provoqua un grognement de frustration, puis il fit entrer l'œuf vibrant en moi.

***

J'arrivais dans la 1-A, déjà très bruyante, et annonçais :

_ Tous à vos places ! Maintenant !

Je m'assis au bureau, face à mes élèves. Mais même le seul qui essayait d'imposer un minimum de calme, à savoir Iida le délégué, n'arrivait pas à se faire entendre. Et comme je perdais patience, j'activais mon alter et menaça en élevant la voix :

_ Taisez-vous et asseyez-vous, ou je vous colle tous ce soir jusqu'au coucher du soleil !

Aussitôt dit, aussitôt fait.

Je désactivais mon alter en soupirant, entamant par la suite l'heure de vie de classe.

Durant toute la matinée, le vibro ne s'est pas activé une seule fois. Ce qui m'étonnais beaucoup de la part d'Hizashi. Et je pensais qu'il avait oublié.

L'après-midi, après le déjeuner, je revis mes chers élèves de la 1-A pour le cours d'héroïsme théorique.

Alors que j'expliquais le cours, je sentis des vibrations en moi, me stoppant net dans mes explications. Je me concentrais pour en faire abstraction, et me repris.

Sauf que plus je parlais, plus les vibrations se firent invasives dans mon esprit. Je me retournais alors pour écrire au tableau, et vis avec effroi qu'une bosse se formait au niveau de mon entrejambe.

Toujours dos à mes élèves, je finis mes explications, puis leur donnais ses exercices à faire en silence jusqu'à la fin de l'heure, avant de m'asseoir immédiatement.

Mauvaise idée...

En m'asseyant, je sentis le vibro monter un peu plus haut en moi. Je m'efforçais de retenir tout son sortant de ma bouche, même si ma respiration de plus en plus saccadée pouvait me trahir.

J'avais la tête dans les mains, dissimulant mon visage aux mioches. Et forcément, mon visage devait être plus qu'anormal, puisque mes joues devinrent roses, mon regard brillait de désir et je me mordais la lèvre inférieure pour ne pas gémir.

Soudain, les vibrations doublèrent d'intensité, et je laissais échapper un hoquet de surprise malgré moi.

_ Aizawa-sensei ! Fit la voix de Hagakure.

J'inspirais lentement, et, arborant un air qui se voulait neutre, je relevais la tête, mes mains croisés devant moi cachant le bas de mon visage. Mon regard croisa le sien, et je vis d'un bref coup d'œil que tous les élèves me fixaient.

_ Mmh ? Répondis-je mollement.

_ Vous allez bien ? Demanda-t-elle innocemment. Vous semblez... hum... comment dire...

_ Je vais très bien, coupais-je promptement sur un ton glacial. Maintenant, occupez-vous de vos exercices plutôt que de moi.

Je leur ai sans doute fait peur puisqu'ils reposèrent leur nez presque immédiatement sur leur cahier. Je me remis dans ma position initiale, commençant à m'habituer à la sensation.

Mais à mon grand malheur, les vibrations augmentèrent encore, et je me sentais de plus en plus serré dans mon costume de héros. Au point d'en trembler...

_ Sensei ! Interpella Ashido cette fois-ci.

_ Quoi encore ? Grognais-je en relevant la tête, les sourcils froncés.

_ Vous êtes sur que ça va ? Vous tremblez...

_ Le prochain qui s'intéresse plus à moi qu'à vos exercices aura triple ration de devoirs, est-ce bien clair ?

_ Oui !! Crièrent en chœur la classe, avant de revenir à leurs exercices.

D'un mouvement las, je fixais à nouveau le bureau, pensant à tout, sauf au vibromasseur. Mais forcément, le sort en décida autrement, et les vibrations augmentèrent encore plus dans mon anus.

_ Putain~... murmurais-je, pensant que personne ne m'avait entendu.

Je levais furtivement un œil vers mes élèves : certains se regardaient entre eux, en chuchotant. Il était clair que ces certains élèves m'avaient entendu.

Je fermais les yeux et essayais de me concentrer pour ne pas y penser.

Subitement, une image obscène parvint à mon cerveau : j'étais debout, contre le bureau, et Hizashi était derrière moi, à me pistonner sauvagement avec sa queue, le tout devant mes élèves. Je ne cessais de hurler mon plaisir tellement c'était bon. Et en voyant mon reflet dans la fenêtre, j'arborais un visage des plus indécents...

Respiration haletante, cœur qui bat à cent à l'heure... Et surtout, la peur de céder à la luxure devant mes élèves ne cessait de me hanter.

Mais le pire, c'était que tous ces sentiments mélangés m'excitaient davantage. Au point de lâcher involontairement un soupir d'aise...

À cet instant, ma raison reprit soudainement le dessus durant quelques secondes. Je me levais brusquement et me dirigeais vers la porte d'un pas rapide qui se voulait nonchalant en disant :

_ Iida, garde la classe pour moi ! Je reviens, j'en ai pour dix minutes !

Et avant même qu'ils ne me répondent, je claquais la porte derrière moi et me ruais difficilement vers la salle des professeurs.

Arrivé devant la porte, je l'ouvris non sans brutalité et hurlais :

_ Yamada !!

Ce dernier, assis à son bureau, leva la tête vers moi, un sourire pervers collé au visage. Il était seul dans la pièce, et il devait rester vingt minutes de cours avant que les autres professeurs ne viennent.

Je rentrais dans la salle des professeurs en fermant la porte assez violemment et le pris par le col brusquement, prêt à lui gueuler dessus. Mais à peine l'avais-je soulevé de son siège que je le lâchais et titubais, tenant difficilement debout. J'haletais, les joues rouges, le regard fiévreux.

Je levais les yeux vers lui : Hizashi arborait un sourire sadique et un regard malicieux. Il voulait que je cède, que je lui cède.

Il se pencha, releva mon menton de son index, et me murmura :

_ Je peux t'aider à te soulager si tu me le demandes~.

Même pas en rêve !

_ Je refuse... déclinais-je en retenant des gémissements.

_ Comme tu veux ! Mais je te préviens, Sho-chan : I will frustrate you all the time you don't want me to let you cum.

Et sur ces mots, il augmenta encore l'intensité du vibro. Lâchant des grognements de plaisir, je commençais à déboutonner le bas de ma tenue de héros ; mais Hizashi m'arrêta brusquement, se saisissant d'une partie de mon écharpe, et ligota mes poignets au dessus de ma tête. Puis il m'allongea sur le sol de force, et se mit à califourchon sur moi, frottant son début d'érection contre ma bosse déjà bien formée.

_ Tu es sûr que tu ne veux pas de mon aide, darling~ ?

_ Va te faire foutre...

_ Non, ce sera plutôt le contraire, crois-moi~...

Hizashi accentua ses mouvements sur mon bassin en se léchant les lèvres. Lentement, il ôta le haut-parleur autour de son cou pour le poser à côté, et ouvrit sa veste en cuir. Son torse se moulait parfaitement à sa chemise, et on pouvait deviner sa carrure, certes peu bâti, mais assez musclé tout de même.

Pour le dire de manière crue, Hizashi Yamada faisait son aguicheuse juste pour m'exciter davantage. À croire qu'il cherchait à se faire sauter...

Qu'est-ce que je voulais faire, là, à cet instant ? Le plaquer brusquement à même le sol et le prendre sans ménagement, en y mettant toute ma force.

_ Je sais très bien à quoi tu penses, Shota, déclara-t-il d'une voix étrangement calme. Mais malheureusement pour toi, c'est toi qui seras en dessous, aujourd'hui. Enfin, au dessus, d'un certain point de vue, mais ce sera moi qui te prendrais.

Il commença à retirer ma tenue de héros sans que je puisse l'en empêcher. Étant donné que mes liens le gênaient, il les démêla en prenant soin d'augmenter les vibrations en moi, puis me déshabilla, avant de me rattacher les bras, cette fois, dans le dos.

Puis il ouvrit la braguette de son pantalon, et laissa sortir son sexe déjà bien gonflé d'excitation devant moi en s'asseyant sur son siège.

_ Tu sais ce que tu dois faire, mon amour~... me dit-il en me caressant la joue.

_ N-non... je... refuse... anh...

_ Il reste quinze minutes de cours, Sho-chan. Et tu ne devrais pas t'absenter aussi longtemps pour tes élèves, non ?

Il se baissa au niveau de mon oreille et me murmura :

_ Si tu te tiens tranquille, je te ferais jouir, mon chaton~... Mais pas un bruit, ou je prendrais tout mon temps pour te faire jouir. Et aussi...

Il fit une pause pour me lécher l'oreille et me pincer un téton, avant de continuer :

_ Tu ne voudrais quand même pas qu'on nous voit ainsi, n'est-ce pas ?

_ N-non... anh~... S'il te plaît... Hizashi~...

Il se redressa, puis déclara :

_ Alors, Sho-chan ? Tu veux bien ? Ou tu préfères retourner en cours dans cet état ? En plus, si tu le fais, je retire le vibro pour le reste de la journée...

Avant qu'il ne termine sa phrase, je me penchais et pris son engin en bouche. Ma langue passait partout sur son membre, ma bouche le suçotait. Et dire que lui faire ce genre de chose ne m'excitait pas serait mentir.

Je sentis sa main appuyer derrière mon crâne, alors j'accélérais mes mouvements. Jusqu'à qu'il jouisse dans ma bouche : son membre pulsa au fond de ma gorge, et je sentis sa semence se déverser le long de ma gorge. Et tout en se lâchant, il émit un profond râle de plaisir.

Lorsque son orgasme passa, il baissa les yeux vers moi, et me dit :

_ Tu sais quoi faire ensuite, sweetheart~...

Je me retournais en grognant, lui présentant mes fesses. Il plongea deux doigts en moi pour récupérer le vibro, puis se mit à tournoyer son doigt autour de mon trou sans jamais rentrer dedans.

_ A-arrête... Hizashi~...

_ Dis-le, et j'arrêterai.

_ Non... Putain~... anh~...

Mon sexe me faisait de plus en plus mal. Ma frustration était telle que j'en pleurais. Pour le dire clairement, c'était humiliant. Horriblement humiliant.

_ Le temps passe, Sho-chan ! Fit-il sans arrêter ses mouvements du doigt. Et si quelqu'un rentrait à l'improviste ? Tu accepterais de lui offrir un spectacle des plus merveilleux ?

Rien qu'à cette pensée, je rougis à l'extrême. J'avais du mal à réfléchir correctement, et ce qu'il me faisait ne m'aidait clairement pas.

Finalement, je cédais, et articulais :

_ Hi-Hizashi... p-prend-moi... s'il t-te plaît...

_ Tu peux faire mieux que ça, voyons~.

_ Anh~... J'en peux plus... Hizashi... Fais-moi jouir~... Anh~...

_ Shota, you can do better, I know~. Tiens, je vais t'aider : oublie ta fierté, et offre-moi ton corps. Je veux savoir ce que tu veux que je te fasse.

Je ne voulais pas perdre à ce stupide jeu. Mais plus j'attendais, et plus ça empirait. Et le pire, c'est que je savais très bien que j'allais perdre, peu importe quand.

_ T'es qu'un... enfoiré...

_ I know ! So, do you say it ?

_ Qu... B-b-baise... moi... bien f-fort...

_ Encore.

_ Je veux... sentir... ton... f-foutre... en m-m-moi... Anh~... je veux tout... de toi...

Il me claqua la fesse gauche, me faisant lâcher un cri de surprise, et déclara :

_ C'est bien ! Voilà quand tu veux ! Maintenant, viens, mon chaton~ !

Je me relevais péniblement, et m'assis sur les genoux de mon homme. Il positionna correctement son bâton de chair, avant de me soulever et de m'empaler dessus. Et sans attendre un quelconque signal, je sautillais sur son membre pour qu'il soit au plus profond de moi.

_ Oh oui~... Shota~...

Comme mes gémissements ne cessaient de croître, Hizashi m'embrassa fiévreusement en me serrant dans ses bras, augmentant la cadence.

Soudain, après deux minutes d'activités, il m'arrêta de force en se retirant de moi, provoquant un gémissement de frustration. Il se leva et me poussa contre le coin de table qui est censé être son bureau.

Avec une partie de mon écharpe, il m'empêcha de sortir tout son en l'enroulant autour de ma bouche, puis enfonça son sexe à nouveau en moi.

C'était exquis ! Ses coups de reins étaient d'une violence stupéfiante et ses grognements de plaisir dans mon oreille ne faisait qu'augmenter la chaleur en moi.

À tel point qu'il finit par jouir en moi, et en sentant sa semence me remplir, je vins à mon tour.

Et après que les spasmes incontrôlés furent passés, on s'écroula tous les deux l'un sur l'autre, sur son siège.

Je tentais de reprendre un minimum de contenance après cet orgasme dévastateur. Surtout quand je vis que j'avais éjaculé sur une bonne partie du bureau de mon homme.

_ Geez, you cummed on my desk, se plaignit Hizashi.

_ La ferme, c'est de ta faute si on en est arrivé là, répliquais-je.

_ Au lieu de me faire des reproches, tu devrais retourner voir tes élèves ! Fit-il en consultant l'horloge. Ça fait quinze minutes que tu es censé être aux toilettes...

_ T'es chiant.

Je me levais péniblement, et m'habillais le plus rapidement que possible. Puis je me dirigeais vers la porte, et l'ouvris sans problème.

_ Attend, tu n'as pas fermé la porte à clé ? Demandais-je en me retournant, stupéfait.

_ Bah non ! J'attendais que tu le fasses, mais tu ne l'as pas fait, répondit cet idiot. Anyway, nobody's come, so...

_ Tu te fous de moi ?! On aurait pu nous surprendre !

_ Plutôt que de gueuler comme tu le fais, que dirais-tu en guise d'excuse à tes élèves, Sho-chan ?

_ Que tu me faisais chier !

Je sortis de la salle des professeurs en boitant, faisant un doigt d'honneur à mon enfoiré de copain, puis refermait la porte de la même façon que je l'ai ouvert avant nos ébats.

Une fois revenu en classe, le bourdonnement que provoquait les élèves cessa, et tous tournaient la tête dans ma direction.

_ S-sensei ! Hésita Ashido.

_ Quoi ? Fis-je en m'asseyant au bureau.

_ Euh... vous allez vraiment bien...

_ Avez-vous fini vos exercices ?

Personne ne répondit, alors je soupirais et dis d'une voix glaciale :

_ Très bien. Je reformule ma question : qui a fini ses exercices ?

Certains se mirent à regarder autour d'eux. Facile de reconnaître ceux qui ne l'avaient pas fini, manifestement.

Les deux premières mains qui se levèrent timidement furent celles de Midoriya et de Yaoyorozu, ce qui ne m'étonne pas d'eux. Puis, Iida leva également sa main, suivi de Todoroki, Bakugo et Fumikage. Pour finir, Asui et Ojiro brandirent la leur en même temps.

_ Donc, le reste, vous n'avez pas fini vos exercices ? Demandais-je d'une voix assez énervée.

Tous ceux qui n'avaient pas lever la main frémirent.

_ Pour ceux qui ont fini leurs exercices, vous n'aurez pas de devoirs pour demain, déclarais-je. Ceux qui n'ont pas fini, non seulement vous les finirez pour demain, mais je vais vous rajouter une page entière. Au moins, vous aurez tout le temps pour les finir.

Lorsque je finis ma phrase, la sonnerie retentit, marquant la fin du cours. Je me levais et me dirigeais vers la porte, et lâchais un rapide À demain avant de m'éclipser pour rejoindre Hizashi.

___

[3 115 mots]

___

Bien !

C'est la fin de ce bonus, j'espère qu'elle vous a plu.

Je voulais également vous dire que du 6 au 24 août, je pars en vacances, donc soit j'essaierai d'écrire un minimum pour m'avancer sur mes fics sans pour autant les publier, soit une fic sera déjà publiée, et il y aura une longue pause de trois semaines...

Bon, je pense que vous allez encore devoir patienter, et j'en suis désolée 😅

Bref ! En tout cas, passez de bonnes vacances et prenez soin de vous !

Je vous dis à bientôt dans ma prochaine fic !

C'était Reality_Master 😘😘