Chapitre 20
Maïa
Aujourd'hui
— Depuis quand tu gardes ces préservatifs dans cette boîte ?
Elliot passe par-dessus mon corps pour se saisir du sachet vide qu'il a déposé un peu plus tôt sur la table de nuit.
— J'en sais rien... Le lycée ?
Il me lance un regard effaré, mais baisse tout de même les yeux pour contrôler la date de péremption. Dépité, il se passe une main sur le visage.
— Putain... J'aurais dû vérifier.
— Je suis désolée.
Mon murmure le fait se redresser. En mettant son boxer, il me répond juste :
— Passé cinq ans, un préservatif est périmé. Les tiens ont sept ans, je pense que tu peux t'en débarrasser.
Les jambes serrées, je me penche et essaie d'attraper le kimono sur lequel j'ai glissé il y a ce qui me semble maintenant être une éternité. Elliot, agacé de me voir galérer, s'en empare et me le donne. La gorge nouée, je me lève pour l'enfiler.
— Tu es clean ?
Face à moi, Elliot se décompose une seconde, puis sa colère prend le dessus. Avec du venin dans la voix, il réplique :
— De nous deux, je pense que celui qui devrait s'inquiéter de ça, c'est moi ! Qui sait où ton mec a traîné avant de te quitter...
Mes doigts se figent autour du nœud que j'étais en train d'ajuster. Mon cœur fait une embardée douloureuse dans ma poitrine et je souffle :
— Enfoiré...
— Excuse-moi, je... Je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça.
Elliot tente d'agripper mon poignet, mais je recule d'un pas en levant la main entre nous. Sans même chercher à dissimuler les larmes qui ont envahi mes yeux à l'entente de ses mots acérés, je relève la tête.
— Premièrement, c'est moi qui l'ai quitté ! Et deuxièmement...
La bouche sèche, je laisse ma main retomber le long de mon corps raide.
— Il faut que j'aille pisser.
Sur la pointe des pieds, je quitte ma chambre sans me retourner et en contractant mon périnée pour ne pas avoir à nettoyer mon parquet au beau milieu de la nuit.
Comment peut-il se montrer aussi cruel après ce que nous venons de partager ? Après avoir été si attentionné ?
En remettant sa casquette d'enfoiré, Elliot nous facilite néanmoins les choses. Quelques mots ont suffi à atténuer la peine que j'ai ressenti au moment où il s'est détaché de moi.
En réalité, je ne devrais pas être si surprise de sa réaction. Après tout, l'attaque a toujours été son réflexe défensif préféré. Frapper avant d'être blessé ; je devrais prendre exemple.
Je tire la chasse et m'approche de mon meuble vasque en bois de style contemporain pour une toilette rapide.
Pendant des années, j'ai été persuadée d'avoir un problème, d'être le problème. À force de nervosité et de rapport douloureux dont je n'osais plus parler, j'en étais venue à me demander si le sexe traditionnel, tel qu'on nous le présente, n'était tout simplement pas fait pour moi. J'avais tellement tort ! Je n'étais pas le problème. Mes ovaires, premiers suspects sur la liste, n'étaient pas le problème. Le souci, c'était eux : mes partenaires égoïstes.
Parce que je ne me sens pas capable d'affronter Elliot maintenant, je m'arrête devant la chambre de Clochette. Les lapins étant des animaux nocturnes, je sais d'avance qu'elle ne dort pas alors que je pénètre dans sa pièce et allume la lumière. Assise sur l'un des ponts de la structure en bois conçue spécialement pour elle, ma lapine tourne sa tête dans ma direction, puis saute sur le sol pour venir à ma rencontre en poussant son petit grognement de joie, plus communément appelé le honk honk.
— Moi aussi, je suis contente de te voir.
Me sentant immédiatement apaisée, je m'agenouille à ses côtés. Et c'est avec les doigts perdus dans sa fourrure grise que j'entends le parquet craquer derrière moi. Les lèvres scellées, je me force à ignorer Elliot. Pas question que je me laisse distraire par son torse, qu'il n'a pas pris la peine de couvrir avant de venir me retrouver. Ni par les veines visibles qui partent de ses mains et remontent le long de ses avant-bras. Ses mains qui, il n'y a pas encore si longtemps, se trouvaient partout sur mon corps.
— J'ai flippé... Je sais que ça n'excuse pas ce que je t'ai dit, mais j'ai flippé.
Il s'assoit à côté de moi et tente de caresser Clochette. Pour une fois, ma lapine me rend fière en lui grognant dessus. Il n'insiste pas et entoure ses jambes repliées, qui ont retrouvé la chaleur de son jean, avec ses bras.
— Je vais nous prendre un rendez-vous pour un test de dépistage à la première heure demain matin.
— D'accord, accepte-t-il.
Clochette, qui commence à en avoir assez de mes papouilles, repousse mes doigts et se dresse sur ses pattes arrière pour se nettoyer les oreilles.
— La dernière chose que je voulais ce soir, c'était de te blesser. Je suis désolé.
— C'est rien...
— Non, ce n'est pas rien. C'est vrai, je me suis comporté comme un enfoiré.
Je me décide enfin à le regarder et sens mon cœur se serrer. À cause de mon impulsivité et de mon incapacité à jeter des vieilleries, la tension s'est réinstallée dans ses épaules, accentuant le tracé de ses muscles sous sa peau.
— J'aurais vraiment dû vérifier la date avant d'utiliser le préservatif. Et je n'aurais jamais dû m'énerver contre toi quand tu cherchais juste à te montrer responsable.
Je lâche un rire sec. Responsable est le pire mot pour me décrire.
— Arrête de te flageller ! On était deux dans ce lit et je suis loin d'être responsable. Tu as raison, au sujet d'Antoine, j'aurais probablement dû me faire dépister bien plus tôt. Dès que j'ai su pour son infidélité.
Elliot fait craquer ses doigts et plante son regard dans le mien.
— Pour être tout à fait franc, ce n'est pas... (Il prend une inspiration.) Est-ce que tu prends la pilule ? Ou, peut-être, un autre contraceptif ?
Dans mon cerveau, mes neurones se connectent les uns aux autres alors que je réalise la véritable raison de sa panique.
— Oh ! Je... Non. Je l'ai prise pendant un moment, mais elle me provoquait trop d'effets secondaires, alors je l'ai arrêtée. Mon corps n'apprécie pas trop les variations hormonales.
Constatant que Clochette a repris le cours de sa vie et saute jusqu'à sa litière, je me lève.
La première chose que mon médecin traitant a fait lorsqu'à l'adolescence j'ai commencé à être incommodée par l'acné que j'avais dans le dos et des cycles irréguliers a été de me prescrire la pilule. Même si elle peut être bénéfique et faciliter la vie de certaines femmes, cela n'a pas été mon cas. Entre les seins sensibles, un taux de cholestérol inhabituel, des nausées et des troubles de l'humeur – et ceux malgré plusieurs pilules –, j'ai décidé, lors de ma première année de relation avec Antoine et le suivi attentif de ma gynécologue, d'arrêter les frais. Il s'est ensuite avéré que la pilule n'était que la partie émergée de l'iceberg.
— Tu n'as pas besoin de te justifier, mais... Il faudrait peut-être qu'on aille t'acheter la pilule du lendemain.
Elliot qui, je m'en rends compte maintenant, paraît terrifié à l'idée de m'avoir engrossée, se lève à son tour. Devrais-je me sentir vexée ou amusée ? Serait-ce si terrible d'avoir un enfant avec moi ?
— Le risque est faible.
— Quoi ?
Je lui tourne le dos et quitte la pièce de Clochette pour retrouver ma chambre avec Elliot sur les talons. Sur le chemin, j'éteins chaque lumière et ne laisse que la lampe connectée près de mon lit allumée.
— Je connais mon corps. Mes règles devraient arriver d'ici deux ou trois jours et je ferai un test le mois prochain si ça peut te rassurer, mais je ne vais pas prendre de contraception d'urgence. Désolée.
Pendant que je déverrouille mon téléphone, que je viens de ramasser sur le sol parmi nos affaires éparpillées, Elliot me fait pivoter.
— Maïa... Ton corps, ton choix, je respecte totalement ça, mais... On ne peut pas...
— Je ne vais pas tomber enceinte !
J'entre mon code dans l'application santé que j'utilise pour mon suivi de règles et lui mets sous le nez.
Bonne nouvelle pour nous deux, cela fait maintenant sept mois que mes cycles se sont régulés, ne variant que de cinq ou six jours à chaque fois. Ce qui se révèle plutôt régulier en comparaison des mois d'aménorrhée que j'ai vécus entre mes 21 et 22 ans.
— Regarde !
Je pointe du doigt mon calendrier prévisionnel.
— Je suis au 28ème jour de mon cycle. Ma période de fécondité est passée depuis plus d'une semaine.
Et je sais qu'elle est passée. Je le sais car la douleur que je ressens lorsque mes ovaires, trop volumineux, tentent d'expulser un ovule est impossible à ignorer.
— Je ne vais pas tomber enceinte. Je t'accorde que le risque n'est pas de zéro, mais il n'est certainement pas de cent pour cent.
Certainement pas...
Elliot croise mon regard une seconde, observe mon calendrier, me dévisage à nouveau, puis me rend mon portable. Je peux le voir lutter contre l'idée mais, comme je l'ai fait un peu plus tôt en me mettant à nu devant lui – au sens propre comme au figuré –, il accepte de me faire confiance.
Je ramasse son t-shirt et lui tend.
— Tu veux que je m'en aille ? s'enquiert-il.
— Je pensais... Tu veux rester ?
Elliot récupère son haut.
— Oui. On est tous les deux un peu à fleur de peau et je sais que ce n'est peut-être pas ce que tu attends d'un coup d'un soir, mais oui. Si ça ne te dérange pas, j'aimerais rester.
Mon cœur, que je pensais hermétique et trop froissé par ses propos acides, se réveille dans ma poitrine ; telle une fleur, je le sens éclore sous mes côtes.
S'il savait comme je me fous des réglementations concernant les coups d'un soir. D'ailleurs, je suis sûre qu'une de ses fameuses règles déconseille de mélanger sexe et amitié. Car après avoir découvert le corps de l'autre, il n'y a pas de retour en arrière possible. Je peux le sentir, le prévoir, notre dynamique ne sera plus jamais la même. Nous allons juste devoir apprendre à composer avec l'embarras... et l'envie. Elliot a beau avoir remis son t-shirt, mon désir continue de me dominer.
— OK, laisse-moi juste mettre quelque chose de plus... convenable.
Après un hochement de la tête, Elliot se dirige vers le côté droit du lit. Respectueusement, il attend que j'aie terminé de m'habiller pour se retourner. Et, pour la deuxième fois de la soirée, je le vois retirer son jean et me rejoindre. Sauf que cette fois, il s'allonge à bonne distance, sous ma couverture épaisse.
— Envie de parler ? me demande-t-il alors que je m'efforce de garder le contrôle de ma respiration.
— C'était... vraiment bien. Je te remercie d'avoir attendu...
— Que tu sois prête ? Rien de plus normal, Maïa.
Il se met sur le flanc et je vois sa main hésiter. À mon plus grand regret, il se retient de me toucher.
— Le sexe n'est pas censé être douloureux. Ça me tue de savoir que tu envisageais de le faire plus souvent alors qu'il n'était déjà pas capable de te mettre dans les bonnes conditions.
Sa déclaration tire une corde sensible en moi.
— Je croyais que je n'étais pas normale.
Les fils s'effilochent, puis la corde cède. Des larmes coulent sur mes joues ; larmes qu'Elliot s'empresse d'essuyer avec son pouce.
— Tu as une conception plutôt étrange de la normalité.
Les yeux fermés, je pose ma main sur la sienne, pour la garder encore un peu contre mon visage.
— Viens là !
Il m'attire entre ses bras et appuie son menton sur le haut de mon crâne. La surprise m'empêche un instant de respirer et m'immobilise contre lui. Puis, je me souviens qu'il ne fait pas de câlin à n'importe qui et me détends. Ce soir, je ne suis pas n'importe qui.
Bien que son odeur, au fil de la soirée, se soit mêlée à la mienne, je m'en imprègne.
Une nuit, c'est tout. Rien qu'une nuit. Ensuite, on reprendra le cours de nos vies.
— Avoir besoin d'être écoutée et de te sentir en sécurité ne fait pas de toi quelqu'un d'anormal. Ce sont des besoins plutôt basiques et simples à respecter.
Alors pourquoi est-il le premier à le faire ?
— Le sexe peut être effrayant. Il demande un complet lâcher-prise. Il faut s'exposer et accepter l'idée de perdre le contrôle.
— Je déteste perdre le contrôle, chuchoté-je dans son cou. Ça me terrifie.
Cela n'a pas toujours été le cas. Comme tout enfant, je possédais ce petit grain de folie qui me poussait à faire des bêtises, avant d'être rattrapée par la réalité et les problèmes d'adultes.
— La plupart des gens aussi détestent ça. Je déteste ça ! J'étais super nerveux tout à l'heure.
— Vraiment ?
Ses bras se resserrent autour de mon corps.
— Ça faisait un moment que j'avais pas eu de rapport. Donc oui, je me suis un peu mis la pression au début. Je ne voulais pas que tu puisses ajouter mon nom à la liste de tes mauvaises expériences.
Je recule, mettant par conséquent un terme à notre étreinte.
— Tu n'es pas sur cette liste. Ce soir... C'était la meilleure expérience sexuelle de ma vie.
Son visage s'illumine. Les yeux brillants et avec son sourire, le vrai, celui qui laisse entrevoir la légère irrégularité de sa dentition, il repousse mon front avec sa paume.
— Je suis flatté, mais aussi un peu désolé, pour toi, je veux dire.
— Ne le sois pas. J'avais déjà eu des orgasmes avant toi, je te rassure. Solitaires, quelques-uns avec Antoine, lorsqu'il tenait vraiment à moi et voulait me le prouver. Par contre, Quentin – Seigneur ! –, un désastre ! Je lui pardonne parce que c'était nos premières fois à tous les deux, mais c'était vraiment affreux. On aurait dit qu'il cherchait de l'or au fond d'une grotte, mais il s'essoufflait tellement vite qu'en trente secondes, c'était terminé. Pire expérience sexuelle de ma vie, c'est définitivement à lui que revient ce titre.
Elliot s'esclaffe avant de me dire :
— Tu devrais l'en informer dans ta prochaine carte de vœux.
— Oh mon Dieu, non !
— Plus sérieusement, tu aurais dû te douter qu'il serait un mauvais coup. C'était inscrit sur son visage.
Je baisse les yeux et esquisse un faible sourire.
— Mes goûts en matière d'hommes sont effroyables.
Mes paupières, lourdes, ploient sous l'appel du sommeil. Elliot remonte la couverture sur mes épaules et murmure :
— Je suppose que le temps des flatteries est écoulé. Bonne nuit, Maïa.
Je m'entends baragouiner une réponse et cède à Hypnos en espérant que son fils s'inspire de cette journée pour mes futurs songes.
🌸🌸🌸
9 heures est déjà bien entamé quand Elliot et moi quittons le cabinet de mon médecin traitant avec nos ordonnances. Par chance, après une rapide explication au téléphone, la secrétaire a accepté de nous caser un rendez-vous entre deux patients. Nous aurions pu nous rendre dans un centre d'information, de dépistage et de diagnostic, mais les délais et le fait de devoir expliquer à un parfait inconnu les raisons de ma venue m'angoissaient.
À mon réveil, la réalisation de ce que nous avions fait la veille m'a clouée au lit un moment. Heureusement, Elliot, bien trop habitué à se lever aux aurores à cause de son travail, ne m'a pas vu hyperventiler dans mon oreiller. Je l'ai trouvé, une demi-heure plus tard, en train de se préparer un café dans la cuisine avec Clochette à ses pieds. Une envolée de papillons s'est immédiatement fait sentir dans mon ventre. Une sensation qui, je crois, je ne suis pas près d'être débarrassée.
— Regarde nous ! Gérer la situation comme deux adultes...
— Il faut vraiment que j'y aille, m'interrompt-il, le visage fermé.
Je ravale mes mots en même temps que ma salive. Elliot, mains dans les poches, concentre son attention sur le Teor que l'on aperçoit au loin. Le soleil qui s'est levé il y a à peine trente minutes lui fait plisser les yeux.
— Je t'appelle dès que j'ai les résultats.
Je hoche la tête. Au final, à cause d'Antoine, mon cas est plus à risque et inquiétant que le sien.
— Pareil.
Le Teor s'arrête près de nous et une foule d'adolescents en descend, me poussant contre Elliot. Tendu comme un arc, il m'attire dans une étreinte maladroite. Les joues brûlantes, je reste immobile, les bras le long du corps, sans savoir quoi faire de moi. Le malaise est tel, qu'en comparaison, devoir avouer à mon médecin que je collectionne des préservatifs périmés était d'une facilité déconcertante.
— Je t'appelle, répète-t-il avant de grimper dans le bus.
Il valide sa carte de transport, puis remonte le véhicule tandis que ce dernier se remet en mouvement en émettant ce bruit si particulier et familier.
J'ai senti, hier soir, que nos échanges seraient désormais empreints d'une certaine gêne, cependant, j'espère que le temps saura faire son effet. Sinon, notre secret risque d'être révélé au grand jour lors de notre prochaine soirée avec Manon et Mathias. Ce qui, à coup sûr, rendrait notre situation encore plus embarrassante.
Tout en marchant, je récupère mon téléphone au fond de mon sac à main pour envoyer un message à Antoine.
🗨Maïa
Question : Tu te protégeais lorsque tu me trompais ?
Involontairement, Elliot a planté une graine dans mon esprit. Qui sait combien de fois Antoine m'a été infidèle pendant notre relation ? Qui sait ce qu'il faisait toutes ces fois où il était supposé sortir avec ses potes ? Pour ce que j'en sais, je pourrais être la femme la plus cocue de Rouen.
🗨Antoine
Bien sûr que oui ! Pour qui tu me prends ? Je suis pas irresponsable !
Mes doigts se crispent autour de mon téléphone.
🗨Antoine
Pourquoi tu me demandes ça maintenant ? Tu comptes t'envoyer en l'air ? Tu as trouvé quelqu'un ?
Pourquoi sonne-t-il à la fois jaloux et condescendant ?
Je commence à taper un message pour le remettre à sa place quand mon portable m'annonce une nouvelle notification.
🗨Adam
T'es chez toi ? Je suis en route. J'ai peut-être trouvé quelqu'un pour ton horrible appartement rose.
J'efface ce que j'étais en train d'écrire et range mon téléphone en prenant la direction de mon immeuble. Quel genre de personne a bien pu répondre à notre annonce ? Suis-je sur le point de rencontrer Barbie en chair et en os ? Je l'espère, car j'aurais bien besoin d'une distraction aujourd'hui.
Hello 🐰
Alors, je m'excuse s'il reste des fautes dans ce chapitre... J'ai fait une mauvaise chute il y a quelques jours et n'ai pas trouvé le courage de me pencher sur mon histoire. J'espère que, malgré tout, ce chapitre 20 vous a plu =)
On se retrouve l'année prochaine pour le chapitre 21 ?
Bonnes fêtes (si vous fêtez quoi que ce soit) et bonne fin d'année à tous !
🐌
Depuis le 1er septembre 2024, il est possible, en France, de se faire dépister en laboratoire de biologie médicale sans ordonnance et sans rendez-vous. Et pour les personnes désirant la gratuité et l'anonymat, il existe des centres spécialisés : CeGIDD
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